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a- ^OU LCHt-DELBOgC/
Prohuor 1 l'Ëcolt dei Hialci Èuitt (!i>mi»tKiîlM M 4 rÉcola C
ABRÉGÉ
DE .
GRAMMAIRE
^'
BARCELONE
IMPRIMERIE ET UBRAIRIE .L'AVENÇ.
aO, kOKDA DB L'uNIVBtUTAT, 10
Go(
U^s*^
D,g,t,7=^-I>, Google
n ,-i>,G(K)glc
Le prisent Abrégé de grammaire catalane»' rédigé sur
le modiie de /'Abrégé de grammaire espagnole ' et de
/'Abrégé de grammaire portugaise ' paras il y a qmlqurs
années. Ayant eu pour seule atubilim, en publiant ces trois
volâmes, de faciliter l'élude des langaes Irispaniqua à teux
là même qui ignorent le latin ou sont peu familiarisés avec
les études grammaticales, nous avons dil nous astreindre,
non sans regret, à un plan tris différent de celui qui eût été
le nôtre si nous tums étions adressé à des lecteurs phîlol^tque'
ment plus instrtiits; mus nous sommes, du moins, ejginee de
donnera nos ttaniiels une formé aussi claire et aussi précise
quepossitle, et une disposition typt^raphique qui en rende
la compréhension plus aisée.
C'est la première fds que l'on expose en français les prin
cipes élémentaires de la langue catalane, telle qu'elle est ae
tuellement parlée à Barcelone ■; mais notre tâche a été rendue
I. Paris: H, Weller, 1893; Kptiime édition, tfo».
a. Paris: Guillard, Aillaud&C'', 1894.
i. Le taraetèrt ilémtnlMre de neirt volume nom inlet disait
toute remarque relative aux variétés dialectales. -^ Uenliot noms,
peur le Roussilion, Us deux petites grammaires de Pui^ah et de
Saistet.
smgttliértrtunt mmns difficile par les remarquables travattx
*Je M. Pompeti Fûbra', comme aussi par l'admirable obli-
geance avec laquelle ce cher et savant ami nous a consacré de
longues semaines, partageant avec nous l'ingrat cl pénible
labeur ^une révision dernière de notre manuscrit et de la
correclion des épreuves. Nous n'acquittons que bien ïmpar-
■ failement notre dette de reconnaissance en disant ici tout ce
que mrire ouvrage dût à sa seienet et à son inlassable dévoue-
tuent.
Nous ne saurions oublier nou plus MM. J, Massa Tor-
rents et /. CasaS'Carbâ : Vachèventent de cet Abrégé de
grammaire catalane, commetué U y a plusieurs années déjà,
est dii pour une large pari à leur insistance amicale et aux
facilités de toute sorte que nous aivns trouvées auprès ^eux :
' nous la en remercions bien sincèrement.
R. F-D.
t. Entayo de gramitica de catalin moderno. Barctlona :
.L'Avenf, 1891. ~- Étude de phonologie catalane (Ctulan
oriental). JEniuf bisfanique, 18^7, — ConitJbuci6 a la gra-
maiica de la llengua catalane. Bartelcna : L'Avenf, 1898.
Nous publierons prochainement, une Bibliographie de la phi-
lologie catalane, dans taqueUe 011 trouvera la litte des grammai- -,
rts d ouvrages analogues parus jusqu'à et jour. ■
n,r,„.=-i>, Google
CHAPITRE I
PRONONCIATION
I. ALPHABET
1. — L'alphabet catalan k cotupoM des 16 lettres iai\'aatet:
„...
-.„,.^
runçi'iM
<9Ui**u)n
B
.,
voir S 7
b«
bé
H
ci
de
a
■
i
voir S 8
al«
é(i
9«
g«
luitu
alchù
h muet
i
.'
10
fou
iota
lu
ka
■la
i\i
•ma
émé
«a
tai
voir S 9
f
pi
P
LES DEUX Adadm^IllU VOYELLES
™..
«Ml C*»UV
niHfiin
ruMÇAM
17
Cl
kou
t8
tm
iné
"»
MM
ici
t
30
U
ti
t
31
■
ou
OU
21
T
vé
V
ai
w W
Y«4oMs
\-i ii6bblc
w
«4
•4.U
ékiç
voir S jo
as
Tf»!"
igréga
y
26
HU
tiu
Les lettre* de l'alphabet ulalan sont du genre féminin.
II. LES DEUX ACCENTS — LÈS VOYELLES ■
a. — H y 1 deux accents en catalan: l'accent aigu et.
l'accent grave. Ces accents ne peuvent être placés qu'au-dei-
SD* d'ane voyelle tonique. (Voir § 41 .)
), — L'accent aigu peut être placé au-dessus d'une des
voyelles t, 0, I, ■ : il indique que tes voyelles a, ont un
son fernié et sont voyelles toniques; il ne modifie en rien la
prononciation des voyelles 1, ■, et indique simplement que
ces voyelles sont toniques.
4. — L'accent grave peut être placé ao-desius d'une des
voyelles a, •, : il indique que cet voyelles ont un ton~
ouvert et sont voyelles toniques.
). — i se prononce toujours comme rïordinaire français.
■ I,, Google
LES DEUX ACCENTS — LES TOYELLES J
6. — n se prononce toujours comme ou français.
Dans les grouiKs de lettres gtu, gtta, gU, qu, qOa, ti
voyelle ■ se prononce; nuis elle ne se prononce pas dans Ici
groupes de lettres gtu, gai, qu, qui. Dans qiio tanl6t elle .
le prononce, tantftt elle ne se prononce pis. (Voir §§ 14
« ")■) .
7. — a se prononce de deux manières:
A. Elle a un son ouvert, un peu plus long que ]'" du mot
(tiaçtH palle. mais un peu moins long que l'd du mot fran-
çais pâU, quand elle est tonique, Éi. : car, cber — flao.
miiign — la, niim.
Remarque. Elle a un son on peu moins ouvert que le
précédent, et i peu prùs analogue i celui des à des mots
français Uth, pâte, quand elle est tonique et qu'elle est
suivie de 1 ou de s appartenant i la m£me syllabe. Ex. : eal.
i7 faut — aal, ut — Uait (bli-oii), bku — «ao (kl-on), i7 -
tombe.
B. Die se prononce avec un son un peu sourd qui se
rapprc he du son de IV muet français dans les mots mt,
U.h:
1* loutes les fois qu'elle n'est pas tonique;
3" Dans les mots suivants; la, la, article défini et pro-
nom personnel complément féminin; al, au; ali, aux; —
ma, iiia; ta, la; >a, sa; adjectifs pfonominaus postessift; —
a, an, à^ an, anb, ab, irivc.
Dans le présent AbrëgA de OMioutaE, on représentera la
prononciation figurée de ce son par les lettres tu en caiMtércs
I italiques,
I Ex. : acaba («ii-ka-bt»), U achève — la eaia (bu ka-i«tr),
..Cù.w
4 LIS DBOX ACCEXTI — LU TOTILl.It
4 8. — • *e prononce de trait nuajém;
A. Elle > an ton ouvert, comme le* i dct mott fnncsii
actif, suab, d<ni an trit grand nombre de mott dont elle ett
.U voyelle tonique. Ex, : certa (cèr-tru), ttrlëint — «1 fM
(fH\ piç), Upoiii — pie (plû), plein.
B. Elle a un ton ferm^, comme let i do mot françait iétéié,
dant un trëi grand nombre de moti dont elle ett la voyelle
toni<]ne, Ex. : dlr<, jt dirai — tâxi, jt ferai — prbura (pri-
mi'Ttu), prtmiire.
Rehaique. Elle a an ton un pea plut fermé quand elle ett
luîvie de a appartenant i !■ m£me lyibbe. Ex. : ara (mé-ou),
mien. On ne trouve jamai» une • fermée ionique tuivie de I
appartenant i ta mCmc syllabe.
Dant le prêtent Abiëcë de gmhhaire, toùtct l« foii
que ) aura un ton fermé et lera écrite tani accent,
la pr<H)ORciation fïgurvc en tera indiquée entre paren-
' thétet par (é); par conséquent • ionique turmontée d'un .
accent grave on écrite tant accent et dont la prononcia-
tion 6gurée ne sera pas indiquée, aura toujoun un ton
ouTett.
C Elle te prononce avec un iqn un peu sourd qui se
rapproche du ton de l'( muet français dant let mots mr,
le, it, identique au ton indiqué précédemment pour ■
(S7,B):
I* Touiei let fois qu'elle n'est pat tonique;
]* Dans let mott tuivanu: al, h, article défini et pro-
nom pertonnel complément ; del, du; pal, far le, pour te;
Mm, Jtt; pala, par les, peur les; ali, 1m, Us, artlclct définis
et pronoms pertonnels complémenti matculint et fémi-
nint pinrielsî — m», me; te, te; ■«, le; aaa, nâui; an, ne
en; prooomi pertounelt compléments; — mea, mei; tu,
tit; Êtê, m; adjectifi pronominaux potietsilt ; — «m, qiu.
n,r,„.:-i>,Goôgle
LIS DEUX ACCB>m — LES
f «/; — ta, de; m, iaiis; pn, par, pour; pcn, peur; — as '.
Din) le présent chapitre, on représentera U prononciation
figurée de ce ton par les lettres eu en caractères italique*.
Ex. : tl para {tu\ pa-rtu), Itpirt — U nara Qtu ma-reu),
ExcEFîTON. a non tonique a le son fermé de IV français,
quand elle est immédiatement suivie d'une a tonique on non.
Ex. : al taatre (»/) té>a-trf u), Utbéâin — cnador (kré^u^à),
crialtw.
ReuAsauB. Certains roots s'écrivant de la méroe manière
se distinguent par le son ouvert ou fermé de leur a toni^jne;
par exemple:
al ba, tagiitau — ba (bé), hitit
bec, }t boh — al bac (bék), Ubee
daa (d^-ou), dix; il lÙi — ' Dan (dé^u), Dita .
nal, />r(^< — al nat (net), /< ^Ji/-/Wi
■ae, i«f — al ue (sék), U pli
al tan (sé-ou), U suif; la tan (té-ou), la tûlbUrah — aa«
(sé-ou), ton, sien
t\\»,itlhi — Vt,ita
etc.. etc...
9. — se prononce de trois manières:
A. Elle a un son ouvert, comme let det mott français
mort, port, sort, dans un très grahd nombre de mots dont
t. an H pltu dniml kl prenons tt It* aoini propm i'
mtBfHt pir DM coawaiw. Ei. : aB Haïti ((an* Mm-tl), turti* — an
Para («nu pt-nii), Pian — an Solar (nm foa-M), Silir. DcTUt lu
prinuni et h> non» prapm 41ionnM> cammufiBl p» «m Teycllc eu
pur h, on tnpiok l'iiticit défiai. Em. t l'Ubari <lMl-Mm), Aital —
l'OUar(loii-IH), CUfcr.
( LES DBUX ACCtKTl — LE> VOVELLU
elle eit la voyelle toDique. El. : bo, fam — grotu, gront —
la força, ia foret — U rou, /« rost.
B. Elle 1 un ton fermé, un peu moini long que lei i nu
lea an dei mots français démt, pôU, toute, iduee, dam un tr^s
grand nombre de moit dont elle eii U voyelle tonique. *
Ex. : al earM, h charbon — corrt, il court — U rad, la
'raison.
Remarque. Elle a un son un peu pluf fermé quand elle cM
laivie de I ou de a appartenant i la mùme ayllabe. Ex. : dolç
(dàlç), doux — al pea («ul p6^u), hpuils.
Dans le prisent AiaËCÈ ni! ghaiihaiie, toute* le* fois que a
aura un son fermi et sera écrite »ns accent, la prononciatinn
figurée en sera indiquée entre parenthèse* par (b); par consé-
quent, tonique surmontée d'un accent grave, ou écrite sans
accent et dont la prononciation figurée ne sera pas indiquée,
aura toujours un son ouvert.
C. Elle se prononce comme eu franfaiJ:
i' Toutes les fois qu'eHe n'est pas tonique. Es. .: al
capital («ul km-pt-toul), U rbapHre — al earta (tu\ ka- ',
rrou), le char — al caU («til kou-t6), U eolm.
a* Dans lés mots suivants: la* /(, article défini et pro-
nom personnel complément; aoa, nous; rot, vous; ho, k;
loi, la; pronoms personnels compléments; mon, tHon;
ton, Ion; lan, son; taaa, mts; Un, la; no, sa; adjectifs
pronominaux possessifs; — tw, négation, dans no moa,
(nou miç), pas plus.
Reharqub. Certains mou s'écrivant de la même manière ^
se distinguent par le son ouvert ou fermé de leur a tonique;
par exemple:
U beta, U hrilt ~~ U boU (bA-U), li lonueau
la dftu, Uftmmt — «ou (dô-na), 1/ douni
mUijt mtwt — ot mae (môk), la morne
n,r,„.=-i>, Google
IBS COHSOHNBS
■nolt (mol), moulu — ixilt (môl), beaucoup
Il min, la maurtsqut — la Bun (m6-ra), U mùrt
l'àt, ros — l'M (làç), Fours
la ion, /( sommtil — iAb (lAn), ib sont
«1 aea (lo-ou), la solde — mm (s6-ou), vous lits
«c... fie...
ill. LES CONSONNES
10. — b se prononce comme en fran^ii.
b précédée d'une voyelle et laWie de I se prononce comme
deux b. Ex. : doblt (dÂl>>blrri), àouble — poialUa (pou-
çih-bUii), possible.
Pourtant b se prononce comme b simple dans les mots
commençant par aU ou par biU. Ex. : ablaair (m-blni-ni), '
oàoiieir — l'aUacU (Uu-blou-ci6), l'ablatun — la UUia,
la Bible — la MUioUca (Ira bi-blloa-té-k»), la biblio-
ihiifut.
A la'lîn d'un mot, b se prononce ;, et ba *e prononce pç. '
Ex. : rab (rip), il reçoit — nb (çap), Il sait — aaba (çapç)(
/h sais.
II. — c et ç se prononcent comme en français.
L'orthographe la plus usuelle écrit cb i la fin des mots, et
on prononce ces deux lettres comme un k français: dans le
présent AiaÉct db crammairb on a préféré écrire ces mentes
mots avec 0. Ex. : l'ara, Fart — al «M (eu\ kook), le vtr —
al lac, le feu — pM (pouk), je peux — aae, see, que l'on écrit
le plus souvent l'arek, al eock, al lach, pufe, aaak.
■ Go(-K e
8 LES COMtOMNn
II. — 4 te prononce comme en fnaçHt.
* A la lin d'an root i te prononce /, et 4t se prononce If.
Ex. : idd (i-cin), aeUt—lnà {(tin), froid— tiUi (»o-litt),
uliJt — •!• àcMt ^tiiU a-cilç), Iti atiiet. L'orthographe la
plus usuelle chsnge i en t i la lin des mots; on écrit donc
gL^néralcmcnt idt, tnt, tHOt, ieiU.
I). — s devant une consonne et devant a, «, ■ se pro-
nonce comme en français.
Quand g est suivie de ■, les deux lettres n'appartiennent
pas ^ la ro^me syllabe et se prononcent sfparfment. Ex. :
digne (digne-nfii), digtu — nagnffio (nuKgue'ni-fîk}, me-
gHifiqiie.
g prCcéd^c d'une voyelle et suivie de 1 se prononce comme
deux g. Ex. : b raglt (Icu Tég-g\eu), la righ — «1 aagli («ut
ség'glm), U tikk. Pourtant g se prononce comme g simple
dans les mois commençant par agi. Ex. : l'agli (l^u-gla), le
giaiii — raglomoracltf (l«u-gtou-m«u-rfif-cià), Tagglomiration.
Devant a, i, on prononce g à peu pr^s comme / français.
Ex. : al gaiiaral (ml \tu-Tuu-ri\), U gitiiral — la gineata (l^u.
ii-nés-t«»), Ugtnit,
A la fin ti'un mot Ig précidi d'une voyelle se prononce
comme ich des mots français eaouleboiu, palcbouli. Ex. : al
ralg (iu\ ratch),.b rayon — al ptasaig («ul p«i(-cétch), la firo-
mtuaii — rolg (rotch), rouge — al pnlg (eiA pou tch), la colliiu.
A la fin d'un mot Ig précédé d'une consonne se prononce
iirb. Ex. : al datlg (ml deu-zitch), U disir — el nig (cul
mitch), U milieu. Dans ce cas l'orthographe la plus usuelle
écrit Itf au lieu de Ig : el dasttg, el mltg.
A U fin d'un mot iga précédé d'une voyelle se prononce
Uf. Ex, ; ala ralgs (ralz raitç), iSa pnlga (<h1ç pouitç).
A h fin d'an mt>t g, ga précédés d'une lettre autre que i se
■_■ . n,„i,,-=-i>,G00glc
LES CONSONNES
prononcent k, iç. Ex. : l'aUnif (Iful-Mtk), Vauitrge — al
prôleg ("il pro-l«i(k), U prciegue — •!■ eaUlagi (ralç k<u-ti-
Ifiikç), Us caletogues. L'orthographe la plus usuelle écrit ek
RU lieu de g i la fin de ces mfimes roots: l'albanh, d prUaek,
aU eatàlaoka.
14. — gni, gnt le prononcent coronie dans les mots frao-
çais gtttrrt, gttiàe. Ex. : la goarra, lu giurrt — U gnlUm, U
guUart. La lettre > est par conséquent muette.
gtka, gOl se prononcent goui, geui. Ex. : aefftant (mu-
gouûne), juivaut — U Ungafatiu (Un line-gouiç-ti-ktii), h
liaguisliqut.
gua se prononce foiM. Ex. ; al guida, U garât.
ij. — h est toujours muette.
h plac^ apr^ forme le groupe oh, qui se prononce
comme il a été dit précédemment ($ 11).
16. — I se prononce 1 peu prés comme / français. Ex. :
al Jardl, U jnrdîn — al prolwta (é), hprejtl — al |ao, lejta
— Jordl, Gtcrgti — Jnllal, juiJltt.
la, moi et Ja, déjà se prononcent presque toujours w. M,
très rarement jo, ja.
17. — 1 se prononce comme en français.
U se prononce dans un très grand nombre de mots comme
les II mouillés des mots français filU, ptàlle. Ex. : lladra,
voUur — la lUgrlna, h hrmt — al cavall (rai koi-ball), U
chtoal — l'anaU (é), f anneau — tall (Mil), mtux — «1 OU, If
fib ~ ^cM, U col— élUat (à), lêlMf — ltnma»,lalun*
— I-bU, rail.
t devant U indigne un rcdoubkment dn.son des U monil- -
tO LES COHSOHHIS
lit fHD(iis. Ex. : l'MyaUla (l«ic-pa1l>ll«u), NpauU — la
* ntUa (Uu nll-lku), la raie.
i8. — Lonque II n'ont pat le ion dci II mouillci français,
on Im prononce presque toujours comme 1 simple. Ex :
l'aUtgarfâ (Uii-\tu-ff>a-ri-eu), Fall/gorii — b collKoitf (l<u
kou-iwk-cîà), la eolUclica — Uhutre, (i-lonç-lrM), illusln
— UtoUldWt (lne-t«u-li-jéne), iiHelligtnt, Dans ce us quel-
ques écri\-aini suppriment une I : l'alegoria, U mImoM,
. ilBrtn, tRMUgnt.
U ne K prononcent comme un double / français que dans
un trâs petit nombre de mots. Tels sont si caraaall* («il
keiit'mti-loa), le taramel — la earratella (}eu luK-rr^u-tèl-
Yeu), la voilure — ela pstsiBelUi («nlç pou-tcbi-nùl-liç), Ut
marimtelies — al xltxaraUo (fiil chi-tch<»-T^I-lou), le mioclte.
Ces mots lont :]uelquefois écrits avec U : al oaruuUo, la
oarratatU, ala pntzInaUU, al aJUaretl».
Dans un certain nombre de mots,*les uni prononcent H
comme I simple, les autres comme un double / français.
Teb sont al coUafi («ni koti^lc-^i ou koul-U-ji), le caille '—
wnaoar (kou<lou-ka ou kooMou-ka), placer — aipalUr («hç-
p«H-li ou mç-pflfi-li), expiilier.
RiiUARQiJE. Dans tous les mots oti 11 n'ont pas le son des
Il mouillés français, ces deux lettres sont très souvent sépa-
rées par un petit trait d'union. Ex. : la col-laeaU, U-lnstra,
«Il patsiBal-Ua, al cal-lapt, eol-loear. Dans le présent \»M.toi
DE GUiniAiRE, toutes les fols que 11 ne se prononcera pas
comme les II mouillés français, la prononciation figurée en
•era indiquée entre parenthèses soit par (I), soit par (U),
suivant le cas.
19. — ■ et n te prononcent toujoun comme m et n fran-
çais devant une voyelle, par exemple dans les mou ramage.
tiavirt, ameHtr. Ces ileux lettre» ne donnent jamais k la voyel-
le précédente un son nasal : un, », ta, tu, la, 1», «m, m,
HH, on se prononcent toujours comme si a et n étaient
suivies d'un t muet français, Ex. : la lu> (Im famé), lafmm
— inUrior (func-tfH<riâr), aul/ritur — «1 rea («ni rème),
h rnmt — meara (fnne-kii-rfu), eacort — lapoMible (ime-
pou-cib-bl^»)) ""^<tM'^'' — riaUiicU.()ine-tMne-cid), rtH/«i-
tim — l'ombra (lâme-br«u), l'ombri — lu pattaa (oaae
p»fr-fouiiie), un parfum.
30. — nj se prononce comme le gn mouillé des mots
français eainpagitf, vigne. Ek. : Catalunjra (Vea-UuAoa-gaeu),
la Oilalogiie — Etpanya (fuç-pa-gnni) FEspagne -^ •! roial-
nrel (ru\ rou-ci-gnol), It rostignol — l'anj (lagne), Fûnnie
— JBBy(jougne),;HiH.
n se prononce i peu prés comme le gu mouillé des mots'
français campagne, vigne quand elle est suivie immédiatement
de g«, gi, J, 11, x. Ex. : l'ingal (lagne-jml), Tmgt — «tgl-
■yéi (flfgne-ji-gnoç), ingénieux — aanja (mégne-ja), i7 mangt
— l'enllaç (l;»gne-llaç), runimi — la ptuia Qeu pougne-
chfu), la poiitle,
11. — p te prononce comme en français.
p immédiatement précédée de a dans la même syllabe ne
se prononce 4>as, Ex. : el ckap (mI kame), le tbtunp — ab
oampi («tilç kamç), les champs — al napte (ml kàme-tm),
U compte — al llaap («ul liame), la fmàrt — la pranapeW
{\eii pre»-Eoame-ci6), la prixmpiion — al taaya (ml témç),
le Itmpi.
31. — n n'est employée que dans lés groupet qu, qii,
qlke, qva, qao.
qoe, qui le prononcent ki, ki. Ex. : tqnU, tduî-là —
';■■
l'viqum, la gauche — afal, ici — trufail, trmqttilU. La
lettre n eit par cooiéquent muette.
qla «e prononce houi. Ex. : la eoBHqftœla, la émisé-
^ueuct — M|AMtn (é), /quatre — la qitesUtf, la qiitsiimi.
3). — qu*e prononce ie»(i. Ex. : quaa, qimui — qoatra,
qno tonique m prononce tmo. Ei. : aq«te (a-kouôç),
«f ueux. qiw non ionique le prononce koti. Ex. : 6l fooclont
(»l kou-ciine), îequolUitl — qiwtMli (kou-tt-di-a), qiMtidien.
Mais en demie» mou s'écrivent aussi cocieDt, eotUii, la
prononciation restant la mfme.
14. — r est dnre et légèrement ronflante:
I* au commencement d'un mot. Èx. : «1 ran, li ra-
meau — U raada (è), la rtnit — rie, rîcbt — la roda, la roiit
-— alnio, l'âiu.
i' quand elU est précédée d'uhe des lettres I, m, n, s.
Ex. : el folro (à), la âouUure — MBuivra, Mnn'cc .^-honrat,
hoiiiUU — iaraalita, israilile.
)" quand elle est redoublée. Ex. : l'arroç, It ri\ — la
mm (à), U sablt — U terra, /a frrrr,
r entre deux voyelles se prononce très doucement. Ex. :
l'vada, la ebarrut — U larlu, laferim — l'kora, tlxare.
3j. — r dernière lettre d'un mot tantôt se prononce, tantôt ,
ne se prononce pas, sans qu'il soit possible de donner une
régie i cet égard. D'une manière très générale on peut dire
que r te prononce i la fin des mots n'ayant qu'une syllabe,
et ne te prononce pas à U fin des mots ayant plus d'une
syllabe, mais les exceptions sont très nombreuses. Ex. : car
(lur), thtr — elar (kla), clair — tl cor (kor), /( caiir — dsr
(dou), iur — U Oar (flo), la fleur — ■«: (mor), il meurt.
— la por (pA)f la peur — alitr (fli-i), hier •— ï'mmmt (\eu-
„,Gi)i.)'^le
LES CONSOttNHS 1}
mor), fameitr — il coloMar (kou-lou-nia), It cohmMer —
enter (ruae-tér), tnlitr — llaminer (llM-mi-né), gourmani —
madnT (yatu-Aoa), mûr.
Remarques, r finale eii muette ilaas Ici inlÎDiiif). Ex. :
parlar, parltr; uber, savoir; ciirtr, ctmiir; dvmir, Jcrmir;
ivi, porlir,
T finale est muette dans les mois dérivés. Ex. : U cUror^â),
la (larli — Il terrer (é), U forgeron — •! UAalUdM- (6), U
Imvailltiir — U triitor (ô), la tristesse.
r finale se prononce dan* les neuf adjectîfo suivants : aste-
rior (àr), puierier (or), clUrior (6r), tdtarimr (ôr), txUrior
(or), intorier (ôr), inperier (6r), intartor (Ar), buimt (Ar),
Dans le présent Abhëgë de ctAUiutRe, toutes les fois que
r finale devra se prononcer, la prononciation figurée en sera
indiquée entre parenthèses par (r).
26. —a se prononce comme en français, c'est-d-dirc tan-
tôt cumme f, tant6i comme ;.
Elle se prononce comme t dans les quatre mots l'alaiaa
(lful-ii>n«u), le chine — endinur («une-dine-za), pénétrer —
mlonur («une-foune-za), «ir/(>»(Yr — MHOiiar(raz-niour-Ea),
déjeuner. Quelques auteurs écrivent ces mots avec 1: l'altlia,
17. — t se prononce comme le t du mot français tattl.
t immédiatement précédée de I ou de o dans la même
tyllabe ne le prononce pas. Ei. : ail (U), haut — matait
(m/u-lài), maiait — ol eait {eu\ cane), le tbant — contât
(koune-téne), content — eridantManl ((H-bi-déoe-méne),
évidemment — al put («h1 poune), UpiAit.
Pour b prononciation de tU et de tl, voir ^ 17 et 18.
■ 4 LES CONSOMHU
Rehakques. aqaMt, cectl, pretque toujoun prononce abllt
quand il pricCde immédiatement un nom commençant par
une coMOnne. Ex. : aqnut gall, a coq — aquat Mal h»Ma.
le méchant bommi.
■qnNt, tfltti^i, et aquatt, cti, eeux-d tont toujours pco-
noncéi aiitt, aliil(. Aqnait ho ha dit (Akétt on a ditt), Ceil
alui-ci qui Fa dit — aqaaata aAna, cet arbres — aqnwU
galli, CCI coqi — aqnaata honu, us hommes — aqvaata antiea
caitella (é), at vieux cbétteux — A«n«iU hs han fat (Akétç
ou ane f^). Ce soal ceux-ci qui Vont fait.
Mais a te prononce toujours dans aqnaatu, aqnaita.
Le tubslaniif pluriel )aa poiU, Us plaacbei, se prononce
ttiiç potç.
28. — T se prononce lonjours comme b français. Ex. : la
vaoa (itu ba-kfu),- la vaebt — «ail (bill), vieux — al ▼{ («ul
bi), h vin — la n>ra (itu ho-teu), h hori — thU. (boull),
19. — w n'existe que dans un petit nombre et mol*
d'origine étrangère et se prononce comme ( français.
]o. — X se prononce de plusieurs manières;
A. Au commencement d'un mot, ou dans le corps d'un
mot après une consonne, elle se prononce comme les ch du
mot français cbirchtr. Ex. : zic (chik), ptlil — la xanca (Itu
char-cheu), UfiUl.
Iz précède d'une voyelle dans le corps ou 1 la fin d'un
- mot, se prononce aussi comme tes ch du mot français cbcr-
cbtr. Es. : la oaiza (Ini ka-c)wu), la caisse — ol paix (eu\
pèche), le peitioH — e^ (cAche), brileux — la Madoixa Qeu
Cnc.^le
LES COHSOHHES 1}
aieu-îoa<heu), la fraise, Qqelquet écrivains tuppriment i
lorsque ix ^tiçlài d'une voyelle est daas le corps d'an moi:
la casa, la madoxa.
izse prononce comme Ube des mots français bkbe, riche,
dans les mots «1 gnfz (<"l guîche), It plâlrt, et li (iche), '
il sert.
B. Dans les mots commençant par w, la lettre z peut se
prononcer de trois minières:
1* Comment quand u est suivi d'une voyelle on de k.
Ex. : l'azamen (Iru-gza-nwune), fexanun — l'axampla
(UH-gziime-pIm), tex€mpk — raxlatenoia (bu^iç-tcne-
ciru), texislenct — ezhalar («»-gun<(a), txbaitr,
2* Comme ç quand «i est suivi toit d'une consonne
autre que e, soit d'une o non suivie de o, I. Ex. : l'exu- '
vaeU (I«(ç-kfl(-b«i-ci6), ftxMvatim — «xtarior (mç-ww-
riâr), exUrltur — axtram (cnç-tréme), extrême.
3" comme k quand az est suivi de ce, ci. Ex. : ucallmt .
(Mk>c«ii-lèae), exctlUiil — ncitar («uk-ci-ta), txcUer.
C Dans tous les autres cas x se prononce comme k(. Ex. :
la mixlÉM (Uu ma-kçi-mm), la maxime — la nflaxld (W
r«u-fl«u-k;iA), la rifiexioa — fis* (fi-kçou), fxt — al Uxt
(ml lékçt), h Itxit.
3 1 . — _ y se prononce comme i français.
33. — Les consonnes catalanes dont il n'a pas fié parlé
e prononcent comme en français.
(•;.„■« ,•
IV. LIAISON
)3. — La prononciation de la dernière ou des deux der-
nières leitrei d'un mot catalan \'arie quelquefois te!on que
le mot (uivant commence par une vo}*elle ou par telle ou
telle consonne.
}4, — Les variations suivantes ont lieu devant un mot
commençant par une voyelle, par b, on par une consonne
autre que e, t, k, p, q, a, t, z :
t* a fînak change sa prononciation habituelle de f en ;.
Ex. i^htmnÇriA-zo-mttti;), les hommes — lMdMw(l^iiz
do-n^nf), les femmes — «la eiHpa i tla prati (i-nl( kain-i:!
eul^pm^), tes iJtamps el les pris.
a* ca et ga changent leur prononciation habituelle de
^( en gj,. 2x, : ab mca braman (eulz rougi bra-m«une),
les ânes braient — caUlegtiproip«ptM(kru-tt-lfng-£iprouç-
pék-teuç), cittitlogiies et prospectus.
3< ifs change si prononciation habituelle de itç en idz.
Ea. : ab ptriga 1 las nllf («iilç pouidzi IrHZ ballç), les eolU'
ues et ta vallées.
4> ka et pa (non préc^f de m) changent leur pronon-
ciation habituelle de pf en bi. Es. : Saba algnaa eoial
(çab-unl-gou-nru ko-zru) Saîs-lu mu ehosef — •!■ eapi '
groaaoa (eu\ç kabz gro-çouç), les têtards,
j" ds et ta changent leur prononciation habituelle Ue tç
' en di. Ex. : Irtds o calaaU (fr^d-zô keuAéaç), frais eu
chauds — toU alla (tôd-xùllç), eux lotis.
6" ( change sa prononciation habituelle de f en x_. Ex. :
U lalç i U dalla (}tu Ql-zi-Uti da-lUu;, la faucille et la
faulx — u gof gros (oune g6a groç), tiu gros chieu.
7* if précMi d'une voyelle change sa prononciation
n,r;„.=-i>, Google
SYLLABE TONiaUB I?
habituelle de Ifh cii Jj. Ex. : Tsig nu hoBW (vè>djou-
nomtii), Je vois un homme. — if pr£cfd£ d'une consonne
change sa prononciilion habituelle de Ucb en idj. Ex. :
mig otwrt (nii-djou-bâitc), à inoilié oiaitrl. Quelques per-
sonnes ne fout pas cca liaisons.
8° ix piicidi d'une voyelle change sa prononciation
habituelle àc cb en /. Ex. ; afaeix hmoê (fn-k£-jo-nifu),
cfl btiniHie — GoU i bami (cô-ji bor-ni), boUeiix cl borgne.
— is prcccdc d'une consonne change sa prononciation
liabitucllc de ùh en ij. Ex. : gnis 1 c«lç (gui-ji kilç),
plaire tl cbiiii.t. Q}ic\qaci personnes ne font pas ces liaiKins.
35. — e, p et t se prononcent ^, b, H devant une con-
ionne autre que c, f, k, p, q, •, t, x. Ex. : Doc llilirM (dong
h-bteiiç). Je jfoile îles livres — up ngla (kab r£g-gl^»), pas
le règle ^- Mt meiot (séd iné-ïouç), srpt mois.
36. — La t finale de aanl, laial, habituellement muette,
,c prononce devant un nom commençant par une voyelle ou '
ur h. Hx. : lanl Intonl (çanc-lntne-to-ni), stiiiil Anloinc —
lant Hilari (çane-li-la-ri), saint Hilairt,
Outre fe mot laDl, la t flnale, muette quand elle est pré-
:£dcc de I ou de n, ne se prononce, dans certains cas, que
lans un nombre tr£) restreint de mots.
• V. SYLLABE TONiaUE
)7. — Dans les mots catalans simples, la voix peut ippu-
cr plus spécialement sur la dernière, l'avant-demiére ou
'antépénultième syllabe.
La syllabe sur laquelle la voix appuh plus spécialement
e nomme syllabe tonique, et la voyelle qu'elle contient
oyelle tonique.
: -CUh ^Ic
l8 tVI.U*B TOHiaVE
}8. — Lci mott dont la >ylUbe tonique ut l» Jcrniire
ic nomment nioti aigui. Ex. : pwlar (syllabe tonique l«r),
Parltr — l'uM (lyllabe tonique Dell), Vaitiiiau.
^9. — Les mots Jont \» sylUbe tonique est l'ivant-Jer-
niire te nomment mots graves. Ex. : U tut (syllabe toni-
que u), In maiion — ol Inro (sylUbe tonique br), /« /irr.
40. — Lc»motsdont la syllabe tonique est l'antL^pûnuItl^me
te nomment mots esdrùixuls (pron. ; <uz-drou-<houlç). Ex. :
riyocB (syllabe tonique è), npaqiu — U ■&■!« (syllabe
tonique né), la mmiqiit.
41. — Un accetii, aigu ou grave, ne peut âtre plac^ qu'tu
dessus de la voyelle tonique. Dans un mot ayant une voyi:11e
accentua, la voyelle tonique est dune U voyelle accentuiic.
Mais, le plus souvent, l'accent, aigu ou grave, n'Otant pas
écrit, on reconnaît la syllabe tonique d'un mot quelconque
(substantif, adjectif, verbe, adverbe, etc.), de la manière
«livante:
1' Tout mot termina soit par une voyelle, soit par une
diphtongue croissante, soit par n précédée d'une voyelle,
soit par a précédé-e d'une voyelle ou d'une diphtongue
croissante, est grave, c'esl-1-dire a pour syllabe tonique
l'avant-derniére syllabe. Ex. : usa, kems, cirl, C«go,
Uilia, i^oria, aerla, Uengna, parlfHln, cnlliD, caam, cirla,
etfM, tribot, rOHpaaaia, parlla, aerlu, eapecÎM.
3* Tout mot terminé soit par une diphtongue décrois-
sante, soit par ■ précédée d'une consonne, soit par ■ pré-
cédée d'une consonne ou d'une diphtongue décroissante,
soit par une consonne autre que n ou i, est aigu, c'est-i-dire ~
■ pour syllabe tonique la dernière syllabe. Ex, ; dMmai,
muf, benicet, irai, eaelan, coma, lltixiti, renon, Inlern,
contom, bnala, germana, dlman, eKlau, conent, dljans, .
uiUe, aulml, oottam, fUoiep, loacor, tMint, ealabt.
„,GlK)'^lc
DIPHTOKGUES I^
}* Dans tout mot faisant exception aux deux réglet pré-
cédentes, lu voyelle tonique est lurmontje d'un accent
aign si elle a te «on ktmé ou d'un accent grave si elle > le
ion ouvert. Ex. : ganni, Mereè, mwfnf , oempaajrâ, ningti,
iligi, iliba, iptea, cllebn, ilcall, eambU, «itadlB.qttMUtf,
eomprin, diriu, dMpréa, iMirAi, rillgidi, parliran, Ugnii-
tln, liclli, orfgeu, lâliari, arUitie, ioid, Ulègrat, catitog,
UcU, lldaliulm, carlct«r.
41. — La lyltabe touiiiue d'un nom (substantif on adjec-
tif) est toujours la niOmc, que ce nom soit au maKulio oa '
au fiiuiimn, au singulier ou au pluriel. Ainsi dau> ttwuiê,
français — traacau, fraiipiiie — Ifummi, franfais — tranet-
•M, fraiifaists, la syllabe tonique est e«; mais ce nom, qui
est aigu au maicnlin singulier, est grave au féminin ainga-
lier, au masculin cl au féminin pluriels, parce qu'il a une
syllabe de plus,
VI. DIPHTONGUES
4}. — Une diphtongue est constituée par l'union de deux
voyelles disvemblab'ca. Cliaque x-oycllc conserve le son qui
lui est propre, nui!< elles appartiennent toutes deux ila même
«ylUbc cl se prononcent d'une seule émission de voix.
La voix appuie plus spécialeiuent sur l'une dct deux
vo3-elles. Quand la voix appuie plus spécialement sur la pre-
mière voyelle, la diphtongue se nomme diphtongue décroU-
umc; quand elle appuie plus spécialement sur la seconde
voyelle, la diphtongue se nomme diphtongue croissante.
Il existe i} diphtongues: 8 décroissantes et j croissantes.
Dans chacune de> diphtongues décroissantes, la seconde
voyelle est loit 1, soit ■■ Dans chacune des diphtongues
croissantes, la première voyelle est soit i, aolt a.
. Gnw
30 DirHTONOUD
Quand, (lins une diphtou|>uc, d&roîiMnte ou croissinlc,
la VD)Ylle lur laquelle la voix appuie plut ipvcialemeni est
la voyelle ■, la diplilonguc peut avoir deux prononciatîoni,
auivant qu'elle k trouve ou non i la lyllabc tonique; quand
la TOj-elle sur bquelle la voix appuie plu* ipL-cialemcnt est
une des voyelles 0, 0, la diphtongue peut avoir trois pro-
noticiations suivant que e ou a un son ouvert ou fermé,
ou ne se trouve pas à la syllabe tonique.
- DiniTOKGUeS DËCROISSAK'I I:
tiWt
la daint, le êaim — mai, jamais
tuiiu
al caird, U carreau — t^ni, flairer
ïou
camre, tomber.— U clan, la clef
eiiou
dairar, rfor/r — al llautr (•:'), le
ferbhulier
iiWt '
ai raaiai, le rtmfde — U falna, U
besogne
éille
la liai, la M — U raina, la rerne
eiiAle
Mnar (é), hherieiix — U taaiUt. la
timlié
èou
crann, croire — al pran, k prix
êou
U nen, la neige — tan, Ion
««ou
eranii, il croira — Tauràa, Iti verras
oïl
la boira, le brouillari — A soi, le
garfoti
6il
n'existe pas
ouille
U baiaau, le pelit birti - boirja.
brumeux
■ i,,Goi)gle
DIPHTONGUES ]I
(oou «1 eonn, It ciiivrt — l'on, Fauf
Aou al roar«, U thiiit — ■! pod, h puils
OB non toiiiiiiic devrait *e pronon-
. ccr OU-OU ; en r^alitû on pro-
I nonce eu-OM : coMri, il cuir» —
I plOKà, iV/lfrHlTrt
in (on Mcriiire, /crirt — «1 rim, h cours
ni ouille Kni, mijoiinfbiii — Tolt, l)ail —
knldar, viJtr
RfOiJUidur.. L'ortliogruphe la plus usuelle change i, »e-
coiiJc voyelle d'une diphtongue, en y. On écrit donc le
plus louvent dayiM, tuy, cayri, fUjrrar, reinij, fayna, Uay,
riyiu, fejvar, ■Mjttti boyn, noy, bojnaU, bofrài, ajuj,
vnyl, bnydar.
4J. — DIPHTOXGUES CROISSANTES
ja, Jfjà (pron. îa)
Il clammeia, /<i diniena — U flt-
rf«, ia gMre
lldglMie, rbygiiiie
inhlnt, ambiant
l'upida, rf!pt(t — la Miia, k sirit
to, »io( (pron. io)
rnplmUt, Ff-i^lesiou — la n^, la.
Maridioaal, miriJRonal — rafional,
rigimal
DiritTOKCVES
u oua igul. rgtii — vutie, quatre
Ioai k cOBMfttincia, h tmisfquriict —
la trtftaiiola, la fiiqiunet.
«t i ouc bvqMnt, frtqiifiil — wgttnt, mi-
(vani
ourn U qfiMtié, k qiiesHon
4€. — Lorsque, tlans un nint .contenant un dus t} j;toii-
pes prûcvdcuts, une «les deux voyelle» e»i surmontée d'tni
accent, U diplitonguc existe si cet accent est écrit au-dessus
de la voyelle *ur laquelle la voix appuierait régulièrement.
Ainsi les mots suivants ont chacun une diplitongue: cUm-
nda, è»car, BadJ, etc.
Mais si un accent est écrit au-dessus de la voyelle sur
laquelle la voix ne devrait pas appuyer r^uliéremcnt, il n'y
a pas de diphtongue, et cliaque voyelle appartient i une
syllabe distincte. Ainsi aucun des molssuivanls n'a de
diphtongue: pafa, ralm, Uadt, rafna, T<i, pe&c, keroliu, dfa,
filMiHa, lu vlan , cambfaa, fttioio, eda, cfoa, codUbAo, cod- __
trltafn, etc..
ReiuitaiJE. Dans la plupart des mots où un des <!ronp<.-s
■t, aa, al, ol, ni, aa ne forme pas de diphtongue, l'ortliogra-
phe la plus usuelle intercale inuiilcincnt h ctttrc les deuii
Toyellcs; dans ce cas un accent n'est écrit que si les régies
d'accentuation (^41) l'exigent. Ex. : raUn, Uahal, vahl,
•Ub, coBstniUm, cantrilraliafx.
47. — Un groupe de deux voyelles autre que les trciitc
groupes précitéi ne (orme jamais de diphtongue:
traaix, rai, craar, llatf, poar, eoaat (é) ont deux syllabes;
taatn, pnraalx, Uaooa, croaU, poaU, hèrot ont trois
tyllabet;
n,r,„.=-i>, Google
nirHTOKGL'B 3)
inraonar, racrMri, tririw ont quatre syllab».
Rkharque. Dans la plupart des mots contenant un de*
groupes ■•, ao, m, l'ortlti^niphe la plui usuelle îniercale
iiiulilcinentk entre les deux voyelles. Ex.: traheiz, raU,
racMhaiz.
Remarques sur gna, qna, gui, qui, gna, qia.
4$. — D:iiii gu, (pM, gol, qui les lettres tw, ni ne formenl
pu de diphtongue, parce que go et qn se prononcent com-
me des Ivitrci sintples, ci que la n ne se prononce pas. Il
nV a donc pas de diphtongue dans les mots gaarra, qMdar,
■nitarra, qiitri. «
Mais lorsque la ■ de g», g«i, qne, est surmontée d'un
trfma, la diphtongue existe parce que a se prononce, 11 y a
donc une diphtongue dans les mots Mgttaiit (i), lisgUaU,
eqOeitr* (i).
49- — gu, qna contiennent la diphtongue na. Ex. : gnar-
da, qnatia.
gnai, dans le mot gnaltar, gtitlttr, contient la triplilongue
nai. Voir le paragraphe suivant.
Vn. TRIPHTONGUE
}o. — Une Iriphtongue est constituée par l'union de trois
voyelles, qui, tout en conservant chacune le son qui Ini est
propre, appartiennent i la même syllabe et se proDODceni
d'une seule émission de voix.
il n'existe qu'une Iriphtongue, nai, dans laquelle la voix
appuie plut spécialement sur « (ouaille). Cette Iriphtongue
se trouve Mulcnteni dans le verbe gnalUr, gutller.
!■, GiX);
MOmnCATIONS OKTHOCMPHiat'Et
Vni. MODIFICATIONS ORTHOGRAPHIQUES
}i. — Ainsi qu'on l'a vu pr^cédemmunt (^$ loiji), cer-
tains toni ne sont pu toujoure figurés par le* mCmcs con-
sonnes (levant toutes les voyelles; le tableau suivant indique
les changements i observer pour obtenir le mCme son détint
toutes les voyelles:
Son de ( .- ça, et, cl, ce, ça
Son de ( français ca, qna, qai, C«, en
Son de koii ; qui, qfta, qOi, qn»
Son de g dur français ga, gne, gnl, go, ip
Son de geit : gva, gte, gU, gvo
Son de / ; ja, Je ou ge, fi ou gi, Jo, jn.
ja. — Il arrive fréqueninienl que le sadical d'un mot cata-
lan quelconque (substantif, adjectif, verbe, etc.), se termine
par une des consonnes c, Ç, g au par un des groupes de
lettres ga, qn, qui, comme on vient de l'expliquer, n'ont
pas le ni^me son devant toutes les voyelles. Lorsque le mol
subit une modilîcation, c'est-i-dire lorsque sa désinence
primitive est remplacée par une désinence nouvelle, le son
figuré par la demiire lettre ou les deua dernières lettres du -
radical doit être, devant la désinence nouvelle, le même que
devant l'ancienne. Il est donc nécessaire de modilicr la der-
nière lettre ou les deoi dernières lettres du radical, si la dési-
nence ancienne commence par a, o, v et la nouvelle par •, i, '
ou inversement. Ainsi :
e qui précédait a, a, a (ou e.i la Kn d'un mol), se change
en fa devant «, 1,
et invenemeat: .
.■i>,Go.oglc.
IIODIFICATIOHS OHTHOGUPKIQDES
qn qui préci^dait a, t se change en c devant a, #, a:
ea, e«, en — qo*, qui,
qa qui prûc^d^it a, o se change en qtt devant e, I,
et inversement;
qft qui procédait t, i te change en qn devant a, o:
ç qui pr^ci^daii a, o, n (ou f i la fin d'un mot), le change
en c devant a, i,
et invcnemeni :
a qui précédait o, 1 te change c» ( devant a, o, n:
(«, ça, Çn — ca, cl.
B qni pr^c£dait a, o, a (ou ( i la fin d'un mol) m change
en gn devant a, 1,
on qui procédait a, t *e change en g devant a, 0, «:
0>i fOi 00 — gna, foi.
gn qui précédait a. en change en gt «levant a, i,
et inversement:
gtt qui priicéUait a, I te change en ga devant a, o:
g qui précédait a, i *e change en 1 devant a, o, n:
g». §1 — i". |o. I«t-
Enexples ;
rio, riche, change en qn devant aM^riqaau, rù-bnu)' tt
devant fiaim (riqâfulm, Jf'^ rtVlw) parce que o n'a pas devant
a, 1 le m^me «on qu'i la fin d'un mot.
i.GcXn ^
2«
tlCKCS DE rONCTOATtOir
r, Miqiier, change ipi en q^ dex-ani le* détincnce»
conimençaiil pir e ou I: obllqtn, oMIftl, etc..
Goamçar, lûiiimmctr, change ç en c devant le» déxincacet
coiiinicnçaiit par a ou 1: contHCVB, commcU, etc. Inrerie-
ment, Tiaear, tti'wtrt, cliange e en ç devant le* désinences
commençant par ou a: Ttnço, TMifat, ou quand il n'y a
pas de désinence : tmiq.
carrtfir, cbargtr, chaii(;e g en gn devant les désinences
commençant par s ou i : oamgnea, camfMin, etc.
ligna, eau, change g en gft devant an : aigtera (é), Mer.
De même Umigva, fangut — UwgftaU, pelilt langue.
fngir, fuir, change g en 1 devant la désinence o : tilo.
' IX. TRÉMA
;}. — Le tréma se place sur la ■ des syllabes gfet, fûa,
' Sfti, ffti, pour indiquer que cette lettre doit se prononcer.
Ex. : BlgAara (é), Irw^nt (é), llagtiau, etc.
Dans ce cas la u forme diphtongue avec la t ou la n qui
la suit.
X. SIGNES DE PONCTUATION
J4. — I^s signes de ponctuation sont les mêmes en cata-
lan qu'en français et s'emploient dans tes mêmes cas; on doit
pourtant remarquer :
I* que les points d'intern^iion et d'ciclamatîon s'écri*
rem comme en français i la fin d'une phrase, et, en outre,
renversés au commencement.
Coiij^lc
SICNES DE POKCrUATIOK 3?
Ex. : iQnan n norir «n PanT — Quand Pan! t$l-il m»rl?
iQb'<i boxfoaqtint «rallt — Quect;btval tttjolil
Uiw i» plinitci trùs courtes on peut n'en mettre
qu'un i 11 fin. Si la fin de la phrase «t Mule intcr-
rogative, le premier le trouve louvent au milieu de
la phrase.
1* <)uc l'on met toujaun deux pointi en lilc d'une lettre
aprâs la formule : Volt (6) Smror (A) ■■" C) = Mmsitur,
ou toute autre de ce genre; BaUnat bmIo mm (é) ; Mou
tber ami, etc.-
CHAPITRE II
LES ARTICLES
I. ARTICLES DÉI-INIS
J5. — L» anklci dirini» uulan* lont al, h — «■(, Us — -
■, U — In, kl '.
)6. — Les artkks masculins «I, k, «t ali, /m, se coniracieni;
avec d«, rft-, e:i dal. Au — M», its
avec a, à, en al, au — aU, anx
avec par, par.fxmr, en pal, par U.ptiir /«— p«lt,'/(ir Us,
Enehplks:
al Uibra 4al para — U Uvrt du pire
Taffl al lardf — Je vais au jurdiit
PaMam pal pont — Passons par U pont
U porta da U ca*a — la porte de la maison
ala eliran (é) 4a lea Ubriquei — Us ouvriers des usines
le* linaitrea (û) dala tallara (c) — Us ftuilres dts ateliers
, Dosan aqBaat pa ala pokraa — Doniiti te pain aux pan-
I On écril MUTtiit lo in lien dt al, loa •n lien ie ala. L'article
r^minin pturld lai l'ccfFt wimnt laa, it miuit qnc In DOmt f liiitli leli
4tM caïaa, dftoaa, diaa, tu... t'kii-nnt HWTnn caaaa.dtaaa,
n,r,„.=-i>, Google
AITICLES DÉFINIS »9
Vm (c) ■ la ciuUt — Va à la ville
pal* maUixoi noUi» i per les mataisM raou (A) —
[>oiir Ut mêmes motifs el pour Its mimlf misons
57. — Devant un nom EOninicnçant par une voyelle où
pir h, l'article musculin al, /«, se change eu r. '
Ex. : l'avi, le grand-pire ~ l'aitndi, Véltiât —■ l'inpori,
rempUe — I'm, Cos — I'hH, l'œil — VYum, Vhamtçon —
l'barbalari, riiivborisU — l'kJTeni, tbiixr — l'bome, tbomiiie
— Iliamor (6), rinimeiir
La contraction avec les prépositions a, t», par est faculia-
live : on emploie 4«1, al, pel ou dt 1', a 1', pw 1'.
Ek. : AqneiU «lui 61 dal bortali, ou : it l'horteU — Of
oiilil esl au jardinier
Tinc mal 4l nll, ou : a l'nU — /li mal à rteil
Han paasat p«l hort, ou : par l'bort — Jh ont passé
par k jardin
;R. — DcvjDi un nom commençant par une voyelle ou par
h. l'arliclc féminin la, ht, se change en 1'; mais cette élision
est facultative quand le mot comnietice par 1, «, n ou U, bo, -
bn et que la syllabe tonique n'est pas la première.
Ex. ; l'avia, la «raaiTmère — l'iliga, raille — l'harpa, la
ixirpe — l'eMioU, l'iccle — l'hwl» (i), Tberbe — riUa, file —
l'ideaou la idea, r/rf('« — l'hUtoria ou U hiaUria, rfrù/ciW—
l'ombra (6), l'cmbre — l'oralla ou U oralla, VortiHe — llura,
rienre ~ nnnaïUUt ou la haiiMUU^. Vboiiniltlé — l'aagla,
r^igU — l'nniut ou la uiiUt, raniU — nnmlut ou la ba-
■iUt, rbiimidilé.
J9. ^ Quand, dans un mOme membre de phrase, l'article
masculin al, le, est précédé d'un mol terminé par une voyelle
ou par une diphtongue croissante, et suWi d'un nom com*
mentant par une consonne autre que b, il se change en 1.
Ex. ; ForU'l p« al Un (é) para — Porte le fain à tm pire.
• n,r,i,7-i>,Co )t^le
]0 JtKTia.El DETIKIS
On a VU (5 I?) que devant un nom commençant par une
voyelle ou par h, l'article d *e change en r.
60. — Quand, dan* un marne membre de pbrate, l'article
■naiculiD ■!■, tes, en précédiï d'un mot termina par une
voyelle ou par unt diphiougue croiaunte, il se change
en la, ()ucllc que loii la lettre par laquelle commence le
nom aulvanl.
El. : Uaata lllbrea ai atpuat b«1 — Dount la livret i cil
tufiint
Earit'la aturtb al len (é) oeaf — Einim la Mieaiix
à loH cousin
6t. — Q}iand un des moit hionsiinr. Messieurs, Madaiiie,
Misdiiiiui, Madtmmeik, MtsiUmcistIbt eu auivi d'un quali-
ficatif, l'article, placé en français entre le mot en question et
le qualificatif, se place en catalan devant un de* mol* (anjor
(ô), ËêMjon (d{), Mvjtn (à), aenyorea (ô), arayorata,"
■' MmjmUM, si l'on parle de l'une de ces personnes, et se
. tupprîmesi l'on s'adresse 3t elle.
Ex. ; Moiisitur k cohntl dt ce rigimiiit est à Barctitnif. —
El aMayor (à) eeronel d'a^naat ragiBuit (l) <a a
Baroaleu.
Benjmir, Monskiir le Ministre. — Bon dfa, amifor (à)
Wmiitra.
^3. — On ne traduit pas l'article défini français;
I* Devant un des six mots caaa, maison; eacara (é),
cbatse; Mtaaa, messe; palan, fnitais; pâaaaig, prcmtnnde;
fuqun (i), féebe, prit dans un sens indéterminé et pré-
dii d'un verbe indiquant tilualion ou mouvement.
El. : Moa frire est & lu maison — El man (é) gémi éa ■ usa.
Henri ira i la chasu — Barie nlri ds eaoan (é).
!^Go()j^lc
ARTICLES DËFINIt
Jl
Le giiiéml va ait filait — El gratnil n ■ ptItM.
Je v'uiis dt la proHienadt — Tioe de paiMtg,
Miis ilans un seni iléterininé on emploie l'aniclc:
ABflm al pal» diU nb (£) tf'&ngA — ^//oni au
palu'n des rois d'Aragon.
Talg al PaiMig dt Oncia — Je vais à la PremtuaJi
de Gracia.
1* Devant \* pttipart Jet nunis de provincci, Je payi,
de coniincntt, prii ilans un leni général.
Ex, : le climat delà Catalogne — «1 eliua d« ClUlBB]ni>
La Fiance est un {mys Hcbe — n«Bça ta ■■ fati ris.
L'Amérique ti'nt l'as aussi peitpUe que tEiiropt —
Amèrloa no ia tant poblatU Ma Bnropa (6).
Mail dans un *ens U^érniiné on emploie l'article:
l'Eipaaya d« CariM QaiBl — VEspagne de Charles
Qiiiiil.
j" Dan* le» cxclaniaiions:
Ex. : Le heaiicbevall — HannitoaTallI
éj. — L'arlicte Jtfini neutre In m place:
r Devant les atljectift emploj-^.iubitantivcmeDt au
singulier.
Ex. : lo AUl i In tnAUl — riiUle el riiinlile (c'est-i-«lire, ce
qnrcst utile et ce qui est inutile, l'utilité et l'ino-
(ililé).
f n lo mé» fort del cmalMt — an plus fort du tombal.
In aobla i In paUltUo dal (m Çé) pMJteU (i) — ce
que son projet a de iiMe et de palrieliqM,
3" Devant des substantifs ou des adjectifs singulien ae '
rapportant 1 une personne et indiquant IVtat ou la ma*
. niùrc d'fitrc. , ■ . '
■Go.it
J-^
ji akuclcs paititifs
Ex. : Tiare « lo Mldat — rivrt tu toldat.
kAm\n le' 4MJnUrMut f>* lu nUt m Kqsnt it-
gecl — J'aêmirt nmbitii il a iti MiiUrtsti êaits
Htagi fak lo iotM (v) fie et — Pmvnue ne suit
avnbita il fil miV/wh/.
)* Devant un adjectif pluriel *£par<£ du substantif <|u'il
détermine, et avec lequel il s'accorde.
Ex. : S'ha d'idnlrar lo valMU (£) ^n «An — // faiil ad-
mirer leur courage.
SoBbla iapoMiUt lo cntnui (û) f«f wtla — On
ne t'imagine pat comme elles ton! eenleulei.
4'* Devant les adverbes employés adjectivement.
Ex. : le afnp i le Uiiqr — ce qui est rapprocbi et ee qui ni
iMgni.
II. ARTICLES INDÉFINIS
£4. — Les articles îndélînis fraiiçais nn, une ic rendent
par «m, wu.
m. ARTICLES PARTITIFS
6;. — Lorsque le substantif est employé dans un sens
général ou indéterminé, les articles partitifs français ie, du,
de h, det, Ame se traduisent pas en catalan,
. Ex. : li n'y a p»t it p«itt — Mo hl ha pa.
rofn du faiit el de là viande — Atpif ht ha pa i cara.
Ai-lu de Cargetil i — Tau (é) dinara (é)T
)'ai des ornugft de Valence —■ Tiae taroagoi deTalanola,
AMTICLES PARTITIFS }3
66, — Lorsque Jn, dt, la, des, etc., précédant un tubsian-
ttf, lont pris en franfais dans le >ens de un peu it, quil^urs,
on peut les rendre par on poc 4e, na Mtct de, ou, wmt,
•]guu, âlgnBM.
Ex. : Domie-moi au vlii — Ddna-M aaa viea de irt.
C« J«((/ rf» AM» rfe i>MM — 8te ou waica d'as Unb.
Citaitiil lits maisons de Iwis — Erm (é) mua CUM
defoiU.
Dts mUteiiis arnvirttil — Tu âiribar mu aat-
6~. — Du, de la, des, etc... se traduisent par del, d» U, dt
r, dflU, de iM, lorsque le substantif est déterminé.
Ex. : Vends-mei'du drap que lu as fabriqué — Ten-Mt de U
tala que liM laliricBt.
Doiiiie-lui des pommes que lu as — Déu-U de lee po*
MM (à) q» Uu (é).
On dit aussi : Tta-m« Ula de b qM hu labricat — DAm-U
'po»M (6) de les qwe tens (é).
CHAPITRE ni
LE GENRE
'68. — U y», CD caufan, deux gcnret : le maiculin et le
timiala.
69. — On reconnaît qu'un *ubstantif eu maKulîn ou
féminin d'aprtïi le* rj^les tuivanie».
70. — Tout Ici tubstantiri désignant dei hommes M>nl
matculin*.
E\. : Fan, Paul — l'hemB, Fbomtnt — al «aplti, le eapi-
laiut — al marudar (é), It marrltaud — al para, It plft—
al fenar (é), U bmtlaugtr.
71. — Tout lei tubtianiift désignant dei femmet sont
féminins.
Ex. : Maria, Marit — U dtu, Uifimmt — la bagatara (é),
h NattcbifUHU — la nara, h mèrt.
7a. r~ On reconnaît le genre des subilantifs qui ne dési-
gnent ni des hommes ni des femmes, Ji leur dernière lettre,
ainsi que l'indiquent Ict paragraptiet tuivantt.
7). — Let lubttantift gravei on esJrùixult termlnét par
a tout féminint, tauf :
I* un grand nombre de substantifs dérivét du grec et
analoguet aux substaniifs fraudais équivaleuts, tels que :
A eliBa, U cUmal; al drana, It irami; A ilataMa (é), It
tfahm, etc.
n,r,„.=-i>,G00glc
3S
i' les subitamifs tuivaiiti :
al eblera, le tboUra b1 pant^, U partplutt
el comeU, la coiitèle al planaU, ia pUntie
et le subtuotif pluriel tb «Iotm, Ut tiiviroiis.
74. — Les substantifs aigus terminés par a ïont nuicu
lins, sauf la Ma, la main.
7}. — Les substantifs terminés paria ou U sont-féminiaf,
sauf al ilbt, U jour, et al traoïTii, le tramway.
76. — Les substantifs terminé* par Ç sont masculins, uuf
la calç, la ebaux U Uf, la face
la clcatrig, la àaUrke U fait, la faucille
L'orthographe la plus usuelle écrit aau lieu de ç i la fin «le*
77. — Les substantifs terminé* par • sont ntasculins, sauf
I* Les substantifs <)ui ii)di<]uent une qualité, une pa*-
sion, un vice, une faculté, et le* terme* scicnlifi<]ue*:
a' Les substantifs terminé* par Ma, la, itrofe;
)* Les substantifs suivants :
la baaa, la baie l'imatga, rimagi
U cla*M, h classe l'fndota, le caraelire
U falanga, la phalange U laringa, le larynx
ta faringa, U pharynx la llabra (é), U iiivre
la laae, la phase ' U paata (é), h peste
U 1«, lafei U ptoba, laplibi
la Mm (é), lafiivre la tarda, taprèt-mtit
la Iraaa, la phrase la torra (A), la taur
llilolau, TbygUiie
ordrs est maKulin dans les sens iuiVants : ordre, hait
ordre, rang, ordre de bataille, ordre iarchileclure (dorique, lot
cait, etc.); il est féminin dans le* teni *uivaaU : orJrtdt d^
ié IM CFSUf.
î-aJerit, cidir milUithc, temmanêt, ftdrt dt eMitmtru, orirt h
m demriliqtif •! im nti n , le désrrdrf, ctt loujoun mu-
tulin.
78. ' < Lct ïiil'iuiiijfs tcmiinï-s par f lont nMKulïni, ttuf
U UMf, le tang. (I.'orlhographc la f1ii5 uioclle ictit U
UMk.)
79. — Lus siibiuiitirs turmitiL-x par t sont m.iïculint, uuf
U élMi, le àiist, et la IW (c), la Ici.
h, fin, est maaculin et rvminjn.
80. — Les substantifs tcrraint-s par I sont masculins. Mal :.
l'ami, la rae'we la Boral, h tnomle
la Datedril, la talbédralt la ul, h sel
la ool| le eboH la injal, le signe, la nuirqut
la daatral, /a /Mrtir la iDcnnal, Jlrr /Hminq/f ~'
la Htl, le miel U Tocal, la wytile
Soat masculins an fvrainins suivant leur acception t
al «aaal, le eanal — la «aaal, la geulliire
•I c^tal, h eapital (somme fargtnl) — la eapltat) la
exilait (vUU).
81. — Les sul>stantlft terminas pr II sont masculins, »nr
U r«n (i), la ptan, et la viU, h tvU&.
83. — Les sulMlantifs icnninJi par m sont masculins, sauf
U taa, la faim, et la llagia, le l^ame.
•I !!■■ désigne ce qui produit de la lumiirt (bougie,
lampe, etc...); la Uni solfie la lumiirr.
8). — Les substantifs termina* par a sont masculin», sauf
la ean, la riande.'
n,„i,,-=-i>, Google
A •in signiliu k ntmmeil (itat du dornicui); la ita signifie
k tommeil (envie de dormir).
84.
tubïUiilil'i terminus ]>ar uiHt nutculii», uuf:
lu cbaniou U praltMd, /« proitaim
U Ulç6, /n /«tau la ni, h nihiii
la prai6, la priiûii
8;. — Lcf lubstautifs terniinét par U lont t'émitiins, sauf:
«1 baïUi, U bastion «1 MranpM, ht rougeole
«I gal6, le trait d'union al Ulté, li lalloit
al milU, /i: mHliott al tii, b Iw»
I, Muf,
86. — Les itibslaiitir» tcnniiiis par p sont masculin
la aarp (£), le serpent.
87. — Le» substauitl's (cmiinéi par ar. ar, ir, ar sont .
masculins, sauf U llar (r), le foyer.
mar (r), mer, est masculin et féminin. Suivi d'une épi-
tliite géographique, on l'emploie au nusculin. Ex. : al nar
Haditarr)!, la mer Miditerranit — Ses composés la kaiza-
mar (r), la mer basse, et la plaMUur (r), h pleine mer, sont
féminins,
S8. — I.es substantifs terminés par or sont nuscalins,
sauf:
I* Les subsunttfs dérivés d'a(l)eciifs, tels que U olaror '
(ô), ia'elartt; la (oacor (d), robscnril^; la sagrar (ô), la
maigreur, <
3* Les substantifs
ir (ô), td cbaltur
aor (ô), Iddénian-
[geaison
lOor (<y), U ebou'
[fltur
la cramar (ô), la hrùlure
l'amUor (ô), la cbakur
la fatar (ô), la puanteur
la fior (d), lafieur
riaflor (A), Vtnfture
U U«ror (A), la stmatn la nmat (à), la rumeur
la Bâror (A), /a. m^r/r la imt (6), /a /urar
la pleor (à), /« ifmmt^miifii la Kafoyor (ô), b granit
la por (A), /a ^nr [rMtur
•1 pBdvr (ôr), lignifie ta pnitur; la pater (ô) la puanltur.
89. — Les «ubaUntir» tcrtnin^* par a sont nuKulini, Muf;
I* Les subsUntifs ({nve* ou esdrùixuls icmiiné* par la
ou par4aa.
Cependant al parlateaU, la parmibéif, est masculin;
a* la tM, la loiix.
Sont masculins et féminins raBlUati, Canalyie, et l'talaali,
fempbate.
•Ipala((i) signifie ltptmh;U poI>(<>), la potissitre.
ftminins sauf :
al coaut, /<■ rmli
l'iaaUUt, riiiJliliil
•1 eoaUt, U aW
al i-airadat, le rbuiiie
ri <la«tat, la ihtih
. al randUt, U rdsiilfal
raattt, r/ltil
ri UacUt, h IrmU
l'aaUUit, le slalul
«1 vaicoBUt, /* viamiîf
9t. - - Les amrci substantifs lermitiï') part ton mMcalim,
luf:
la eort, ta ceur (ftin ton- la nlt, la nuit
\rerahi), la basse-tour U paret, le mur
la dait, lit âeiil la part, ta partie
la loBl, tafailaiae la paadent (i), la ftnlt
la gtat, tes gtni la paput, la bii^ ,
U Uat, le tait la talat, la taule
iM mai\, îa tiwrl \ la aarpant (é), /( Mr/ir»/
.■i>, Google-
Lit CBKRR J9
U Ut (è), la soif la ntUat (é), h ptnthaal
U urt, le sort (4'une colline)
l'art, Tait est maiculin ou féminin au singulier ; au plu-
riel, il est rOiniiiin : Im ImUm (é) arta (aTç), iit btaux^rlt.
eorrast {i^icearaiil d'un amrs tTtau, est nuKuUli et féminin.
92. — Les tubitaiiiifi lerminis par n sont miKulini, unf:
la eren, la croix la non, la noix
U sninra, It renard . U pal, ia paix
la matrin, /a HMfrÎTf lapardin, /njterJnx
la Ban, // navire U tribu, la Iribn
la nan (é), la nage la Tau, /n voix
ete
u signifie /« clou — la elau, /« clef.
tlièn, U suif '-\Ati
, /d ealbiâiaîe.
FORMATION DU FÉMININ
Le rfminin des noms (substantifs cl atljectifs) te fonne
d'après les règles suivantes.
PREMIÈRE RtcLE
93. — Les noms graves ou esdrûinult terminât par a sont
invariables.
E\. : agrieola, d^ricn/f -r balga, M;^ — imUgm», indigiu$
Bxatmosi ; Le féminin des substantifs suivant* est îrré-
gulier ;
l'anddlaca, f archidiacre — l'arudlasaiMaa, Tarchi-
[diai
al ilaea, U diacre — la diaeMMia, la diacenttte
•1 poaU, le poile — la poatlaa, la peiUtte
ti rnUU, h prgpbile — U pnlMi», la prepMtist
94. — Lct nami grave* ou ettlnlùuU tcnniniis pir • for-
meat Icar ffminin en changciai b en a.
Ex. : «lu*, nuire — alln, aulrt
uipla, largf — MVl*' '«f
nacta, ookI — axaeta, fxatU
•1 Bâfra, U aigre — la aafca. In itigr*ue
ExCEPnoNS : 1* Sont invariables :
A. Les non» terminât par Ma, bra (sauf fohra, /htiivrt).
ji» (sauf aMple, lai^e), Mtra (tauf al waalrt, le maUre),
anu, aira.
Ex. : aoblB, noble — UoaUe, laaMe — eilakra, ciUhre —
■iKpb, ùmph — caapaaUa (é), cbampiire — asUonM, uni-,
forme — erldalra. criard, criarde — el drapalra, le chiffonnier;
la dr^airt, la chiffetimirt — al pallatra, le laiiiinir ; la pallaira,
U femme du lanueitr.
B. Lct quatorze non» suivant! :
iraJM, arabe \vn ^à), jeitire
Ullagfla, bilingue lladra, tvleur, voleme
cimplica, comftiice lUara, libre
iraTa, grave Blape, myope
haretge (i), birilique paraani, perpiliitl
iUutoe (I), illustre salTatsa, tauvage
IntaHi, infime tanna, linu
i'êffi aigre; alagra {é), gai, et pobra, panvre, ont deux
fèminiits : agra et agra; alagra et alagra, pobre et pabia.
J* Le féminin des substantifs suivants est irn^lier 1
l'aloalda, le maire — l'alealdasaa, la femme du maire
al UBOsga, le chaimne — la eaaongasaa, la chaiioineste
al MBta (à), le eomie — la BOntaasa, la eomleiu
lliinM, U hiru — l'karafoa, tbirtXne
aljatfa, /(/ly^ — Ulatgaïaa, la femme du juge
•I netg» (C), k mAhvlii la netaMaa, h femme Jit
[méJeàii
«I autre, le iMlIeur — la cutniM, lit femme du taUUiir
A «Mtn, le mailie J'i'eok, a pour fciniiiin !■ nMlia, la mmï-
Iresst d'école; la aaatrMU sigiiilîc la palromie, ma'a dana le
lens de patron al Mtatra eit actuellement remplace par rasa.
4* Lt fcminiii des substantifs suivants diffire entitJrcmont
du masculin:
l'aM, Vàiie - la aoawra (i-), râiuise
•1 geadra, lt getiire — la nora, la bru
rbome, rbomme — la dtea, la femme
al maaela, le mâle — la femalla (^), la femelle
l'onola (ô), ronele ■ ■ la lia, /ft /(»>/«
. al padraatre, le panUre ~ - la audfaatra, At marâtre ■
al para, /<: /xVt: — la aura, la mire
95- — Les iiom» graves ou eidnlïxul» tenninét par I for-
ment leur féminin en ajoutant a.
Ex. : l'aTJ, le graiul-pire — l'aTla, la grainTmirt
l'harbolarl, VlierborUle - - rberbaUTla, rberborlste
ordfaiari, onliiiaire — ordioaria, ordinaire
aari, savuul — lavia, savante
96. — Les noms graves ou CHlTÛinuls teimin^ par a for-
ment leur fiminiu en changeant en a.
Ex. : oago (i), aataglt — caga (û), aveugle
èl mnlata, le mitUUre — la snlata, la mulâlrtsu
ENCEPDOKi : al polira, le potilaiii, a pour fOminin la pa-
tranca, la poalktie: al tan, U taureau, a pour fémiain la vaca,
lavacbe.
DEUXIEME R^LR
97. — Les non» aigQi lemiinûs par u
leur fémiain en ajoutant aa.
: raj'clle forment
il I.R CENME
F.K. : si ssmà, k frète -
nmÀ, TMiam — wiii, romtiut
là, idin — UM, A>în«
4Mi, ilxiimt — dtMaa, dixUmt
pl«, ^(H -7 plaaa, /•/aW
«I tùÊi, le foiiiin — la cmIbi, U amsiiie
•I pslrl, /( (nintiiu — la padriat, h marraine
be, fa)» — kou, Aoiir»
•I coHfMjrtf, '« (ompagnon — la umpairna, /n mu-
oportt, opporlnu — oportaaa, eppcrluiie
ExcemoKS. : cemi, commim, cammime, «t iovarUble.
ma, (TH, et a«, hh, rorment leur féminin en' ajoutant «:
•1 bard, /« hirpu, a pour fOniiniti la barauaa, la barcmie.
A BHriU, U Mier, a pour fL-mitiin l'orall», la brebis.
Rkhanque. )M, faiii, devient boa <]uand il précède immi-
tliatcmcnt un lubitantif nuscultii. Ex. : bon iU, boujoiir —
■■ bon bon», nu brave bemme.
98. — Les noms termiDil-ï par an, an, in, on forment leur
fC-minin en dinngeant a en va.
Ex. ; blan, bien — Uava, bleue
l'aaalan, Feselavt — l'aselava, Feieluve
VUim, rbérîtitr — lliama, rbérilUre
{nan (i), juif — Jnsrc (é), juive
eapUn, raptif - captiva, laplive
tla. 11/ — tira, rive
■on, neuf — aora, neuve
ton (6), mon - - tara (ô), wW/r
£\CEmOKs : saan, saatv, et bran, bref, brhf, sont inva-
riable*.
•I éta, U âitu, a pour fcminin la deMU, la détœ
plskM, plibiirn, * pour fûminin ptabtta, plébi'tttwe
99. — Cinq non» seulemcnr lont terminé» pur ■!, tl, oi :
ib fonnent leur fcminio Je la nuniùrc tuivantc :
irai. S"' — ï"''' S"'*
tl ni (^), ie roi — b raina (c), ta reîtu
•I Tirral (t), It vkt-rei — b Tlrniaa (i). '" vict-rtine
bonh»!, genlil — bonicoU, gttilHU
•1 noi, hgarçtitt -~ U nota, lafilMlt
TROISIÈME RëCLB
100. — Les adjectifs aigus terminés par at, it, mt forment
leur féminin en changeant t en 4a.
Ex, : fat, /<»/« — UiAt,faAe
mont, violtl — minvda, violtlle
axqnUit, txqiili — es^iiltlda, txqsiise
htimlt, humide — knailda, biimide
agnt, aigu — agoda, aigaê
mat,,' m iiel — mnda, niiielle
ExcEFi'ioKS : Les vingt adjectifs suivants forment leur fé-
minin en ajoutant a :
grat, agriablt laUiiU, infini
immadiat, iiuiiiidial Banaacrit, maiiiucrif
itagnt, ingrat
9aM.pttil
innat. iiiité
. abMlBt, «»«•/»
fuanaat, imaisi
•int, sec
■euat, MHMf
aiMt, ruU
contrit, coalril
brut, wfe
anidit, irHdil
davolnl, divollt
ftiit, r^lif
iimiiM, Iris pilil
laamdtt, iaou!
' dlaolvt, diistlu
I.a rcmjuia de ces aOjectift eti donc grtU, lagrtU, etc..
Ainiî qu'on le verra au chapitre XII, lc« participes pauét
dit, Mtrtdlt, MwUt, et ceux lerminit par Krtt (Morit, lu-
ertt, etc.), forment leur T^minin en aiouUnI a : dlU, M*
criU, etc..
Gnq subftaaiifs teulement tont tenninéi par al, itj lU
forment leur fifminin <le la manière tuivanic :
l'akat, CabU — l'abtdMW, rabbesu
•I caoyat, le bemi-frirt ~ la eaayada, la MJt-siriir
' al fat, /( cbal — U gaU, la tballe
•I UUrat, U Ullri — U UtnaU, Uijtmmt àt Ultra
•I MdMitat, UremplnfiiHl - - U mImUUiU, la rcmpUfauU
101. — Les adjectift grave» terminé* par 11 forment lent
fiimittin en ajoutant a.
Ex. : UUdt (I), ilikift - UUctU (I), iUkiU
laidit, iniàit — IbMIu, inidilt
fMt, expert — fMta,exptrU • '~'~
Voir auui 5 104-
103. - -- Les noms terni ini-s .par M, ot, forment leur fémi-
nin en ajoutant a.
Ex. : al banat, rdiian — la burrata, la pelile âtiim
conplat, eoiiiplel -■ - eonplau, fomplUt
lit, prière — aiU, prière
el net, U pelil-fili - la a<U, ta petile-filte
dmt, Jéviil — doTota, if^u>/<
ranot, /liHgui — raiati, éloiguée
' ExcEmoNS : Les trois substantifs luiv-ant* ont un féminin
irrégulier :
•1 fcraisot, le loreier — U kmixa, la sercUrt
al didot, leptrt mmrrUUr — U dida, la mtiirria
al Mkat, U neveu — U Mkoda, la tiièee
Voir aussi le.^ lo^.
n,r,„.=-i>, Google .
Ul CBKIIB 4$
10}. — Les adjectift Unntn^ par ant, Mt (c), lont iava-
riâblcs.
Ex. : MBiUat, nmîaul, mitltitile — IgMoraat, igaorml,
igiiormiU — «rldrat (£), fvulfnl, h-iJmle — potMt (é),
piiisHiiil, piihsatile.
E};CEFrioNs : Les quinze atljeciifs suivants forment leur
fcminin en ajoutanl a.
ucnwaat, satro-sahil Umnl (û)> hiitânl
■ant, tainl opBlnt {i), opultnt
atmt (c), alfatlif taagniaolnt (é), smtguim-
oalNt (é), ebauà [Iml
coant (c), piqua»! (omnolant (£), sommUnf
MsUat (£), cànleiil tvbnlaat (é), turbulent
dotent (£), mkhtmi Tiolant (ù), ti>/rirf
lent (û), /«II/ Tiraient (é), vini/ra/ -
Le fûniinin de CM adjectifs est donc aanta, nteaU, etc...
Six substantifs seulement sont terminés par ant, ant (ë);
cinq forment leur fûminin en ajoutant a:
rinbnt, {"nifml — l'intanta, Fitifmile
•I parent (v), le parent — la paranta, U paraile
el pénitent (£), lepéiiiltiil — la panitanta, tapitiitaite
•I ragent (u), hrigenl — U reganU, la rigente
• al aerrent (c), le serviteur — la aarrenla. In Krvtitite
al gagent, le géant, a pour féniinin U gagaatataa, h géan-
te; parfois aussi la gaganta et la gegintoaa.
104. — L'orthographe la plus usuelle écrit arec t floale
trente et un adjectifs qn'il est préférable d'écrire avec i. Ce
bâtard bnid, vide
lâche aaU, fluide
ri întjraid
I, sourd
.■iCQOQV 'c
1" Les ■djectir* tuivanu :
icM, tulJ/ Uqnid, lîqaiJt
bU. nriJt Itfià, Imdt
ItM, aviit piUd, pâlt
cilld, chaud plidd, pUcidt. .
oèadid, ttn^Je pMM, ptrfiiU
MpliBdid, spUiidUt pdtrid, pulriJê
UUd, filidt ripid, rir^<i«
Mtépili tlupiit rfgld, r^^U;
iMpàrtd, Ml» peur lUId, ^o/iib
tulfld, imipidt UmM, f/mûit
Utoiptë, in/riF^iï Uirid, lorridt
lavilid, iHurfù/e vilU, tw/ùb
Le féminin it ces trente et un adjectif) ett lou)our( teruii-
ni par a : tsHs, Mrda (A), frada, aaplindida, ripida, etc.
loj, — Lci adjectifs tcmiitiés par t et non cooiprii dam
le* catégories précédcnicf (§^ loo à 104) Farnient leur fémi-
nin en ajoutant a.
El. : aalalt, malait — BalalU, matadt
aenlt, svtU* — esnlu, svtlle
disUnt, ditllitcl ~ diatinU, diiliucU
•djint, fi-jeiiil — adjanta, ci-jeinte
ipUnt, riii^iiUnu — fninta, dnqiiiimi
cart, ttrlaia — aorta, ceiiniiit
daawt, dùtrl — daaarU, déarU
San,ferl~tni»,fcrlt
Uiat, IriiU — trliU, Iriilt
Tut, vailt — vaata. vatU
aCATRIÈKE RÈGLE
106. — Les adjectifs terminés par c forment kor féminin
en ajoutant a. '
h,r,„.=-i>; Google
LE GENRE 47
Ex. : Itao, uiaigrt — Otu, ma^rt
■M, sieîie — MM, skbt
boaio, joti — konica, friit
bUno, btaiit — Uinci, thmlu
ExcETTioNS : i« Le* quatorze non» luivanu fonneul leur
fOminin en changeant e en |a.
raalo, Fami groo, jaune
aatic, nHcitii Uao (^}, Aiïc
Trawaie, ftaatmi ■anjae, Ahu
bixae, ^mhJ mAïUo, cin^rin
leréttao, sylvestrt ponui, penriux
garric, i/A'f/c abao, 0^9 m
grec (i), )>rn' zanio, «fib-^^V
Le féminin Je ces noms est donc l'aBiga, aaUga, etc.
Ri»AHQUE. L'onliograplie la plut niuelle écrit avec ok lus
trois adjectiTs aaiarGli, amer; aailoeb, «uaU^ui; Uarck, imig,
— qu'il nous semble préférable «l'écrire avec f : aaiarf,
anilog, llarg. Le féininin de eus adjectifs est terminé par fa :
■narga, aolloga, Uarga.
30 ei dnc, h âiic, a pour fûmïnin la dnqoau, la iathau.
)<■ l'adjectif pore, M/^ a un féminin- régulier parea; mai*
le substantif al porc, U fore, a pour féminin la trala, ia
Irait. ■— «I boo, k bûoc, a pour féminin la oatoa, la chèvre.
107. — Les adjectifs terminus par aç, oç, sont Invariables.
E\. ; aadaç, anJacieux, audacieuse ^— aapaç, cafaUt —
atroç, atroce — ttrvç.firoa.
Mais les augmentatifs tcmiiuét par aç furpicnt leur fémi-
nin eu ajoutant a.
Ex. ! graBdag, graud tl disgracieux — grandaçi
flrMuf, gros et laid — iroaaaga
■ i>,Goi>'; c
io8. — Ixt aJjcctirs icTiiiiiict par iç rurnicni leur fémiain
en ajonum «. ,
r-\. : eaUf, rmUaire - - caUçt, takairt
■flciç, maifif — Mtciça, nuuthv
HxcErnoK : teUç, beiirnix, htunine, ett Jnnruble.
Rbharque. L'orthc^aplM la plus usuelle écrit aau lieu At
9 ilh lia des mots, ci n dex-ant « dcsïnence du féminin ;
109. — I.e* noms terminus par If forment leur féminin
en changeant if en j.
Ex. : botf,/pn — b9}a,/W/r
nif, nngt — nia, rongr
Evcemoxs : IWf (0> '"'•'. » V°»i fûminin Ua^a (é), leitU._
mi%, âtmi (que l'on écrit le plus souveni wêX§), t, pour
féminin aitja, Armit.
cixai'iiiMi: ntcLi-: *
nu. -- - Les adjectifs terminés par al, al, U, ol, sont inva-
riable*.
Ex. : ftnaral. gitiira}, g/uénilr - ■ fidal, fidile — kuail,
humbk — qaatoarol, qufleeiiqiie.
Exception» : Les quatre adjcaifs suivants forment leur
fi-minin en afoutant a :
ill, Iranquillf — traaqoila, Iraiiqiillh
ml — «ipaiijola, espagiielf
Bol, uul — aoU, uiih
1a-s substantifs terminés par al, al, U, ol, forment leur
l^inin en ajoutant a.
Hx. : d f lair a i, k gfuiral - - la faiarala, lu ginirali
I, kfmrbrr la pareaiala, fit fwchlre
„,Gi)t)'^le
SIXIÈME téCLB
III. — Lei adjectif terminéi par ar tout iDvarîabfu.
Ex. : ludliâr (r), familitr. fëmilièrt — rii M U f (r),
éUmtMtairt — ngilar (r), routier, riguUèrt.
ExCBmOHS : Lei Iroîa adjectifi inivinti fonneal leur ftoii-
oÎD en ajoutant ■ : .
arar (r), ovsrv — ivan, mart
oar (r), chtr — «an, ehèn
cUr, rtoir — elara, cimrt
Le tulnuntîf «1 taar, U Itar, a pour féminin la taariaa, b
Itarint.
m. — Lct non» terminé* par ar forment lenr féminin .
en ajoutant a.
El. : •■ganyador (6), trompeur — •ngaxyalora (A), irom-
peuu
•1 laetor (6r), k kcleur — la iMÙHl (ô), /a leetria
•1 lanjrer (ô), le monueur — la aanyora (A), ia ismt
trebaUaior (A), travailltur — tnlwUadon (4), ira-
vailleuu.
ExCBFTioHs : I* Les trois sabuanlifs inivants formeal leur
féminin eu changeant iar ou ter en tiin :
l'acter (Ar), TaeUur — l'aatrlu, Taetrùt
renparàdor (A), Ttn^atr — ramperatrii, timpi-
■ratrice.
l'IuUtatoc (6), Tùutiluiair — l'IuUtntriB, Vintti'
a* Botar (Ar), moteur, a pour fémînini nutwt (A) et
WrtiiB, molrict.
y Les «louie adjecitfi luivantt (ont invarublea :
antorior (Ar), anlirieur poateiieE (Ar), pmièieur
«Uarior (Ar), eiUrieur nlterler (Ar), lûlérieur
CniHiiwjn MtitnH. 4
¥^
vt (in), extérieur taUrter (if), ût^^Hr
» (Ar), lupirituT iateitor (Af), inférieur
mat/ne (A), pim grand, mnai(it),pfiapttii,imoi»ire,
[mâjenr, ^ni \mintiir
■Ulor (A), màUtur ^MpK (A), ^re
ti). — Lei nom» tcrmioéi pat «r, vr fonneni fenr fémi-
nin en ajoutant a.
Es, : UaalMr (^), gourmand — UamiMn (é), gourmand*
ftlmat (i), premier — priasra (é), première
tf Mfcatv (é), b eerdounier — |a Mknttn (é), la »r>
denniire
matât, mùr — Miinn, mare
fmi{t'), pur ~-tmn, pure
SePTlÈUE KÈGLB
114. — Le* nonu aign* KnnÎD^t paru,M,it, h, ufor-.-
ment leur féminin en ajoutant a.
El. : ni, nu — nia, rdte
francia, français — francMa, franfoise
Srii. ;rù — friaa, grise
pneUi, prùieux — ffaolMa (A), prkuuti
lAtii, Mus — Alnaa, ofrfuw
Exceptions : Lei orne non» raivantt forment kar féminin
cnajODUntu:
«••la, rare caléi, cciess*
fna,grai graa, gros
a^t», ipait . Vit, tours
aMsHa, ej^rh roa (A), hiend
amfa, «mû nu, rusu
wamla,mtmit
ht féminin de cet non» ctt donc Meana, pana, etc...
r>r,„,=-i,, Google
HUITIÈME RÈGLE
ttj. — Let non» qui ne lont pu comprit itn» la (cpt
Tègks pricédente* forment leur féminin en ajoutant •.
Ex. : ganëal, partatux — gasdala, pvataat
•1 fUl, Itjilt — U Ulla, lafillt
wU (é), lùux — nlla (*), viàlle-
lêm,firmt — twmM,ftrmt
prin, mittct — prima, mina
medara, moderne — notena, moitrnt
Hgte, second — aagosa (ô), sttonie
Up, raaatU — Upa, rastaiiit
baiz, fcu — baiza, iuiK
Goix (A), helleux — aaiia (6), Mleuu
"Exceptions : gran, grand, granit et d bMIt, le mérlyr,
la ■irtlr, la martyre, sont invariablei.
d cavall, te ebeval, a pour féminin l'anga (é), /« jument.
«1 saU, /« i-df, a pour ftmlnin U galUna, là pouU.
al Uap (6), U kuf, a pour féminin U llota (d), la tome
•I frtMêp,' le priute, a pour féminin la pctMtaa, Uprm-
i.'Gooj^it;
CHAPITRE IV
LE NOMBRE
FORMATION DU PLURIEL
Le pluriel Jet nomi (lubiuntift et «djectifi) te forme
d'âpre* let réglei taivantei:
PRBHIÈRB IttCLB
n6. — Ajontenlt :
I* Les noeat gnvet ou etdriiixaU tennmit toit ptr une
TDTelle auire que ■, «>it par une dei deux diphtongue*
U,Wê.
Et. : l'artre, Farirt — •!■ artne. Ut arira
•1 «Iri, It tûrge — iU ciiii. Ut cîerga
Mf* (i), m/tuglt — segH (i), mtugla
U UOm, U Irihu — In tribu, la liibut
b Mri«, la térit — lu lariu. Us stria
IMUM, tiuH — tMMi, UtIUS
1* Le* noms terminé* par une diphtongue décroi**ante.
El. : l'eaial, Tt^att — «la npala. Us espaça
U liai («), ia-M — lat IMa (é), Us Im
tf Ml, k garçm — «la. nota, la garfoni
a4Mm,Uéi — tU dasB, Us dés
karaa, bMlUr — karau, MritUrs
•I ■!■, b MÙf — ala ilu, Us vidt
al kav, U kra/ — aU bon, Us bauft
,,8le
rOUUTION DU PLUUEL {]
)* Lei nom» lennînéi par vne contonne autre que ■, (,
1, M, rt, Ig.
&. t «1 eork (A), U corbeau — aU COTbi (6), la orhëux
Uaoe, Moue — bUau, bUna
rie, ritbt — riet, rvAn
Uqnid, liquide — Uqnida, liquides
•1 citàlag, U (ubikfut — •!• uUkgi, Ut eatticguti
•1 pal, le mal — •!■ p>l(, Itt mais
•1 B&Tol, b nuage — ab aivob, bi nuages
al nurUU (i), Zr marteau — ala ■arWU (é) Ut mar-
teaux
al rigim, U régime — ala rèoima, Us régimes
al nam, b nom — ala bobi, la noms
• 0nui< grand — gra>a, graiidt
,- eH nia, U monde — ala nona (A), /u awitin
al bany, U bain — ala baaya, tes bains
.- al llap (à), b J0u^ — ala llopa (À), Ut Uufs
par (0, pur — ptun (r), purs
•1 carietar, U earaelire — ala carietwa, Ui caraetint
ai gat,' le chat — ata gâta, les (bals
l'hort, U jardin — ala horta, les jardins
tiy. — Let aoim griTea ou ndrùÎKuit terminé! par a
changent ■ en aa.
Ex. : la cianeia. In stunte — lei «iaaciaa, Us teitutet
'euu, couru — eartaa, courtes
l'bnU(é),Fberbe — iMhMi»n(é'), Ut herbes
U Umgu (i), U langue -^ laa Ilaivttaa (i). Ut lan-
gués
U Taea, la vaebe — la* nqnaa. Us whet
U fitoica, la fabrique — laa Ubriqtua, Us fabriques
Remarque. L'orthographe habituelle écrit cet plnrielasTec
- aa an lien de aa : danoUa, ooitaa, Ukrleaa, eic...
14 rouuTtw ou nutiii.
DBUXI^B KÈCLB
liS. — Le* nomi aigut tcrmiDé* par une vojelle on ptr
la diphtoogae U aionteni aa.
Es. : la ma, U mmh — 1» wmm», lu maint
•1 flanU, U frire — aU gMvaaa, Usfrirei
A M, Tagntâx — «la bèu, to agneaux
fia, ^bût — plaaa, ^'w
«■iU, buUiimt — TaitMU, builiimts
•l^aai, ItefeMHH — alacaHlHa, la chemins
d saU, b M(Im — ala nalou (6), ksmdêni
d triU, fc JrîhiR — ab tribmaa, la Irlbum
tamà, ctmmun — nnaïaiii. eommuni
la MoM, la nalim — laa Htdnu (6), Us natimu'
•1 nllU, b imV/ira — eli aillou (6), lu miUimi
ExcuTtOMi. Lei nom* lulvanti n'ajoutent que a.
•t Uatarf, U Kiloiiri — «la Uataria, Us hittaiais
al «afè, Ue^i — éU eatta, les cnfis
la la, lafri, Tadi — laa laa, I« aelis
la mmk, la maman — lai M«Mia, les numms
' U aurai, U griet — laa Maraii, Us gréas
iittai,UbilUièmlre — tUv»§K*»,lesUlUlii
9rirt
alp^ Upapa — «lapapla, les papas
•Inpi, UltÂaeipriter — ttampi; Us labaesi priser
al twM, U ruKs — ala riUa, les rubâ
■ al aoa, fa iqfa — da Botta, I« A^M
alto,fa<M — atatw,faifMi
Lei adjectiù an, eru, «t wi, mt, font •raaaa, Miaa, ^vd-
qaefoli va.ni ma, ■«.
n,(,i,:.=-i>, Google
TIOUlfaUE RbOLK
119. — Lei non» grave* ou etdifitxuU tenninét par •
sont invarUbIci.
Ex. : la eriaii, la eriu — laa aU», Us enta
•1 dlnweiM (é), U mtrcndi — ab dlnaena (é), ht
mtreniis
al dlnndrM, U vmirtii — ato livandraa, Its vniriUs
120. — Lei nom* aigui terminât par a ajonient oa.
Ex. : al -iaa, U vern — ala moa. Us v€na
tnatit, français — I ra a c aaaa, français
al^afa, Upajs — alapafioa, la pays
grandUa, graniuae — graadioaea (d), gmuUcsis
al fna, Uftuem — ab foaoa, lafmtaax
fala, faux — falioa, faux
rinca&a, Feiicmt — ria tnaanea, Usmaiis
al diaenra, U discours — ala Uaevaàa, la iUtt»urs
ExcarriOMi : i« Let cinq lubiuntifii aulvanli «ont inva-
rlaUn:
al 41J0U, h jeudi — ali ii|ou, la jeudis
al dlllniu, U lundi — ala dillniu, la lundis
al diman, le mardi — rta diMara, la mardis
•1 tan^t (é), U temps — ala taapa (é), les temps
U toa (A). Zfl toux — laa tu (6). Utioux
■ 2* \M non» (uivanu ajouient aoa :
al coltfa, U tûhsse — ala coloaaoa (à), la eohssis
al oompia, U ampat — aU «oavaaaaa, la tampas
al «anMa, U tanfaseur — ala ae n la ai oa (é), la uaftt-
seuri
•1 00a, b t«rpt — ala waaaa, Us earpt '
•1 dania, la tenture ~ ab dMMaa«a, la Itulura
FOUUTICm DO nutuL
nfHê, txprù — n^ncHa (é), txprit
•I Iraeii, riniiueis — •!■ fa*eaMa«, ta imiufit
pUi ^lu — fnMM, gr*s
sn», /r« — frawM, gni
l'tMOTta, rûiJ^/f — ail taUNMM, la inUrUt
■1 «aUUf, /( mattJta — «la ■■IiUmh. la matelas
al Ma, Unti — ab wuaaa, Us nu
«dl, «mû — OMiiMM, omis
Tèa, Fts — ab taaoa, ks os
Vit, Tours — ab taoa, la ours
al pat, Upas — ab paaaaa, lapas
praHa, prefis — prataiaoa (i), pnfast
raa, riutf — nuaoa, russis
Ajoatent également aaa:
t« tonj lei notni terminét jtu d» (unf Irancia, frau- '
ftfù) et Ici partîcîpei passé*;
3* tom lei nom* terminés par gria (unf laligria, parMS-
mm),
odatrième règle
lat, — Le* noms terminés par ç, i, ac, at, ajoutent m.
El. i al bng, k irai — ab braçaa, la bras
Miç, bamux — laliçoa, bturtux
al gog (6), k ehùm. — ab fagoa (A), la cbUni
. al Udç, U Mfl-bn — ab Uiçoa, Us mtrhsHs
•I oablx, U iimir — .ab ealaixaa, Us lirrirt
al paix (é), UpnssoK — abp«izoa(é), lapoissom
oolx (A), Mtux — eoixaa (6), boUtux
BmIx, faihU — IMxea, fathUs
•1 iita, UpUirt — aU gaizaa, UsplHm
'8l^-
■IbOM, le boa — «bkMOO*, Uilms
trm9, frais — fMW«, frais
«1 kut, ItUt^iilM kartM, la Uls
tsBMt (6), fimesU — I Im mMi (i), funesUs
tritt, Iriil4 — Ulstot, tristes
A Mrt (d), le nuùl — tta WMtM (A), In MM^b
Remarqdis. L'oitb<^T*t>lu habituelle ^ail ■ ao lîea de t
i la fin de> mou (al bna, Mla, d 9M, al llaa) : le pluriel
en alon écrit avec deux a (ala toaaaoa, IbUmm, élt flaaaw,
Lef adjectif» féroinii» tenniné* par 9 ajoutent m, et la g
te change en e.
El. : «ndaç, audaâaiu — avdaeai, auJacieutes
faliç, beurttue — faUeei, bturnists
L'orthographe habituelle écrit aodia, Mdaaua; talla,
hllaaaa.
la poat (Ira poçt), la pUttcbe, a pour pluriel régulier las
poata, nuit ce pluriel le prononce potç.
Exceptions : Les lubstantifi féminins terminés par f sont
invariabl».
Ex. ; la faç, lafaa — laa fag, Us faces
la falç, lafaueille — laa blç, lesfaudlles
L'orthographe habituelle écrit la faa, laa laa ; la lala ; laafala.
133. — Le* noms terminés par tg ont deux pluriels : l'un
. formé 'par l'addition de as, l'autre, moins employé, formé
par l'addition de a. La régie ett la suivante:
Le* noma tenniné» par Ig précédé d'une voyelle changent
g en laa.
Ex. : al ralg, le rayon — «la rajaa. Us rayons
tl paasalg, la promenait — ala pasaataâi Uspremtaaitt
retg, rouge — roloi, rougts
on anui ralga, paaaaiga, ralgi (ralt(, paceitç, roïtç).
•I p«if , U altim, n'a qu'oD plnricl : ris falgi* (pouitç),
Jto (wHwa. — Itoli (4), Mf, bit aa ploriel tto^M (é), quel-
qucfoù auHi IWfi (llAtc).
Lei nomi terminét par if ptMii d'une «Muoone chan-
gcm f en 4m.
El. : M 4m1|, Ir Alilr — tU êmUim, I» ^Airi
^■i>,Go()t^le.
CHAPITRE V
LES ADJECTIFS
I. COMPARATIFS
II). -T- Le Gompiratif d'^pUilé se rend en faisant préci-
dcr le positif de Unt, «nm; le que français se rend par oom..
Ex. : Pierrt est aussi fort que jtuut — Sa Nn (é) <• UM
fort cea \an (à)
Pierre n'est pas aussi riche que Paul — Ea P«ra (é) ao
6t tant rie corn m Pan
Pierre esl aussi travailleur que mm — Es Fer» (é) <•
Uat trttallMlor (6) oob ]o
Pierre tsl aussi inttltigtiil qu'il U parait — Ea Fer» (*)
et tant lateUisnt (ine-tfu-li-géne) oom «aaAla
Pierre at venu aussi lard qu'hier — Sa Pan (é) kâ
' Tiagnt taat tard oom aUr
COHPAUTIFS DE SUPËaiOKITÉ BT D'iHFÉlIOtnt
134- — Le comparatif de supériorité se rend en faisant
précéder le positif de Héa; plut; le coroparalif'd'iiiftriorité
se rend en fiiisaot précéder le positif de taoa, «mûw. Le
fur français se rend par qaa.
r.-,,--^.Goo^ :
El, : /m» ttt plus pniitnt qi^ittitlUgtnl — Ea Jaai <■ ■<■
indnt (é) qM taUUlgaat (é)
Luûi id mens rubt qu'Edooëri — Sa Uifi é» bmm
rieqMl'Eiaard
/«H (ff plus aimable fw M — la Jmh <■ m<i >■•-
UiqMU
Pûrrf eil vmn moi'frf lard qu'Uer — B» tm* (é) ka
vlapit MMM tard qw aUr
lEHAKaUE
laj. — Lci deux adjectifi luivanti ont deux comparatif*
de topérioriti:
!■ Vn régulier formé au moyen de mit et do potJiîf ;
' 3* Un irr^alier.
k», Itm — ■<■ te, mlllor (à), meilleur
■al, «MUMÙ — mit mal, pitjar (ô), pire
RBHAKQDe, aal cl aala ne t'emploient que quand ils pré~~-
cèdent Immédiatement un labitantif; dani tau* lei antre* ca>
on emploie lolant (é), dolanta (é). Ei. : Ëa na mal hoBM,
Cest «K méelmiit hommt — Me eoBwi h<^ mia doleat (é), /(
■ M annais pas £bimmt plus méchant.
II. SUPERLATIFS
SVmLATtP IBLATIF
116. — Le au perlatif relatif de supériorité K rend en {al-
lant précéder le poiitif de «I méa, le plus; U m<a, It plut; ala
■il. Us plus: toa mit, lésions; le de françait te rend par 4a.
Ek I Cr marehuti est U plus riche de la ville — Aqaaat
mÊtniat (é) <e tf mia rie da u dnUl
, 117.— Le laperlatJf relatif d'inférioTité H rend en bùaot
Ci.xi'^le
■UPUUT1PS (l
précéder le poiitïf de el BaiiM, b moini; U mtê a ê, U mains,
•Il Mes», la moit»; 1m mmm, ht mmm; [e iê françaU te
Ttoà par i».
El. : Paul isl U itmiis igtierant i* sa auurâits — Eb Faa
il el DMUU IgBonab deli mu (é) ci^vu^
laS. — Lonqu'uQ lubttantif précède immédiatement le
tuperlatif relatif (de aupériorité ou d'infériorité), l'article
défini français placé devant plus OD màns ne ae traduit paa
en catalan.
Ex. : Ct mcusieur est l'bomme U plut ricbe it Sarctlont —
Aqaart Mnjor (6) tfa llHwut mU rie do Barw-
l«na(6)
Ce sent les ouvrUra ks tnoias habiles i* Vich — ttm
iM làavna (é) ■■noi Uliili do Tloh
139. — Le superlatif relatif de tupérioriié det deux adjec-
tif* bo, bon, et mal, ou dolent (é), mauvais, ae forme en
plaçant l'article défini devant leur comparatif inégulier.
Et. ; U millor (6) 1 U plt|ar (A) ooaa ii el eonaeU : al da
bo, éi ol mda gran Irf; ai ia dolent (é), da il pit-
Jor(A)mal — La màileure et la pire îes duset ^eti
h teuseil; s'il est hm, t^esl le plus grand Um; /il est
mauvais, àesl U pire mal
SUratUTlF ABSOLV
150.' — Le luperlatif abiolii peut le rendre de deus ma-
niérée
i«en Ëiiiant précéder le poiiiif de molt (6), 1res. Ken, fart.
Et. ; Uano, blant — Bolt (ô) blane, très Mane
pradent (é), pn/Jeut — molt (à) pmdwt (é), Irk
prudent
a' en ajoutant balm an radical du positif ftminln, ct
en obtervanl lea modificationà ortht^^raphiqiwt indîqDéea
.i">,GO(Hî L^
m % ja; ce SDperktif donne il l'iilée exprimée pin* de
force que le pràÔMent '.
El. : pokn, pauvre — pokrfMiH, trù paitore
ba, ftM — bonitriM, Irh bon
■OH, (Minwu — serlMiB, tris wtnwm
hennt, benaile — twaralluia, fr^ ^iiA<
hnt, Mb — brUiidn, /r& Mb
rie, rùb — riqvlula. Iris ricbt
dolç (6), Auu: — Jolehri», frÀ idnur
I, iris amer
I, (r& r«uf«
fTM, grtt — froMliBia, trii gros
1)1. — Le* adjectifi tenniaéi par U» forment leur lecond
«■perbltif en changeant Ua en IiIUuIb.
Ex. : aaaU*, ainuihU — ■—"'*—'". Irii aimablt
nUU», remarjtiaM* — MetahlliiilB, frft rtmargiiabU' '
ija. ^ Le tecond luperUiif des adjeaif* luîvanti eit
irrégnlier:
uUe, mtUtt — uUq:nliaim, (ris meka
brra (é), hr^ — brarliata, irh brtf
gm, grmi — grandlniH, fris grand
•agnt, utri — lurttlNia, 1res sacri
naa, ^hx — nuTtoslM, Irèi doux
I OtHl^Hbli Mhn* (I m cmphMlqne. Ce •apcrlmlf m convient |m>
À wg> Ut ûiitah MiitlBCttnnl. Li plnpirt et ccni comprii dani In
oMtfarifi nlvimln tarmoit lit préTértBC* tnr mpcrlatlf la BMjrcn Je
tmttWt
I* Ln i^lactlh ^al, i ttan it Icnr Imgonf on ds Imr ilnKtnn, h-
MiMt IVuM ftonnaclttoM dan a« diBdlc;
a* La plnpin la mUtcûb tatûatt pai «h dlpbwapc i
f La plaput aciiijMlft il plu d« mil i^r"*^ **>"<'■*■ p" Ua.
-i>, Google
sumuTtra i$
i)j. — Le Kcoiid lapeHnifdctadjecttriiuivaoti en tcr-
miRé par èrria.
■en, iere — aeiniM, Irit itn
cèbbra, eéUhrt — UUUatm, Iris téMn
lUon, lihrt — OOtiaim, Irit Hhrt
1)4. — Le tecond luperliiif de* adjectifi •aivants c« ter-
mioé par aatlaata.
bnltte, Utt^aitÊni — kOHUetaUialM, Irk Utt^mml
kMèval, binmUlâMt — kMwnlMiUialB, frit UtnvtU'
!mI
lêKii, savant — MpInUialm, Iris smwit
CHAPITRE VI
AUGMENTATIFS. DIMINUTIFS
ET PÉJORATIFS
I)). — La plupart de* nonu (>atwUiiti& et idjectib) eau-
lant peuvent être modifiés par l'addition de «uffixetqni leur
donnent toit une idée d'augmentation (augmentât! Ei), mil
une idée de diminution (diminutifs)i »it une idée de mé-
prii (péjoratif»).
Let diminutifs expriment très touvent une idée de gentil- -
■eue, d'affection, de pitié.
i}£, — Lo tuffïiei lei plui utitéi lont lei lutvaau :
aç, pour le* jugmentatib (lei augmentatifi des tubstan-
lib tool quelquefois nuKulins, même si le mot simple nt
féminin);
•t, pour les diminutifs; quelquefois aussi <, qui exprime
presque toujours une idée de gentillette, d'aScction, de pitié ;
ot, pour les péjoratifs.
El. : el rao, tant — racaç, nqsflt, noet
d goç (d), U chim — gov<>t< SMat, goçd, goçoi
l'«M«U (é), rduau — n
m otF. ÙUt4 — cap«t
la fl«r, laJUur — Ooraçi
n,r,,y=-i>, Google
AUGKBHTATirS, DDUMUTIFS WT rÉJOUTIFI *{
•I fit, b chat — fliuç, latM, laU, fiUt
«1 pM, le pied — ftmMf, p«wt. pMtf, p«Mt
«I Bta, knid — BlHaç, atoat
Exceptions : btan, bleu — bbtrtt
graa, ;n»ri — gnnteç, gnaéat, graBiot
»1b, «y — Tint
IJ7. — Devant les suffixes augmeotatift, dimiaulift et
péjoratifs, les mots simples sobisseot les modifications sal-
nntes :
1° Les noms graves ou esdrûixuls terminés par a, «, •
élident leur voyelle finale,
Ex. ; la caaa, la maison — caHça, cuaU, oawiU
•1 lUbn, le livrt — lllbras, UUmt, lUtoat
•1 earra, U char — eaiisç, oamt, oanrot
ExcEfnoNs : l'aaa, l'âiu — aaenaç, ummI
•1 Gora, It panier — conaag, conut, eeraBot
Estera (é), Ëtitntu — BstoraiMt et EaUrat
l'huma, Vbomnu — hunenaç, hosaut, hoaaMst
lova (A),- jeune — t^maç, lovaBat, jonaot
orle, orphelin — orlanat
1° Les noms aigus tenninés psr m élident leur ■ finale.
Ex, : «I boa. le bca^ — Immç, Iwat
' Exception ; non, iwuutau — navet
)<"Les noms aigus terminés par une voyelle ajoutent ».
Ex. : la ni, la main — auaaça, maaaU, maaala
•I eand, h chemin — oanlaat
•1 Ueé, h lien — Uaoaaç, Uaoaat
ExcBFTiOHS : e^ cru — mM
aa, nu — aaaç, naet
4' Les noms terminés plr e changent e en f quand leur
féminin est terminé par f> (voir J io6).
nyi,,-=-T,,G(Xi^
ié AtHatEKTATiPt, DiMHiirnn n rtjouTiFs
El. : l'aalt, rami — iMliit
fTM, jauHt — fragat
U en en de m£me de quelque» rare* tubitiniîfi n'ijant
pat de féminio ; p» exemple l'abrie, kpariasui — «Mfaç,
y Let non» temiin£t par t changent t en é quand lear
fàninin ett terminé par fa (voir 5S loo i loj).
ri uAtt (ai), U neveu — Mbodai
pMtl, «HnujvMX — p w in, paniirt
U en ett de in^me de la plupart dei lubtiantift termiaia
par Et, M, il. M» at, et n'ajrant pat de féminiD ; tel* loni :
•1 tant, U Irvu — fendaç, londat
•I TMUt, k vélemeal — nMidrt, TMtUet
r«Hbml, Tettlounoir — «akadaç, mtadet
£" Let nomi tennioéi par a ajoutent ■ quand leur plu-
riel ett termmâ par aaot.
Ex. : al aat, Untx, — uaaat, Baaaat, Bua6, aaaaot
gna, fr» — gniaot, froaaot, graaaot *
7* Lci nonu termina par If précédé d'une voyelle
changent ig en g ou |.
Ea. : koig, ftu — h^, kofH on koM. b«i<i
ExannoM : IWg (é), Uid, dont le féminin cil Urtla (é),
fait IMfM, lla^M.
.■biGoogle
CHAPITRE VII
LES NOMS DE NOMBRE
I. CARDINAUX
I In (i)
4 quU*
ao vlat
J7 Tint 1 ■
}o tranta
jo dnqnuU
tfo MixanU
70 mUdU
100 MBt (é)
/OI E«Ilt V
JOO dM (â) M
• «
jtf utia 3.000 ÛM (A) ail
17 dbaat 100.000 eaat (é) ail
i« «ttrail 300.000 ta (A) MMi (i) 1
I )9. — n, nu, ne ('emploie «jne pour compter ; lî «K 1
luivi d'un nom, on K lert de tm, r^inin ma.
.■i>,£o()glc
CUIMKAint
Ex. : m kMM -
« — un bomme
aaa 4tea — iineftmmt
Tint-l-aa mMcU — mtigt et un soîitUi
btatta naa cams — Irtult tl une mâîmi
14a — Lci nomi de nombre cardîiUDx sont iavariablci,
MUf m, dont le féminin ettaui; iot(à'), dont lethninin
est fcifM, et emti (£), dont le fémiain est mbIm (é).
Ex. : JwgMi cailrai — Jttix ebaiiei
qHuaaU vu o^m (6) — quaranU et un iwira
tTM etntw (é) Ht coMi — Jriiù cent ttpt àmis
dae ccatM (i) dvfM* ploBM (6) — onj «nf Jrax
141. — Loéléroenti des noms de nombre cardinaux eau*
Uni sont disposa dans le mâmc ordre qu'en françaî); la
conjonction i ne se place qu'entre Tint et les unités, c'^t-l-
dire de 3t 1 3$: on écrit les trois moU soit avec deux traits
d'nnion, toit séparément, La t finale de viat se prononce.
Ex. : if Tiat-l-clao, ou : Ttatlelie .
26 Tlat-i-«i(, on : vtatiib
4j quanaU ut
7/0 eant (£) clnqnanta
2j} <M (d) atnu (é) utanta traa
f04 cino canla (é) qnatra
1.134 vU Mut (é) Tlnt-i-fuln, ou : Mia (6) caat*
(é) vint-i-qnatn
t.$oo mû elne Beau (£), ou :
a(é)
u68o mil lia oraU (é) tbKuU, on : aatia eanta (é)
IMii elao mil da
30.^^3 viBt mil foatra ubU (é) neranU 4n (A)
i-991-Aio m milU mm ewta (é) norwta aat mil ait outa
n,r,„.=-i>, Google
CABDINAUX $9
},!ooÂa2 UM Milieu («) dM onU (é) aU ntt «wU (é)
vlit-i-4M (6)
143. — De mime qu'en françai», le* nomi de nombre
cardioaax indiquent lei heure* : on lout^ntend le moi
bon, et l'on fait précéder le cardinal de l'aftide défini fémi-'
nin> Il at te traduit par éi devant unt heurt, par afa devant
Ica autres heurei.
Ex. ; Il al une heurt — £a la una (et non ta l'vHt)
/{ tii dtiix heures — Sta laa dngtiM
à Irais heures — « 1h troa
uij quart. Irait quarts te traduitent par an qaart, tna qnaita
- (Iionarç] tuivii de da et de l'heure qui n'est pu encore écou-
lée; ti iemit se traduit soit par doa qnaita luivi de 4e et de
l'heure qui n'est pat encore écoulée, toit par I mUtu que l'on
place comme en fraoçait après la dernière heure écoulée. ~
Ex. : /{ est une heure uu quarl — tant qnart iê *i§am
Il est trois heures el iemit — Sdn tfoa (6) fnaita de
tret, ou : Sda lat irw I ■»{>
/{ est oiiie bturts Irais quarts — Sda tnt vaaito dt
dotaa (6)
Il est huit heurts moins un quart — Bta traa çiarU
daaoB
à cinq heures et iemit — a doa qaarU de lia, on :
a Isa eiae i mitl*
à nei^ heurts un quart — a aa faart de dan
à sept heurts trois quarts — a tni qaarU da nit
Midi se traduit par : laa dotaa (6), ou lea dalM (d) dd
dla, ou Bigdla — Minuit se traduit par : Ut doUt (A), ou
laa dotH (A) da la ait, ou Ml^aait.
143. — De même qu'en &ançaii| le* nomi de nombre
cardinaux indiquent le* minute*; on exprime on Fon toua^a- .
tend le mot adaat ou mlaMe; le nombre indiquant ka mbuiea
e»t joiDt pir U conjonaion 1 lu nombre indiquint lei heuru.
El. ■.Ilea4b.fs~S6BtM futn 1 trmU cIm (bImU)
J htnret mmns / — 1m UM anM m <Mlut)
Rbmawwb. On emploie auHJ let «preHions aig tHirt,
■■ qwrt l Hlfl, «M (6) faart* I vlg, tm «oarto I Mlg pour
indiquer de* périodes d'un demi-quirl d'heure.
El. ; Êi mif qmâit *• m — // «/ (C- 7 «iwrm
Ml UM furta I «if dt «it — // «i /^ ja ^Hivran
144- — De mtme qu'en friRçaii, les noms de aombre
cardinaux indiquent le* année*.
E«. t Ùmù 1^2 — l'ay nll bor ouu (é) «m (ô)
UJ. — De même qu'en franfait, les noms de nombre
cardinaux indiquent les jours du mois; le premier peut aussi
être indiqué par rordinil. Le nom du mois et k nombre
indiquant l'année doivent «Ire précédéi ton* deux de la prè-
poiition da.
Ex. j h i" Mvnl tjf2 — Vm d'aMl, ou : e) f rimr (é) "
4'akrU dt 17U.
If If jmn if4S — «1 «ilBM de inj da lUB
Rbmaiqub. En tète d'une lettre ou d'un acte quelconque,
. le quantième est, en français, tantAt précédé de l'anide le,
tanlât employé seul. En caulan, il n'est jamais précédé de
l'article.
El. ; Bërahm (le) ij avrij i8jf — larodena (à). Il
d'aMl da 1«7S
II. ORDINAUX
146. — prtmUr se dit prlaer (é); a» aagda; )'" tareer (é)
ou Urg; 4«< quart; ;■>< dafsè ou qnluL A partir de (<»* on
ajoute k au nom de nombre cardinal : olaè, aaU, valtè, etc...
. — ^ te dit Mfè et khw daat on dèelM — loa^, iooo-',
n,;,:,;»!!, Google
OtMNAUX
1.000.000^ te dîtent I
Ex. : r^ eatenft
3imt Tiat-i-BBi, ou Tiitiuè
3<r'*t Tiat-l-iuTè, ou TlntluTè
</;•" nit unu (é) folui
i.aji»' mU dM (A) eraU (é) daqnaaU nul, ou : 4atu
(6) mbU (é) dDfMaaU noi *
147. — Le féminin et le pluriel des ordioaui lODt r^n-
licn : prteera (é), Mgnu (6), Ureert (é), qoarta,
:... alaew, i U WM ; Mtau,
148, — Lei nomi de nombre ordînaus «ont d'un auge
beaucoup moini fr^uent en catalan qn'en fraoçaîi i lu
vingt premiers iculi l'emploient coununment; lei autrci
sont prctque toujoun remplacé* par Ici noms de nondire
cardinaui.
Bx. t It 4f^ — el fufaata eUe, ou ; •! vu b fitrula
«iBD, ou ; al ateero quranU elae,
149. — Oa emploie Je* ordinaux jusqu'i X induiiw
ment jHjur déiigncr les souverains.
Ex. : JatuM I (Janai primer) (é) — Jatqius l"
IiaM II (babe) lagoM) (6) — ItaMit II
J*n III <Pan (é) Urew) (é) — Wmn ÎIl
Carte T-(Ctriea Qaint) — CharUs Qnnt
LM X (LM Meim) — ZibiJ X
Aunlcli de X on emploie les cardinaux.
Ex. : UmU XI (Unie eua) (A) — Lom$ XI '
Jmw XXn (Joaa Tirt^-4oi) (6) — /«m XXlt
^.•Ch-khî-1
m. COLLECTIFS
- Les coUcctifi Ict plus luitét lont kt (ainou :
u pardi, une pairt
la, urw iouiÙHt
1, une quinxaiiu
' viagUiiM
le Iratlaiiu
MM quaranlaint
, ailé ctHqaaiitaim
■sa MlzaaUna, mu soixatilaine
Um ctataint w dit saa MBtaaa ou u MaUsar; un millitr,
uall«(«}.
JMiilMii M dit HllU; milliard se tndait par nll «Uiou (6);
ilmx miitittrdt par 4oa (A) mil mUIobb (A), eu...
I } 1 . — Tréi fréqucrament les coHectifs français suivis de
^ et d'un subsuntif se traduiKut en catalan par les cardi*
■ nani précc'dés de nu, man.
Ex. 1 UMt builatHe de JMri — au volt dfaa
uut iiiaiiu dt nuUs — laaa <•■ nfta
um mngltÙHt iannia — aaa Ti>t aifa
une etniaint ieptrtoHutt — saaa uat (é) paraaaaa (6)
IV. PARTITIFS
i)S. — Leipartilift Qsitii jasqti'i iom< inctasiTcmeat sont
les uivaiita :
■ig, UN dim
■ al targ ou la tanaia (A) part, k lun
!;,Gp()j^le
el quit ou la qaarU put. Je juart
- al fainl ou la vtaXa put, U ànquiènu
•1 dal ou la lUau part, U taiime
al Mtl on la Mtoaa part, U stplièmt
al nitè ou la TBtttna part, U builUmt
al novè ou la nonna part, U MtiaiUmt
al diciin ou la didna part, U dixUmt
15]. — A partir de /i<w incluiîvcment,on k Mrt loit d« or*
dîniux, soit dei cardinaux, auxqaeU on ajoute la ditinence an
Ex. : — an aaii, ou bb ouaa
— dlnlt TiBt-l-aiMDt, ou 4lTiiit Tlat-1-nuu
21
8 — TBit (uiUU) ala aataaU «asaiia ou «aaana
-^ Tuit eaiu (é) taUBU traa bUI «natra caBU (é)
'- etc.. M traduîwnt par Ici ordi-
100 j.ooo 10.000 100.000
baux on oantilain, nu mlliaaiBi, bb das M l l èa al w , bb caat
(i) BllèMlm, etc.; mail on pourrait dire auwi bbb cwUa-
aiBM part, nna Mll*a»iB>a part, etc..
Ex- : Le mitre esl égal à la dix mlUuiiUmi partie du quart du
niridien terrestre— El natra <a tgBal a U «an ■!'
llBBisaima part dal quart «al BMiUlà tamatn (é)
DiDi l'iinODCé des fractioni d&ûmale* on emploie les ordi-
naux au firoinin : dèotaa, eaBtiaaiM, aUèntm, Um vlMt-
Ex. ; },os traa (naiUU) dae caBt èaai Maa
18,0029 diTBlt (BBiUU) TiBt-1-Boa daB a ril Ja ai i
}f. 000001 travu olBO (BBluU) BBa aUlmtelwi
CHAPITRE VIII
LES PRONOMS
I. PRONOMS PERSONNELS
154. — Le pronom pertoanel •njet qui accompagae le
Terbe françait ne te trxiuit en aulao i|uc dans ccmini c«.
(TOtrS'fi?)-
15J. — PREMieaC ET DBUXIËHK l-EKSONNIf}
Singutitr !*1uriïl
U, foi
u, u
noHltrM, TOMltTM,
aOMlUTM, TOMllTM,
nous vam
, mus m, vous
ha uerlt — Smu
• complément avcci
pripotition |
complément Mn*i
pfépoiïtioo [
Es. : RoialtrM na diam qna en Joan an
voui dismis qui Jean nous a- écrit
J« pariara de W i en Pan pariara de vntaltraa — Jt
Ptrlais dt loi *t Paul parlait ie vous
Ha dhian im as WfMl te m oaorlaro — On nu dit
fus Mitbel vtui fétrîre
». |aMffaaaDMpc«i^lM)aai*fc,tttinucaw«/*.
r„„H(ic
noHOMS riwsoinin^ 7J
15^. -—ni ett emploj'i quand m« fraoçaii «t précMi
d'une proposition.
E>. : Parl« 4« ■! — Tu parles de mm
Kl n«B (£) gémi vla^tii an ai — Uimfrèrt voya-
ger» avec mei
IS7- — Quand tes pronomi sujeti mut et vaut (ou moût
autres, voui autres) sont immédiatement suivit en françtu
d'un aubttantif mis en apposition ci d'un verbe, il* se ren-
dent en catalan par l'article défiai,
Bx. : Nous ou Nous aulresCatahms, nous somma Iravailleurs
— Elt mUUu Mm (ô) troballaden (à) (mot i
mot: Les Catalans tommes travailleur*).
Fous, mira, vous éles boiiiits — Les marM soa 1 6)
boiMf (mot i mot: Les mère* êtes bonnes).
Les pronoms de la i" et de la 1* personnes complément*
sans préposition subissent les modifications suivantes:
158. — me et U (qae l'on prononce «urne, tutt plus fré-
quemment que m(H, tfu) se changent en m', t' quand ils (ont
immédiatement suivis soit d'un verbe commençant par une
voyelle ou par h, soit d'un des deux pronom* ha, U.
Ex. : Nlu dit ipse vladrU — // m'a dit qi^il viendrail
Wbo Miviarra a caia — Vous m* Fetiverrix, cbe^ mot
. retcrliré demi — Jt t'écrirai demain
Ho t'U kam viat — Nous ne t'y avons pas vu
i{9. — ma et te se changent en 'm, 't quand ils sont im-
médiatement précédas d'un mot terminé par une voyelle ou
par une diphtongue croissante, et immédiatement inivii d'un
verbe commençant par une consonne autre que %,
Ex. : Mo'm ven — /' ne me voit pas
Crée qua't dwaa»» algnm» aêta — /< enit qu'il t$ do-
mando qutifut cboit ■■ *
Te raONOMS rERSOHNEL*
L'arta't ni mn — GranJ'miri veut U voir
i6o, — «u (que l'on écrit louveat bm, maii que l'on
- prononce tonjonn amç) k change en 'u quiod il et t im-
mMIatement précédé d'on mot tcnnîné par une voyelle ou
par une diphtongue croiuame, quelle que toit la lettre par
laquelle commence le verbe ou le pronom qui le suit îmmé'
icni.
; Ho'u fca Ut FM — Il Ht Hoiu a rien dit
, l'kMwla'aa ko manva — L'UsMn nous TiHttigm
QdI'h ioBui sfMit IHtooT — Qfti nota denutra et
Km-tf
l6l. — TtOISIËMK railONNE
Slignlln
Pluriel
.U(é),/«
dla (*).««
avec préposition
•Uâ(é).*H»
eU«i (é), elles
complément indirect
U, lui
étu'jeur
A.U
au. les
unt prépmition
U,b
ta, le,
Ex. : Pariem 4'eU (é
i«id»at(é)--
Nous parlons de lui
et mm itUe
Ses aoitit âiik «lia (é) — Nous sommts sortis avte lUX
Ud«llir»p.p«T(é)lpI<HMi(«)
-Nous lui donne.
romdutx^UrHdaplums
Bb kaM anvlat nn diUU (é) da firalU — Nous Itur
mms tuvoji m panier de fruits
I. Ccn * un fM l'oB dit Mavni ala U « que 'c nombre» «itcnn
tohMl •!■ U (oa ta fci, l«lr { ■t4> la H«b dt ala, fur, compUmcnl
raoNOMS rnsoNKBU 77
Pulo é'iUn ié) — fi parU d'tlUt
El nl|r ula dfa — Jt le vois Imu les jtmrt
Un U eoiM — Je ne l* connais pas
Bit nbrHi dtmi da aatl — Nous la recevrons Jemai»
malin
B«n ntat lu bmcubcIm: Im TtnlraB la Ntauu
Mtnu — Nivui oîrna refu les manbanJises: rmu
Us vendrons la semotne prochaine
Let proaoDu de !■ j* penonne complémenti Mni prépo-
tttion aubiMeat le» modificaiioi» suivantes:
i£l. — «t (que l'on écrit toilTeilt U, miii que l'on pro-
nonce toujoun «hI) et U (que l'on prooooce km) K chao-
gent en 1' quand ils sont immédiatemeiit suivit toit d'un
verbe commençant par une voyelle ou par k, loil du pro< -
nom U.
Ex. : L'MMlU (fi)— Je Féeeule
Mo l'haï rwumtfnda — Ils m Font pas reconnue
Ho ru bwD Tltt — Nous nt Ty avons pas vu
16). — «1 se change en 1 quand il est immédiatenent
précédé d'un mot lenniné par une voyelle ou par une dipb*
longue croissante, et immédiatement luivi d'un verbe com-
mençant par une consonne autre que k.
Ek. : U para'l porta al bng — Ltpiri U porte dans sis iras
l». CoBatituddl prottgaiz — La ConslituUon le protège
ié4. — oia (que l'on écrit souvent loa, mais que l'on pro*
nonce toujours mlç) se change en 'la quand il est immédia-
tement précédé d'un mot terminé par une voyelle ou par
une diphtongue croissante, quelle que toit 1^ lettre par
laquelle commence le verbe on le pronom qui le -soit
immédiatement.
Ex. : Mi'ls koM dit roa — Nous n* leur avons rien dit
•i,,GÎXH -C
TB pkohoms peuonnels
Qatlt dMarï aqiMiU caaou (6)? — Qui kiir don-
nera ai CMttHSf
L'avUla yorU |«g«liM — Za graad'mirt leur porîe
des joHtli
Tairai fM'U wcalUa (A) — Nom vtuhns qu'ih Us
kouUai
i£}. — Pmh«»i xeume. Le pronom fnnçajt U, employé
dtm an km neutre, te traduit en catalan par be.
Ex. :SHufuthUfsi,minauai}thfm—%\Vk-n»nt{i')
larit, to UmM be Tai| m (é)
Tu ■« dii que mon frire est arrivi, maà je iule crois
pai — Ua liu qui mm (é) gmA ta urikat,
part Ashoerw
Pour il, pronom lujei d'an verbe nniperaonncl, voir la
remarque du $ 169.
rROMOMS lerLËCHis
iM. — C^and le> pronomt penonneit compléments de
la )• peraonne ae rapportent au tujet de ia propoiition,
c'eit-ànlire ^uand ili expriment nn retour de l'action sur le
■njet, on lei traduit habituellement par lei pronomt réflé-
chis suivants :
complément avec préposition af , ici, lui, elle, eux, elles
complément tant prépoaltion aa, u.
Mais, très fréquemment anssi, on se sert comme en fran-
çais dei pronoms de la 3* personne.
El. : L'haiM passa an af — L'btmme ptnie à lui
Ba hoMa pmitm an af, on : an alla (é) — Les Iwm-
ma pensent à enx .
Gada B para af, on : part ail (é) — Chacun pour soi
Varias aaUa al, on t anU* iOM (i) — lU parlent ■
n,3i,7=-i>, Google
noNOHS pcasoMHeLS 79
OngoM qnaBtiuti ipuls > ■■> tarean (é) lAi IgHals
smtn d — Deux juatitiUi ^altt àunt Imriime
sont ^ttla tulrt tilts
U Utfm (é) a IM ils - llttlivtà six heurts
S« canMU J'Mfwrar — Us st/êl^utnt (télttnin
Le pronom rM^chi complément uni pr^poiilion m rabit
lc( modificaiioni suivantei.
1(7. — M Cqne l'on prononce «uç pin* fréquemment que
ctu") te change en ■' quand il est immédiatement tuiTi loit
d'un verbe commençant par une voyelle ou par k, (oh d'à»
dea deux pronoms ko, kl.
Ex. : B'alça a laa aat — list lèvt à stpi heures
■ S'kfl canaat InntilBmt — // ftsi fatigué iuuliltmtnl
no «mportni — //; rtmperlial (mol 1 mot : lia ae ~
l'emportent).
8'kl banfra — lis s'y haigutnl
168. — a« se change en '» quand il est immédiatement
précédé d'un mot terminé par une voyelle ou par une
diphtongue croissante, et immédiatement suivi d'un verbe
commençant par une consonne autre que k.
Ex. : L'koBw'a orea Ulnatoia (i-lu>iidn() — Vbemmtsterit
dts Ululions
Ara'a prépara pnt iortir — Mainlinant Us stprépa-
reul à sortir
AqvMU eoUteoid (1) 'a rendra aqnaat ■•■ (é) —
CelU tolleeliott st vtuira a mois-ci
EMPLOI BU PIONOM ramONHU «UJET
i^. — On a déjà vu ($ ij^) que le pronom penonnel
sujet qnl accompagne le verbe Tniiçais ne le traduit généra-
lement pu en catalan.
, n,ot,7=-',G(>tM. C
CepetuliBi on doit k tridaîrc:
I* tonte* le* foii que l'on vent attirer l'attention pin
•péeialement lur le lujet.
Ex. ; !• pario — Jt pnrlt. CtU mm qui parU
Nonltm putaTMi — Nns parltrmt. Cal nmu f ai
parlerma
3* luK f* et )• pCTMnne* du tingolicr de* lemp* aai-
queb ce* demi penonnei sont identique*, et au participe
fwéteiit, quand il pourrait y avoir confuiïon.
El. : ]• Ûrfa — j* diras
dl Urfa — il diraU
•lia dtrfa — tlU dirait
■o ■m(A)MIç, Mb dl (é) — /( iwniù^ fou-
reux, diiait-il
Aaaat-M'* dis (é), l'a tw uupU a'airailarft — Eux
parlant (S'ib partent), f affaire ^arrangtra
}■ soit quand il y a oppoaition, toit quand H vient d'itrc
qaeidoa de deux nom* de genre différent.
El. ] la trakaUa i ti doraa — Mm je travaille et là lu
dors
Taig aaar • VMral ptn I la nara : ail (é) a*tl na-
lalt — J'allai voir le pire é la mire : lai est malade
Rawutctf . Il pronom injet d'un verbe unipèrsonnel ne
■e traduit ïamai* en catalan.
El. : /I /ni arriva an grand malbtur — U va «aceafr ma
Ilpitta — Pion
170. ^ Toute* le* foi* que, dana une ptirase, il y a deux
prottomt peraonnel* complément*, on place le pronom com-
rtoHOMs raKSOHKBis Si
pldiuent indirect le premier et le pronom complimeni direct
le MCond '.
Ex.iTumt la iotintt — Ne là i6am
Il nous h dil — Bb* ho dis
Noas le les priions — Ttli prMtMi
Sens vous les envoyons — Ua ait mviem
Il la leur vtttd — Eli U to»
Vous les leur aebèUrei — Di ait eomprtraB
Ils se te disent — 8'taa dises
171. — Quand iei deux pranom* complvmeni* sont tons
deux de la troisième personne et que le pronom complément
indirect est an aingulier, celui-ci (U) se ciiinge en U et se
pUce après le pronom complément direct. Par conséquent :
U al, le lui (mot i mot : lui le) devient llii
li la, la lui (mot 1 mot : lui la) devient VU
U eli, les lui (mot i mot : lui les) devient da U
U iM, les lui (mot i mot : lui les) devient lie U
Ex. : Ce livre, je le lut donne (i un homme ou X une fem-
me) — .Aquat lUbn, m dOM (A)
Ta maison, lu la lui vends (à un homme ou i une
femme) — La tara (é) eaaa, lld ▼»§
Ses chevaux, il les lui prHe (à ■ un homme ou i une
femme) — lit aasi (é) eavtUa, ali U pnaU (é)
. Ces fleurs, nous tes lui enverrons (i un homme ou i
une femme) — A^MatM Oon, laa U mviaraH
I. ria al, fa in^ ait U II (nrr; ait ail M ab laa, iM inr, ■!■ k«,
f Unr, Mot iMTCBi RoipUcéi tlsct p« «It U. — Di bCbc U kO, h M,
Il Miinpl mnpild pn VU.
Crtmiiuirt almttm
nouant msoNNBLs
noNom rutoHHBU cxatnHiEtm Ants u veui
173. — Lei pronoroi compl^ents moi prépoiition doi-
vent u pUcer tpré) le verbe et se joindre i loi par un trait
d'nnioii ', toutes lei fois ^dc le verbe eti i rinfinitif préKnt,
i l'impéntif ou tu participe pr<^nt.
Ex. : /< lu veux pas la vmdre — N« nU VMdn-la
aîtivi
.(*)
ta le Us dmiiMl — doBaat-ta-lM
Prendi-le — Pmi-he
Envoie-U nui — Eirfa-M'he
Il en eit de mtme quand la )■ personne du singulier, les
i" el 3* personne* du pluriel du subjonaif présent sont em-
plojrées dans un sens impératif.
Ex. : BM|«i-B'k» (ô) — Dùnuei-ie mn
UguB-ka — Disons-U
TaglB-H** — A}lt%_'Vma-ett
>7)*-rQP*°^ '<■ pronoms compléments tans prépoti- -
tion se placent après le verbe, il faut distinguer deax cas :
!■ st le verbe est terminé par une voyelle on emploie
ton|oursles forme* m, u — t,,Ba — U, la;.l, U, la, 1m —
k» — s.
Ex. : Oiu-m aigu — Dmiut-mei it Teau
Ha Tri nlira-M — ïl ne veut pas nous recevoir
AixMa-t (é) — Lhe4n
Taig a Nai«i«-u — Ji vais vous écrire
Zavfa-U eant (é) frassa — Envcii-lui cent francs
Coivra-lB (6) UibrM — Aebile-Uiir des livres
taffl ml — Paie-U aujùiird'bui
i>, Google
PROHOMS PntSOMHIU 8)
Tntl Tmdn-la — ft vtux la venin
Wn-Ii — Rtgarit-Us
Eccolta-lM (ô) — Eeeule-ki
S&u-ha — Donnt-U
Ko pot maur»>a — // ne peiil u monvoir
9ù podoB monrt-t — lit ne ptuvtnt » mouvoir
»' si le verbe est termina par une conuinne ou par Doe
diphUMiguc décroi»a»te, on emploie lonjonra let formet
■t, m ~ U, TM (ao lieo de ») — U, Im; lo, la, lot, Im
— ko — M.
Ex. : Fei-ma 1 farar da... (féz-mnil fni-bAr dm) — JU
roMigUHeede...
naii7-BM — Phias-nout
FarlaTt ■iraat-U — // parlait m U Ttgardanl
Àmen-Tot ali du ait altrw — Aimti-wta UsunsUt^
Frra-U io qaa forta — Preniflui a qu'il porU
Eacvia-lo* ana carta — Eerit-ltur uat Ulirt
Rab-lo — r Rtçùis-h
Hiren-la — Regardez-la
Cnllint-los ra caan — Il tomba m Us cuàllaut
Eaqnlnc«n-laa — Déebirex_-les
Praa-ha — Preuis-lt
.. 61raat-M ■n enaapegar — Il Irébueba e» se retournant
8e Tao daipodlr donant-se laa Hana — Ils u eurent
adieu en si serrant les mains
■ 74 On lupprime habituel lemcnt la r finale de* infini-
tifs grave» devant un pronom complément. L'infiaitif étant
alon terminé par nnevoyelle, on emploie le» formet ■,
aa — t, «a — 11, la; I, la, 1», !•• — ho — a.
Ex. : Ha ba po(M oonrenea-iia — /{ n'A ^ ««u (»muiff«rv
Vaig aaUoBjra-U U ni — /« fui terrai U main
■ i'Gochî
- // kl vaÎH^uil
Mu cal flaoT»-* Uit — // nt/mt pas Uni u phUtidre
I7J. — GénértlemcDt on ne lapprime p*i la t fiaaic dct
inlinidA aignt, ouia on la prononce devant un proBoin corn-
Ex. : Ti l«r*M« por (Bi fér-nifu p6) — // mefi feur
Ta iir-Toa (r) isu » TMria — Il vous a dil qa'il ut
mmiraitpas
. TiU d«r-U (r) «faaat dlccfanart — Jt veux luiporltr
C4 iictiemiairt
So pM portar-ls (r), im ■»«• pannl — Je ne puis
U porter, e'ttt trop lourd
Pourtant, quand l'infinitif ett luivi d'un des iroia pronoms
con)[démentt laa, Toa, loa, suivis euK-mimes d'un second
pronom complément, on supprime parfois la r finale : bm,
TM, iM, se changent alors en na, tu, la.
' Ex. : T« «iTii-u-«b, ou : Ta •STiar-noa-^la (r) — /{
nous ta etnioya
?od0B aai-u-an, ou : Podan aiiar>Tas-«n (r) —
Fous pouvez wut eii aller
TkU Uvfi'U-ta naa plana, ou : Toll Uaglr-Ias-aa (r)
■sa pUaa — /e veux leur tu lire une page
176. — Quand la deuxième personne du singulier de l'im-
pfratlf est terminée par gwa ' et qu'elle est suivie d'un
pronom complément, on change habitue lleraeni fnaa en fa.
L'impératif étant alors tenniné par une voyelle, 00 emploie
les formes m, aa ' — t — U, la; I, U, U, )•• — ho.
Bx. : Dlsa-m aixt, ou : Mgiaa-BM alsi — Dis-moi cela
Diga-Ii la qM laba, ou : DigMa-U la quo aaba —
Dis-lui et que lu stàs.
-i>, Google
. , ntamats mtoxNBLS 8)
177. — Qgand li j' pcnonnc do pluriel du lubjonctît
- prêtent en employée dan* uu moi impintîf et est suivie do
pronom complémcal k*. on intercaie t eoire le verbe et le
pronom.
Ex. : FadB-t-bo — FatUt-U
Opclqnci penoiiiie* n'écrivent pu cette t tout en la pro-
nonçant: Pads-bo.
178. — Quand le participe prêtent est luivi du proncnn
complément bo, on prononce la t finale du participe prêtent.
El. : ysrtaat-be (pour^tane-tou) — m UporUmt
Mbtat-ha (c«ii-l>éne-ton) — tuU lâchant
RtoÉTITION DES PROKOMS FERSOmiELS COHFLÊUEKTS
179. — Pour donner i la phrate plut de foTcej>u plus de '
précition, on peut, en catalan, exprimer deux fois le pro-
nom personnel complément désignant une personne; une
fois sans préposition (■•, «u, tt, etc.), une antre fois pré-
cédé de la prépoiiiion a (a mi, a aaaaUraa, a ti, etc.). Il peut
en être ainsi ijuciquefois. du reste, en françaii.
El. : ;Jm«r<iiiV(Moiitmoi:llmeraditinMi) — ITho
ha dit a ad.
Jt le dit ^lu cela m un pas (Mot à mot: Je te dit
.■ i toi qnc cela ne sera pas) — Jo't dis a U qua
aix& 10 (ô) larà
Ils cbercbtHl à nons tromper (Mot i mot; Ils cherdienl
i nous tromper i nom) '— Tnatna d'aagaarar-
ww (r) a MaaltoM
Il mt stmblt f M... (Mot à mot: Il me semble i moi
que,..) — Me a^iUa a al que...
Cela est encore plus fréquent dan* les phrases où deux
pronoms personncb, tout deux compléments (directt ou lo>
86 AOjBCnFS rKONOXINAUX POUBISIFS
direcu) «la m£mc verbe, le tronreDt opposé» I'dii i
l'auM.
Ex. : On U t* doané à foi el mm à moi — Tte hu 4out
• U i M (6) a ni
RstuiauE. Ceil de celte dernière manière que l'on traduit
presque toujonn Ict phraKi françaiiet analogue» dam les-
qoellc* >c trouve le verbe unipenonnel itr* précédé de et et
' aaiTi du premier pronom penonnel complément et de quf.
(Voir la remarque du $ aij.)
Es. ; C'ta à «m qu'il ta dit tt uim à /« (Mot i mot ;
A moi il l'a dit et non i toi) — 1 mi m'a» ha dU
I M (d) • U
Cerf miiu fu'ji rtgarêe tt «m veut (Mot i mot: A
noua il noui eit regardant et non i vont) — 1
oaU mirait I m (d) a t
UIJBCriFS PROHOUINAUX POSSESSIFS
iSo. — Le* adjectlfi pronominaaa posteisifs si
SIng. '
l" nUOKKI
1* raKSONHS
y PE«S0NHI1
Ammii)
•IM(«)
««.«)
mm.limlM
Imjtttn
«Il, tilir, It tita,
kUur
li>m(i)
uim(d)
Il ««(4)
ma, la miàini
ta, la titam
ta, ttar, la tirant,
latnr
•IBMU*
•Iran
•lUn
w/rc, le nèln
votn. Il vHn
tiur, k l„r
liiMtn
Urain
laltar
mlri, ta nUri
Mri, U vHri
/«r, la Uur
ujBcnn rKOKOHiiMux t
tnmSOMKE
3* PBUOKHB
J* PnStNINB
.biMuCé)
d.U»(«)
•UM«(é)
mei, Its mhtt
Us, Us iims
sa. leurs, la àent,
UsUurs
iMBmi(é)
l-UT-Cé)
to.MT«.(c)
mes, les mitnim
ta. Us litnnes
«f. leurs. Us sUn-
«a. Us leurs
«UKMtTM
OUYOMTM
•UUan
nos. Us uHni
vos. la vUra
leurs, Us leurs
IwmMtn
IMTOMTM
ImUm»
««, les tiâlres
tm, la voira
leurs. Us Uun
Es. : El mra (i) pan mU Malalt— Mm ptrt al màUidt ■
iM BOTM (é) phMMa (d) 1 «ta tNS (é) Uàpt« — mes
plumes el les crayons
IQbIu iôb âqoMta wnlla? Mb •!■ moatm — QHfb
wn/ ea ebtvaux? Ce sont Us nôtres
Rehakque. Uar, llnra ne t'emploient que dini le style
iAxvi; dans U converution on te icrt toujoun de ■•■ (é),
Sm (é), MU (é), MTM (é).
tSi. — Let adjectift proaominaax pottetiift tont rem-
plicût par let irticlet définit toutei lei fois que le kdi di la
phraie ne laisse place i aucune Oqutvoque.
Ex. I Qtt'aS'tu fait de Im mauleauf — iQii ku M éa U
eapaT
Tu as perdu leigauti — Haa pardnt aU ganta
Il en est de mftme quand la phrase contient un pronom
personnel compUment de la même personne.
Ex. : irhaa raktt •) noeaAar (à) (Mot i mot: On m'a
volé le mouchoir) — Ou «ft wlé mm moucMr
iSa. — Au singulier, employés dans un teni neutre, la
mm (é), signifie m fw' «( A MW';.lt tat (é), u fui ut à
88 , ADJECTIFS PItONOItlIlAlIX KKSBSSITS
/m; io Ma (é), et qui est i lui, à ilU, à eux, i elles, etc..
i8). — Dant les membrci de ptirut exclunitift, pour
iadiquer uae id£e d'affection ou de familiarité, on emploie
lei adjectifi pronominaux poncHifi lani article aprïi le
Ex. : nil MB (£)l — MoH cberfiUI
pttria mtn (i) I — O mu ebirt patrie I
Il en est de marne dani le* en-tOïc de lettres:
Ex. : Holt (à) Saror (6) ■« (0) : — Monsieur,
BatlBat aafc at» (i) : ~- Mou eber ami,
184. — Les expressions fraoçaiscs à mm, i amis, à loi, à
wut, i lui, A elle, à eux, A elles, placi^s après le verbe ilre
signifiant a^arltnir m traduisent en catalan par les a^jeciils
pronominaux possessifs.
Ex. : Ce livre est A moi — Iqnaat Illbrt fc mn (i) (Ce
livre est mien)
Ces maisons seul à M — iq«Mt«s ctiM ain Um (0)
. (Ces maisons sont tiennes)
i8j. — Les expressions françaises uu ou uue dt mes, de là,
dtiet.id mt, de vos, d* leurs se traduisent de deux manières:
■ ■ ^nand on veut désigner plus particulièrement telle ou
telle personne ou telle ou telle chose entre les autres,
quand on a en vue en soi-même une certaine personne ou
une certaine chose, on les traduit mot i mot.
Ex. : // laissa sa maisoit à ua de ses amis et sa biUiotbèque
aux autres — Ta 4aix>r la Mn (() w» a u delà
MU (é) aitf M I la aan (é) UUleUoa ab altrta
3" quand on n'indique qu'une idée vague et générale,
on traduit ce* expressions françaises soit en plaçant an ou
■Bt avant k nma, et l'adjectif pronominal possessif après,
•oit en plaçant ■■ ou luu avant l'adjectif pronominal pos-
sessif placé immédiatement avant le nom.
ADJECTIFS raOMOIIlXAUX KM
sEssin
»>
mât ma ausiui, un mien eoiuin
— ■■•«IBM
(*).
au : nii mon (â) eotf
tiiu it les tanrs — ua ftmau
Un(i),ou:
MUl
un (é) ggrmuu
HO de IMS eempagnoiii — on eoapur aottn, ou
:wi
utt de Uurs mail — nnaHiOMm (â))'oii: >» ■•■(<()
wk
Cette deruière façon de traduire ne peut itrc employée
quand le f ubstantîf pluriel est accompagné d'un adjeaif.
Et. : un de mes mtilUuri amis — n data ■••• (é) rni-
Uora (à) udci
une de les maisons Us plus jolies — ■&■ do In Utm (é)
Lorsque nn ou naa est remplacé par «Igis, «IgsM, eapi ~
ou n'est pas exprimé, on traduit comme précédemment (l")
Ex. : algAa anie tn (é) — ua de tts amis, quelqu'un de les
cap eoMpany un (é) — ««fun de ses eanuradts
Ho Uno Mtietoa mtm (é) — Je n'ai pas de sa ou:
de leurs nouvelles
i8(. — Devant les noms de famille et dans quelques nret
cas, on peut employer les faimes suivantes (quelques écri-
vains ménK n'emploient que ces formes devant le nom) :
NI, bur
ta, /K
t, votre
TMtra, wire
t09, ta
tat,Us.
Sing. i
Plur.
BoaUa, uoirt
aoslra, nofrf
, nwtna, M
sa, sa, leur
Uht, leur
MO», ses, leurs
sas, sa, leurs
ou : Uon, kun
•Gno;^
90 us roiHVLes db folitesm
Es. : Ta* part I'mk ntl liû a Luidrat (6) — Ton père et
son tounn sont à Londrit
MoaUM gnwuu 1 Tortn* eeaiu arrlkaria àmà —
Nk frères et vus cousins arriveront demain
Rnuaaui. Itar, Ilm ne s'emploient que dtnt le «yle
éle\'é; daiu la converulion on se sert toojoars de Ma, aa,
LE riURIEL DB MAJESTÉ
187. — Hoc l'emploie comme pronom «ujet (au lieu de
aoatltraa) dans les mimes cas qge le franfiis Nciu, plariel
de BMJeité.
El. : Mof, al Rai (é) — Nous, le Jb»
Hoa, al rrMUast (é) — Nous, U Prisiâeat
Un auteur, parlinl de lui, dira cependant Boaaltna.
ToB (ô) l'emploie comme pronom sujet (au lieu de naal-
Uw) dan* les mêmes cas que Hoa.
L'adjcaîf qui se rapporte i Hoa et à Tos (A), pluriels de
majesté, te met toujours au singulier; on l'emploie au mas-
culin ou au féminin, suivant qu'il s'agit d'un homme ou
d'une femme. Le verbe dont Hoa ou Toa (6) est le sujet te
met toujour* au pluriel.
LES FOKKULES t>B POUTGS&B
188. — En catalan, quand on s'adresse i quelqu'un que
l'on ne tutoie pu, on emploie MntAt Toa, untAt thU.
189. — TOB (bôç) t'emploie comme sujet ■ et comme
coroplénieat avec préposition; il devient na (ouç) ou.tob
(bouc) quand II est complément sans prépoution (voir le*
I. Hiii M M l'MTriM fit diBl iM CI* Minvh n S 169 <i* «t )•).
!,G(X)j^le
LES rOUlULBS DR rOUTBSSB 9I
5$ t J4 et 170- Tm et u correapondeot exacienent lu fraii>
çait TOMi; les verbes, pronoms personncli et adjectifs pro-
nominaux poHCHÏfs se mettent comme en français i la a*
personne du pluriel.
Ex. : Toa (6) tnbaUta 1 aU (é) dtMuaa — Feus Irm^illn.
tl lui M répète
nia (é) paiiaven Ao vos (ô) t Ma Têatrea leraaH
vous — Ht parittUnt 4e vous et de vot frira
Toi Taort-aa 1 paiUr-na (r) -— Il veut vaut voir tl
parler
190. — Toatè (bouf-té), pluriel ToaUa (bouç-téç) s'écri>
vent tri* fiëquemment en abr^ T. au singulieft et Ta, an
pluriel. Les verbes, pronoms pcnonnels et adjectifs prono- .
mtnaux possessifs ijui sont en français i la a* personne dn
pluriel, sont, en catalan, i la )• du singulier on du pluriel, '
selon que l'on s'adresse i une ou 1 plus d'une personne.
Ex. : Vous avei une eatme — T. U «B baaU
Hier vous avei vu voire pire — AUr T. va rartl a««
COpMi
Vous pourrez veut premetier jutqu'à midi, mtttieurt —
Ta. poiiAa paasejar-ao (r) Haa a laa Mn (A),
B«a]rors(à)
' Vous, sujet
' 191. — Quand la mime phrase française ren&niie deux
ou plusieurs verbes i la a* personne du pluriel se rapportant
i la personne ou aux personnes i qui l'on parle, le premier
verbe est seul accompagné de voatè ou vmUi; les aatics
verbes ne sont accompagna d'aucun sujet, .
Ex. ; Hier vous iiùi malait; aujeuribui veutallet mieux—'
AUr T. aaUvi malait; ara! aati mfltw (6)
Fous «tv^ ivyiy/ etitt »nnit, Metsûurs, d veut «vt
•Gq<«
fl LES FOtyULES DB POLITESSB
viiiU ta CalulagHt — Vi. haa Tfa4it «fMat txj, i
hu Tlaiut CaUlttBjra
Qiiand li clarté l'op'potc 1 la lupprcsiion du prODom fujet
devant an verbe, on rfpéte vmU ou tmUi; on ne peut
januii remplacer toiU ou tmUi par ail, alla, «lia, allei.
tleiuKQUBi. A rimpjratif on n'exprime généralement ni
TMtè ni natii. Ex. : ZmoIU (A), ff 0iiJ«t — rarUs, aaiTM* (A)
Pflti, Mtaiiurs. Il en eat de même dans lei phraiet intcr-
rogaiivét. Ex. : Tel anar-UT (r) PmIii-vûus y alUrf — Qui
partMT Qut porlu-vousf
Cependant on exprime TOMè et tmUi ;
I* toutei kl foi* i)ne l'on veut attirer l'attention plut
. tpédalement inr le aujet.
El, : Parti naU -r- Parki. Qm a itàl vota quiparliti
Faola-t-ho voitlt -k Faila-lt. Qut ce icil wnt qui U
Bo lari voiUt — Lt ferti-vausf Esl-te wtm f ■ t*
ftreif
3* <|uand il y a opposition,
Ex. : TaaU tnrtl, ta'a qnadarj — Sorlii, jt resterai
Parila TDitèa, aosaltraa eieolUrsH — Partti. nous
écottltrons
Tlndris voaUa o aUtt (é) — Esl-ct vous qui vittiirti
eu tuxf
VùuSi complément indirect avec préposition
191. — Vous complément indirect avec préposition se ira-
dnil par vmU ou voaUt.
Ex. 1 (à une pcrionnc) Jt pars avtc vous — lla'a vaif am
vaaU
(i deux ou pluiicnri personnes) /( voudrais iisfuttr
aU me vous — TaMrfa lianUr tlxb am TDitii
LES FOBMULBS Dl rOUTBSSE 9)
Vous, complément indirect moi prépouiion,,
et vous, complément direct
19}. — Vous, compUment indirect unr^répoiition, m
traduit par 11 ou «li.
Esc. ! (i un homme ou i une femme) Je vous park ava
franeinsi — U pirlo •■ Innqnaw'
(i des liommes ou i des femmes) Jt vous dit U virù
/iF — Eli lie U variut.
194. — Vous, complément dirccti se traduit par el, U,
flU, lei.
Ex. : (i un hommt) Jt vous vtrrai demain — ElvurideBi
(à une femme) Mon grand-pèrt vous verra aujourj'bui
— El Heu (é) sTi la rari anl
(à des liommes) Nous vous verrons iiins un mois — '
Els TMraa dintra on mu (é)
(ii des femmes) Mes parents vous verront la semaine
prochaine — EU mau (é) ptraa laa Tanrla la
aatmann aatrant
195. — Les pronoms compléments indirects et les pro-
noms compléments directs qui traduisent vous (^ 19J et 194)
se placent après le verbe et se joignent i lui par un trait
d'union, dans les cas indiqué* au % 17a; al et «la subissent
alors ks modiÇcations indiquées au J i7J) et le verbe subit
naturellement les modiBcations indiquées aux ^ 174 et 17J.
El, : — (verbe terminé par une vo)xIle)
(à un homme ou i une femme) Ta «ioriwv-ll la
aatmaBâ païaada — Il vrnis ierivit ta stmaint
ieruiire , ,
(1 des homme* ou i des femmes) Ta Merlut-la U
aaUaaia paaaaia — Jl vous écrivit la semaine
dernière
n.,i ■■kGlTp; L-
94. 1J>* FMHVLES DE MUTESSB .
(à un honmie) DmI^O tmu«-I afoNU Unto — Jt
iiiin vous vmr cet tprlt-midi
(i une fcDinie) DikU qna p«f<>l coiT«M-la — Jt
Joule f M jt puitst vout coHvaiticrt
(i det hommes) DMi^c TMur»-li aqaMU tard» —
/( dùire vous vmr cd aprit-mUi
(i dn femmes) DvMa qu pagni cootvrm-Im —
/( Joutt fut jt puistt wmi coHvtÛHcrt
— (verbe terminé par une consonne)
(i un homme on 1 une femme) — Tall parlar-ll (r)
ml — Jt veux vous parler aujourtbui
(1 dcf hommes ou i des femmes) — Tall parlu-
Ih (r) KWÉl — Je veux vous parkr aujourj'biii
(t un homme) Parianv mlnuit-lo — Ils partaÙMl
m vous r^rJant
(A une femme) FtrkTni MiTut-U — Us porhienl^
en vous regaréanl
(i des hommes) Ttlf nponr-lu (r) Ifu • tes
foatn — Jt vous nileudis jusqu'à quatre heures ■
^ (i de* femmes) Ttif Mperar-lM (r) flnt a In q«ali*
— /( twiu tlltnàii jusqu'à quatre heurts
ifi, — Lorsque «I, la, compléments directs, ati, compli* -
ment direct ou indirect, sont places avant le verbe, ils subis-
sent les modifications indiquées aus SS '''' ^ '^*
Ex. ; (A un homme ou i une femme) EU (é) m l'MealU
(6) — // m vous écoule pas
(1 un homme) H* l'kaa nooMgit — Ih nt vous ont
(i une femme) ■• m ham TitU — Kous ne vous y~
nous pat vue
(i un homme) Ifel veig aaTiit — Je "' vous vois pas
vGocij^le
Lcs rowuLes de foutksi 9^
(1 on 'homme) U CmitltuUl pnUfdx — l*
ConitiluluM vouipreligt
(i d« homme») Moli ▼•!•■ Mrlat — Nom tu VMtf
vojom pat loiaifil
(i det hommei oti i det fcmmci) La sm (é) arii.
•Il doBârà la fM denaBU — Ma granimirt vtur
dontitr» « f M( vous itmanitx_
197. — U, compivment indirect, M change en U dans le
cai indiqué au 5 171*
Ex. : Ct livre, jt vous U douitt (i un homme ou i nne
femme) ~ AfBMt Uibre, lU dma (6)
N^t maison, nous vous ta vendant (i un homme ou
i une femme) — La noatra eaaa, IV TanaM
Ses chevaux, il vous Us préit (i un homme ou i une
femme) — Bla aana (é) earalli, tU U praMt (<>
CesJUurs, nous vous Us enverrons (i un homme ou L -
une femme) — Iqtuataa flon, lu U anTiaram
198. — On a vu précédemment ($ 179) que pour doa>
ncr i la phraie plus de force ou plus de précision, on pou-"
vait, en catalan, exprimer deux fois le pronom personnel
complément désignant une penonne : une fois sans prépo-
sition, une autre fois précédé de la proposition a. Cette répé-
tition a lieu dans les mêmes cas quand on traduit le vont
français de politesse, complément indirect sans préposition
ou complément direct : si le vous français est complément:
indirect sans préposition, le verbe, catalan est précédé ou
suivi de U ou ala (modifiés s'il y a lieu, voir JJ 171 et i£4)-
et inivi, Immédiatement ou non, de a ToaU ou a nsUai st
le vous français est complément direct, le verbe catalan est
précédé ou suivi de al, la, ala, lai (les trots premiers modl- .
fiés s'il y a lieu, voir ^ 16% i 164) et.*nivi, immédiatement
on non, de a voaU ou a veatia.
9» us FOUUUt OB MUTCSSE
Ex. : (i un hooimc ou i une femme) Je voui parle
avec francbia — U parlo a Toali am tran-
- VUÊM
(i un homme ou à une femme) Ce livre, je wnis le
émmt — AfHMt llitea, IW *na (à) a toaI
(i det hommes ou i des femmes) /( vaut dis U virile
— Bla dlo a TMtèi la Ttritat
(i un homme) Je veut verrai demahi — D mai
tasi a tmU
(i une femme) Hier nous n'avons pas pu vous vàr —
AUr a» vam podar vaara-la a twU
(1 det hommes) Sous ne pourrons voiit voir avant
Fannie prochaine — Ho'U podraa Ttara a tmUi
Hbi l'aajr Tiaaat (c)
(1 des femmes) Mes parents vous verront la semaine
prochaine — Bla mmvm (c) parât lat Taaria a TaaUi
la laUMna «abaiit
Vous, complément d'un verbe pronominal
■99. — Vous, complcment direct ou indirect d'un verbe
pronominal, se traduit par la.
Ex. : (i un homme ou i une iemme) Comment vous nom'
me^-'oous} — Coniadiat
(i des hommes ou i des femmes) Comment vous nom'
mei-vous ? — Cas ta dlntal
•• subit les modifications îndiquies d'une part aux §§ 167
et 168, d'autre part aux ^S l?^ ^ '7i-
Es. ; (i un homme ou i une femme) Fous vous Hes retiré
(ou : relira) avant cinq heures — ToaU alla TtUnt
akaaa da la* dnc.
(1 dei hommes ou i des femmes) Ne vous faîtes pas
titJusiont — Ha't (acta Ulufaut (i-lou-ii&nç)
,,Gi)t)^lc
'
noKOHs En tsr Y - 97
(i un homme) Oicb<x-vi>u% avaul qui Jean ne vous
vwe — Asagii-t akana fu m iMa m1 nfi.
En et Y
. — «1 se traduit par n (pron. *«ne).
Ex.
: CombUn as-tu di frira f ftii ai qualrt -^ QuaU ft-
mana Mna (é)l !■ Une qiati*
Coinims'ltt e<t homme fftitfarhii — CVMixmuptM
kOBiaT En parUTa
poUaTEiiTiu
Fonlti-wmi du pain f J'en veux— Jtl 9ml tu nO.
loi
— an subit Ici modifications tuivantei:
I
«oit d'ua verbe commençant par une voj'elle oa par k, toit . ^
<lu
ironom hi.
Eï.
: A quellt iMurt es-lu revenu de Barcelone f J'en suis
revem à j beurti — k «lina hora haa Unat d«
Barealou (A)T n-h» Uniat a 1m i«t.
/■« affris eel événemeni, uuiis feu ignore Us consiqueti-
. ca — Bt aabnt tqiut nccda, pwfe a'i^man Iw
Parmi ces tableaux, j'en vois de bous, mais H y tu
« de bien mauvais — Entra aqnaaU qnalna.
an nia da bona, port nlil ha de Molt (&)
M^muii)
1
m te change en 'a quand il e*t immUiatemcnt pré-
cédi d'un mot tcnilinê par une voyelle ou par une diph- - 1
longue croiuantc, et immétliatcmeat luivi d'ua \tïht |
commettant par une conionnc autre ^oe k. . |
El.
! U ebercbt des ouvriers, mais il n'eu trouve pot — BaMt
obrara (é), pwft ao'n tnbt
Cm
miatlnttMm 7 - . '
n,„„..,.;Goo3l
yS noNOi» £» ET y
L'bàloire n parU avtc ntotmatoana — L'Uitorli'it
piria tMb afrataMst (é)
)■ fli fC traduîi par m OD mt que l'on place après le verbe
et que l'oa joint i lui par un trait d'uuioa, dans les cas
indiqués au J 172.
■ l'emploie dans les cas indiqués au $ 171) !■; ne s'em-
ploie dans les cas indiquésan J 171, i*. Le verbe subit les
modifications indiquées aux §§ 174 et 175.
Ex. : Capemmrs »mt tris bonnes; porlei-m mie àtmi-doii-
laine à voirt frire — IquMtes pomea (à) sdn molt
(A) bonos; perti-u mitla datuna al lan (£) garml
Ses aiiéifeiirs ilaienl crédules : H en eonvaiiiquil la plu-
Pnrl — XIaMmB (£) oinU (é) ermi (é) erUnk :
Ta eoBvmce-B U major (A) part
Si lu désirais des livres, Ih pourrais eu avmr — Si
<aii4aTai lUbm, podrlei tnlr-u
301. — 11 "l, traduction régulière de lui en ett sauvent
reropbcé par «'U '.
&[. : ■•■ rabnt prétaecs i U 'b (on : n'U) doDaram nna
toUeaa — Nous avons reçu des piebts il uotu lui en
deimermis nue douyiiue
Ttn se traduit toujours par Vwm
Ex, : Il se trouve dans une siliialioa dangereuse, mais nous
l'eu lirerous — Se Uoha en nna aitaaoltf parlUoM
(A), part lUMaltraa l'an traturem
lO). — en apot le sens des tdjeaifs pronominaux pos-
seiiîfi sou. sa, leur, ses, leurs se traduit habituellement par al
aaa (é). la aava (é), aU ■•■■ (é), las aam (é).
Ex. î Celle maison est Iris jolie, la situation eu est agréable.
(Mot A mot ; sa situation est agréable.) — AqnaiU
I. daan,(nirM,«HfMliMMtrnnp1sc<,mi(tltBtt,F*ralaaBU.
n,r,,i,7=-i>,.GooglC:
piomnn Eu n Y
MU éi Bolt (6) tenin, la Mra (f) t
agntfihU
Nolrt vilU al graiiJi et les rua m iohI hrga. (Mot i
mot ; et te* mes wnt largei.) — la MUra dalat
et gran i «U mu (£) canan (£) lén aaplaa
— jf M traduit loujoun par U.
: yai-lu au hal? Jt n'y vais fms — Taa al kaUT Mo U
Peiisa-lu à hu pin? fy /"W' -
« ai al taa (£)
jtvi^-vous fini mes icuiun? Non, fj fritvaillt — la
aealiat laa ataraa (é) aaJMtaal Ha, U UabaUa
3o;. — U se place après le verbe et se joint i lui par un
trait d'union, dans les cas indiqués au § 171. Le verbe subit
les modifications indiquées aux ^§ 174 à 176.
Ex. : Fai-lu au bal? Je tu veux pas y aller — Taa al kalll
Ha Tull anar-U (r)
J'eiiltudh du bruit dans le jardin et fj courus — Taif
■aiiUr aanll (6) al tari! t vaig cornai
Je lie vais pas à Tarragout : vas-y, si lu veux — la »9
. vaif a Tarragona (d), vai-U (é) al fob
AujouriCbui nous nous Irouvereas ebe^ mm père; sois-y
à quatre beura — Aval aaa trobaram t caaa 1 maa
(i) para, ilga-U (ou : rigoat-U) a loi qaatro
3o£. — Quand ta troiiième personne du pluriel du sub-
jonctif est employée dans un sens impératif et est suivie de U, .
on intercale l entre le verbe et U,
Ex. : Nous n'allons pas m France, Messieurs, mais alle^-y
— RoMllrai M aaaai a Fraaga, part raglB-t-U
Toatia
Quelques personnes n'écrivent pas cette t tout en la pro-
nonçant: vagin-U Toatèa.
h,Go(Hî •-
100 raOKOKS DËMOXnUkTIFS ,
307. — Qfiand le participe pr^nt eit tuivi de kl, on
prononce la t fioale du ptn'tcipc présent.
Ex. : En y petisauliouveni, lu finirai par comprendre — Pan-
MWt-U HTiat, BBiliarii par «npeadrt-ko
208. — )p m K traduit toujour* par nlU.
Ex. ; Combitu y a-l-il de chevaux dans rieur»? Il y tu a
quatre — QuiU earalli U ba a l'aïUbleT H'U
ha fut»
Il n'y aptude ebaites daai U jardin ; il fauâmU y ni
mellre trois ou quatre — Mo U ha eadirat al lardf;
ealdria poiar-n'hi (t) tna fMtn
II. PRONOMS DÉMONSTRATIFS
309. — aqaeit, ce, cehii-â; aqaaiU
reux-i'i — aqataU, telle, eelle-ei; aquataa, ces, celles-ci. On
emploie auisi, mais moins friquemmcnt ; attaais, a<taein»;
aqaaixa, aqMixa*.
, afidl, et, celui-là; aqMlla, ces, ceux-fà — afulUr celle,
erllelà; afaaUat, ces, celles-ià.
afst, ceci — alU, cela.
KaMABdUB. aqiMt ic prononce presque toujours tuVèu
quand il précède imm£dUicmcnt un nom commençant par
une consonne, ou quand il est employé comme pronom, et
fi/kéçt quand il procède immédiatement un nom commençant
par une voyelle ou par h.
Ex. : Iqaait earall (euHlt kcuball) — ce cheval
IfnaU (mU») éi oiaïaa petit — Ctlui-ei est trop petit
afMft aaa (nikéçtauti) — cet int
afaaat haMa (rakèçtomtu) — ut homme
BfMati K prononce toujours tnkétç.
■i>, Google
rtoNous DCuoMtTunn lot
MtOMOMS DiWWSnUTlFS FUMÇUS SUIV» DE
Jt, Joui, dt fut, iuqutl, dt tsqiulU, iti^ueb, iaqutUes.
110. — tilui, uiU, 'etux, etIJes luivii dt dl tt traduîtent
ginénilemcni par let articlet définit al, la. «la, Im.
Ex. ; hs lolduls iEtpagnt tl etux et PtrlugaJ — di idtau
itÊfÊMjt i «U d« Portogi]
ktftuilki du chini et ctUa du ptuplîtr — 1« fiUat M
ro«n (d) 1 IM id »
an. — ulai, celte, ceux, ailes inivii de dont on de du^utl,
de loqutiU, desquels, desquelles et disigiunt de* chotet, m tra-
duiicnt par lei articles àt&nit A, la, ala, lai.
Ex. : fài deux livres : celui dent je veux le parler isl le petil
— Tino doa (à) llltoaa : al da qaVt nU pailar fa
•IpaUt
113. — celui, cille, ceux, alla lùivia de itul, de dt qui ou -
de duquel, de laquelle, desquels, desquelles et déiignini de*
penonaei ic traduiaeiit plutAi par aqnall, aqulla, aqoaUa,
Ex. : J'ai dtiix frira : ctlai dent Je li parle isl m Italie — >
Tino doi (A) ganuu ; afwll da «il't pai1« da
a Italia.
313, -^ ce dont ou cedtqumte traduit paralsidafsè on
par allk da qml suivant le ca*.
Ex. ; et dont je le parle — «M d« fsèt pari»
et dont lu Me parles — alxk da !■)'■ pariaa
et doHi tu mt parlais — alU da qni'n pailarea
et doHi mus lui parlions — alU da o' U pariina
Mail aixft da fnè et allé da qui «Ait (omcat icmplacéa
par la da fat.
G^H« r
DËKOKnHATIFS
PRONOMS DÉMOHSTRitTIFS FIAXÇAIS SUIVIS DB qui OU qUC
314, — ''''"', ctlU, ciHX, ctlles suivit de ^hi' ou de que se
uaJuiseni par les articles définis al, la, «ta, lu.
Rx. : Celui qui a feil (tiatst uH vùiUari — Blfwnbr(£)
•Ixft <t U T0U (&)
Celle qui a dit eela a menli — li fu bt dit aixft ha
■MlUt
Ceux qui soiil uminleuaiil pris de moi uni mes amis —
EU qpu ada ara aprop mm (i) a6B ela mau (é)
anlea
KEitftiaUB. En pirlani des personnel, celui qui, celle qui,
tttfx qui, exiles qui, et eeluiqut, celle que, ceux que, telles que,
peuvent aussi se traduire par qii (Voir Ç 33;).
Ex. : QrI n lar («) alx6 <i u rail (é)
Qil ha éit abt ba BWMUt
>t J. — Ce qui, te que se traduit par lo qM.
Ex. : Ct qui péri cet Inmuie c'est Fwgufil — Lo fM p«rd
u aqwit hoaa éi l'orivll
Ce que jt dénre, t'est un thtval — Lo qia i»AVfi, <a
MeavaU
LB PiOHOM raAKÇAis ce devant lb veaiE ilre
EMPLOYÉ tJKIPBtSOKKBLLBHEKT
3t6. — Le pronom français ct placi de\'ani le verbe itit
-employé unipersonnellcmeot se traduit de telle ou'tellc ma-
nière, selon que Hre est ou n'est pas suivi d'un pronom
personnel.
I. DEVANT UK IVONOH PEKSONHEL
S17. — Quand le Terbe nnipenoonel itre est simplement
suivi d'un pronom personnel, le pronom françai* « ne se
nOHOHS DËHOMtTMnra 10)
(raduit pa», et k verbe ilre l'accorde avec k proaoïu peraon-
nel qtii te place indiffércmmeni aviot ou apré* lui.
Ex. : Ctà mm (Mot k mot : Suit nrai) — Uc io ou :
Josfo
Cal mut (Mot i mot : Somme» nout) — Soa (ô)
noullm, ou : HoMltm mm (6) .
Célail lui (Mot à mot: Ëuil lui) — In (é) «U (i),
ou : BU (d) en (ù)
Ce strettt eux (Mot i mut : Serout eux) — 8«ràt lHU
(£), ou : EUi (é) Mii>
Dan» ks rûpontet, on ne traduit généralement ni a, ni le
verbe tire.
Ex. : Qui frappe? Ctti moi — Qui tnmt Jo
llS. — Qfiand k verbe unipcnonnel ilre est suivi d'un
pronom penonnel luivi lui-même d'un pronom relatif et
d'un verbe autre que lire, on traduit comme précédemment.
Ex. : Cesl moi qui ai u ebeval (Mot 1 mot : Moi >uii qui
ai ce cheval) — Jo >te qm Uac aqMtt «naU
Ceil Im tftti fat fait (Mot à mot: Toi es celui qui
l'a fait) — Tu iU (é) al 4iia ho ha lat (é)
i[9. -;- Quand le verbe uiiipenonnel iirt en tuivî d'un
pronom pertonnel luivi lui-même d'un pronom relatif et du
verbe èirt, on traduit limplemeot k pronom penonnel et le
tecoud- verbe Ure. et on ne traduit di ee, ni ruaipcnonncl
ilre, ni k rektif.
' Kx. ; Cesl Im qui a U premier (Mot i mot: Toiei le pre-
mier) — Tn au (é) al primer (é)
Ceit nous qui m lammtt la taux (Mot si mol : Nout en
lommet la cauie) — Soaaltres an aan (à) la eaua
Rbhasqub. Q^iand k verbe unipenoaneltEfrteittuivid'un
pronom penonnel complément (direct ou indirect), lUivi
tAtqmtx d'un verbe quelconque, on ne induit ni
j
i 104 PROMOIIS DËHONSTlUTin
■\ ' o, ni l'nnîpenonnel Un, ni gut, (Voir la remirqae du' $
i 179)
'p " Ex. : Cul à Hui qu'il Fa dit (Mot à mot : A moi il l'a dit)
— 1 mi ■>«• hâ Ait
Cat vous qut je rtgarde (Mot i mot : Je inU r^r-
«Unt 1 Tout) — Ertle mirant a T.
C*st par lui qiu f appris ala (Mol i mol : Par lut je
int cela) — Par aU (i) ka nlf aakar
n. WVANT TOUT AUTtK MOT au'oX MtOKOM PBUOmiEL
3)0. — Qfiand le verbe unipcnonnel &rt eit laivi de tout,
autre mot qu'uu pronom pcrtonacl, le plui souvent le pro-
nom M ne le traduit p».
Es. : Cist un homme — fia m koma
Ce S9ut dnftmma — tim Unaa
Ce Ht Krait yu jusie — Ho Un jnat
Ceil a qne nous vaiihiit — Éa lo qna volom
Dan» les réponse*, oa ne traduit génértkment ni a, ni le
. wAtHre.
Es. : Qui fa Jontié utie moulrt? Cesl Jean — Qui t'ha
A»at aqnaat rallotgaT Bi Jaaa
311. — Quand le verbe unipersonnel Urt est suivi en
françaia d'un des adverbes ici on là, le pronom « peut ttre
imlnit par un pronom démonitratif que l'on bit accorder
Ex. i Cl fut là ur^u (Mot- ^ mot: Celle-U fut sa r<ï-
poDie) — AqMata va aar (j) la aeva (i) raspoiU
Çiit iei ma hmùmi (Mot 1 moi: Ma maison est
cdle^, on ; Celle-ci est ma maison) — La meva
; (é) oaaa <a «fMaU, ou : AfwaU 4» la mara (i)
: , Gix^i^le
riunnnis DËxoNSritATiFS toj
Célaùiil IAIaiiMifiJttMr^us(Uotimm Ctm\i
itMieat let matifs de loii refut) — lfMlli«mi(c)
0li uoUtu da la mtc (é) ngaUra
133. — On peut également k lervir de* pronomi dimon-
itnibfi toutes les foii que la phrase s'y prête.
Ex. : Ct smit la ihUhius (Mot i moi : Cellet^i aoni les
miennes) — AqiwtM «in 1m mmm (é)
Cett le Hitilhur Jt loin (Mot â root : Celni-U e« le
meilleur de tout) — Aqidl tft «1 ■<■ b« oa al
■UlM (à) de tou (à)
33). — Mais dans la pinpart des cas, pourvu que le verbe
unipenonnel être ne loit pas suivi' d'nn pronom personnel,
on pent ne pas traduire le pronom français a.
Ex. ;' Ta MT la Mva (é) mporta — Sfa 1m MarM (é)
— etc..
. 314. — Le plus souvent, dans les phrases contenant le
verbe unipersonnel iirt et qn* ou qut it, on ne traduit ni et
ni fM ni qut et et l'on modifie la construction de la phrase
ainsi que l'indiqueront le« exemples 'suivants ;
CtsI eu vain que In marebtt — Em va (.aalaM
Ctsf untfolii qiu Uftu — El foc il uu tegarfa
Cal un devoir giu dt k faire — fia na inwr (r)
br-bo (fé-rou)
C* tint fins chose facile que dt glaner di targtHt -~ N*
<■ ooM liell gnanjar dlaan (é)
C* u'tsl pas aimer set amis que Je îetJiaUtr — QnL
adalali wn» (i) aaiM loli aaUaa
33t. — Quand le verbe nniperaoonel ilre tn suivi d un
substantif soi vï Ini-mjme d'un pronom relatif et d un verbe
autre que ilre, on a recoun i une invenion.
Ex. : CtfurtuI les Romains qui couquirenl FEipague — Eto
roasaaa fom (A) «la «aa e
(Mot à mot : Let RonuJt» furent ceux qui con-
quircnt l'Espagne)
116. — Esl-ce qut...} te Induit par Fir TtBtBn.-.l ou
plut limplcmcnt en donnant i la phrase une Tonne iDierro*
gaii\-c.
ArH/-M^f(w...^ te traduit par Hoit T«riUtfM...1
Qu'al-et qut c'ttlf et Qu'esl-ct qitt c'til qut cefaf »c traduis
sent par Qai t» alx&l
Qn'at-fé que c'a! qut.,.f te traduit par Qnè U...7
.337. — Ce dan* dt ce que, à ce que, ne k traduit pa>.
El. : Tii le phhii it te que lu ts malade — Ta fMisM (é)
d* fu hUb Bulalt
Mais ti que est relatif, on traduit re par lo.
El. ! Ptnu à re que lu fait — tnu» n lo qw ba
III. PRONOMS RFXATIFS
aaS. — fM (i^'") que, qui, in\'ariabl«, s'emploie pour les
pertoniies et Ici choses; avec une préposition, il devient
meà et ne peut s'employer pour les pertonncs. — Do qaè
peut M traduire par dmil; • fiè et an qnè par oii.
£k. : lluma qna paria — Tbomme qui parle
ab kasai q«a trakallei — tes hommes qui Iravailleal
ail qie mm (ô) cataUna — uous qui sommes Catalans
rk^H qu T. va tnbar — Fbemme que vous avet,
rnicmilré
la «ota qaa vaiu — la chose qtit tu vends .
ti Ulkra 4t fal pariaTM — k livre dont lu parlais
I07
lu liqiMM ia qnè akniMi — la ricbetta dont Ht
«butent
«1 ti a fni tradlB — U but où vout laiiU;,
■1 pint M fnè MbHK — sH {mut eu unis tu tommn
RiiHARQUE. ToutM Ics foîs qu'il poumil y avoir ^uivo-
que (par exemple dam une phraie trop longue), ou quand
l'euphonie l'exige, on remplace fM par al fMl, la ful. ala
fnala, lai «mala. Il faut touiefois renurquer que cet pronoma
lont peu usttét dans U convertation.
ia9. — Dans les phrases interrogativci, exclamativea ou
dubitatives, fnl traduit qut ou quri français.
Ex. : Que ku fat (£), daaFadatt ~- Qm'ap4M /mI. mal-
iMureuxf
Qaè dhiî — Que iUtt-wittf
Qoè Tol dlr — Qfit voutti^iwis àirtT
Ho b4 fai panaar — Jt m tait que penser .
De qui parlai — De quai par\e;_-w«tf
2b fsè pMsal — A quoi peuui-wuif
Ab qai haa fat (£) «ixil — Àvecqumat'tufiiUttkf
Qu'eil-ce qne se traduit par fnl.
Ex. : Qu'ett-te qu'il vaut a dit f — Que h n 4itl
Qu'esl-te qu'une nalimi? — Qaè ia Kia ladil
ajo. — q«i traduit qui français, mais ne l'emploie que
■pour le* personnes. — de qil peut se traduire par étui.
El. : lluB* de qnl pario — fliemme'ii qui jt pM-le, ou :
tbammt êml jt parle
ela baUtamU da fol 'a traoU — les bahtlanU êml U
s'agit
a«aaU da fii <a aqaaaU caaa, ~- celui à qui est ttlle
■ C.ai^fll
10«
PRONOMS KELATIFS
l'knw an qil io 0ra (é) — Fbomnu avec qui filai
Qo) iil — Qui tsl-ctf
Qil <■ ■qtutt boniT — Qui eit ctl bomiuef
Qui bo hnim it pouarl — Qui Ftturail tru f
Qil buqnial — Qui cbercbenl-Hif
Dt qnl fa aqiMt llUinl — A qui tst ce livre f
DaqnlkuMtat alsAT — D*quiitp4tt affiritethf
A qnl ptrlaTMt — ^ qui parlnis-luf
3)1. — ini... qui... tignific ritii... l'autre... quand
•'agit d'un nombre indétenninf de personne*.
. El, : Q«l din al, qni din m — (ou : Qsi dln q» af, <[
dln qva bo) — L'uu iU oui. Vautre dit uou.
3)3. — qai signifie <|aet^uefoit quelqu'un qui, surto
après les mou signifiant wùi, voilà.
Ex. : Tall-aqil (ou ; Aqil U ha) foi'aa en doaari nsUoi
— Vùei qutlqu'uu qui «oui eu donnera êei nouvell
3)). — lai sig.iifiani celui qui, celle qui, ceux qui, ctl
qui on celui que, celle que, unx que, ctllei que, et dûiigna
des personnes se rend par qnl ou par arqna, la qna, ab qn
-ItaqMCVoirSiM)
. El. : Qui voyage tippreni — Qnl via^a aprèn, ou ; Bl qi
Tia^aaprta
Euvoyei qui vous veudrei — Enrii qnl vnlgnl
Parmi ma amis cbtitiiui qui vous voudrez — BiiUa'
Matta(é}uriea,MoaUlqnl(ou : alqM)T. raif
3)4- — Q<*> fl-f* qti *e iradnil jiàr qn), quelquefois aus
par qnf da qna,
Ea, ; Qui est-ce quï/ra/^f — Qnl tmoaT ou : Qnl es qne tmo
quin
a)j. — qilB, qniwi, qnina, qntBaa s'emploient dans 1<
phrases inierrogatlvcs, «clamatives ou dubitatives ponr tn
MOKOMS lELATIFS IO9
(luire Im pronoms françaitfiwf, quilk, quels, qtitllei ou lequel,
laquelle, lesqueb, lesquelles.
Ex. : Quia éa i<taMt hemal — Quel tsl ett homme f
Qnln amtlnnt (c)l — QutI rtgrell
Qoina eoial — QutI/« cbmef
Qniai goçoi (ô) lin aqvaiUl — Qaib stnl ctt elàeni ?
Ho té qnlu lllkm p«t Uslr — Jt itt sah qtuh livret
il peut avoir
QaiuM caM* méa bonlquai I — Quellrs jalia maisons l
QoinM adn lai millen (6) paiaaa (A) T — Quelles
sorti les weilleures pomma?
Mo ié qui»! adn aqaoaUa cotaa — /( ue sais pas
quelles sont ces choses
Da QBin keme 'm jailMi—^Dequel bommt auparta-lu?
Far ^in camf tiaa vlngut aqilT '— Par quel chemin
es-lu ivfin tri?
En qvinai fibiiiiiMa han trakalUtt — Dont quelles^
usines aveiinus Iramilléf
Para (piliidalitaiu(é)BamBii«coapr«i(A)alzftT —
Pour lequel Je Ittfrirts acbèles-lu cela?
Ha mort nn laU «en* (é) HUa. QainT — Un de sa
fils est mort. Lequel?
QDiMt w6a iM TOMnal — Laquella sont Us vHresf
el quai
3)6. — al qnal, la qnal, ela qmaU, lai quia, traduÏKnt let
pronom) françait lequel, laquelle, lesquels, lesquelles précédés
il'une préposition, dans des phrases non interrogalîves. —
dal qoat, da la qnal, dala «mala, da laa quia se traduisent
fréquemment par icnt.
Ex. : al mhI pal qnal lu vlngut — le chemin par lequel jt
suis venu
.■i>,Cob^l
IIO nOKOSIS RELATIFS
la UM da la fual parl« — la utaiuit âoiil jt parle
ati'patMM m ali qoala aqoaaU liai (ù) azUtalx — ht
pays dans Itfqtieis aile loi exisle
•la M>U aab ala qnala aiu paaaafaa — les enfaiils avec
ItsqiieU MUS nous proiiieiioiis
' laa Mnaa para lai foala adn aqmitaa falai — Us
femmes pour ItsqnelUs sont cts bijoux
aqnaat noi par U rtda 4el v>al denaria ja la vara
(c) — ctl tiifaul pour la vie duquel je donnerais la
mieiint
d aux an laa profondltata del fnal la UoImb UnU
vaixalla anflaUU — U mer dans les profondeurs dt
laquelle se Inmvenl tant de vaitstanx tugbulis
3}7. — Quand nn lubstintif est plic^ en Trançais immé-
diatement ipr^g denl, il k place en catalan immfdiatemeni
avant M qaal, da la qval, dali (ptala, da laa qnala.
Ex. ; la eaaa al propiiaurf de U quai aealia da norir — k
maison dont le propriltairt vieul de mourir
ala Ulbraa ala antara (ù) delà qttaU adn tant conegnU
— les liwts detit les ailleurs sont li connus
l'edlffail la p«la dal «nal «a da farra — t édifice dont
la-porle est en fer
Si le verbe ait suivi en français d'un substantif auquel
ital se rapporte, ce substantif se place avant le verbe catalan.
Ex. ; tbemme dont mus admirons Ut uUnct — l'hona la
It minislrt dont nous blâmons Us idées — 9t miniitra
REMMàUB. Dans les deux cas faisant l'objet du préMnt
paragraphe, dml e« trCs fréquemment, mais i tort, iraduit'
nit par foal, quia, toit par qala, qalu, qalna, qniaaa, ei
l'article qui précède le lubitaniif français n'est pas exprima.
PIOXOIIS ET ADJlCTin INDeTEMlINeS III
: la Mta f«al (ou qiln) propriatui seata it aorir
ail Ulbraa quli (ou qniu) anUtn ata tant eraasaU
rMlUicI qui (ou qilwi) parla éa da far»
llwaa fiai (ou qilwi) oiaMla adniraa
al mlnlatra <piaU (ou qaiMt) Idaaa oaaanMi
IV. PRONOMS ET ADJECTIFS INDÉTERMINÉS
RÈGLES GÈNËULES
3}8. — Quand un pronom ou un adjectif îndétermioi
cxpriniaiii une idie UL^tive le trouve dam une phrate
Trançaisc coutenaot la ni-gaiion nt, on peut, en catalan, pla-
cer ce pronom ou cet adjectif
soit avant le verbe et ne pas traduire la nigaiion (c'est ce
qui a lieu le plut frC-qucmment),
toit aprOs le verbe et faire pr^^dcr le verbe de la n^-ga-
tion 10.
Ex. : Personne ne parle — Xlngfi parla, ou ; Ha parla itegi
Àiiain £tux ue viendra — Cap d'alli {i) Tlndrà, ou :
Ho Tiidri sap d'alla (é)
Rien ti'cst impossible — Raa éa liapeaaiUa, ou : Ho U
lia raa ImpoaalUa
M tua ni feulre ne peuvent mus aider — Hl Yvm il
l'altra'na po4a> a|mdar, ou : Ho'na po4n ajnter
ni l'un ni l'allra
339. — Dam une phrase interrogative op dubitative,
algdn, quelque — algfi, gaeîqu'un — algvat 00^, quelque
chose, peuvent iae remplacés par leurt natifs cap, aucun
— mivft, personne — raa, rien, qui se placent Immédiate-
ment aprit le verbe. *
_,„&)
III nOMCMIS WT ADJECTIFS INDETEUHKÉS
El. : Ji-lu quelque roman f ■— Tant (£) cap wtrelaT
/( Joule qu'il y ail qiitiqii'iiu dam etile maison ~
DnUo fu U hagi alnffi an aqnatU eaia
Ltti oal-ih iil quelque ebose? — Lt haa dit rail
■Igiia
340. — tlgéa, tlfnu, algsiu, alguiaa, lignirient qud»
qu'un, quelqu'une, quelques-uns, quelques-nnei, quelqiu, quel-
ques. Cei pronomt t'emploiciit dans un Knt rcilreint; il»
«lignent dei penonne* ou dei choseï d'une certaine catC-
gorifl : lli peuvent donc toit ftrc luivii d'un non) OU de i»
et d'un nom, toit te rapporter 1 un nom précédemment
eiprîmé.
Ex. t algùn delà fomen (é) — quelqu'un f entre les bou-
la tiger s
■]|uu anici — quelques amis
algnnaa d'ailai — quelques-unes Centre elles
n lllkTMl 8i, «a Um almna — Ave^-vous des livresf
Oui, feu ai quelquei-uns
cap
341. — aap signifie aucun, aucune. Ce pronom ne désigne
que dci personnel ou des choies d'une certaine catégorie :
il ctt oppoié 1 algia.
Ek. : cap d'afvaaU ^actea (é) — mucuh de cts objels
•ap d'allaa (é) — aucune belles
Ho Um aap fnadani — Je n'ai aucun cahier
Tau (é) niteaat Ho'b Ubo aap — As-tu des livresf Je
n'en al aucun
n,3i,7=-i>,Google_
34>. — Bi u, ni mai ligaifienl ptu un on pas utt teul, pas
une ou pas une teille. Ces loculioni pronominalet indignent
ont négation plut Jortcque up.
Ex. : Kl nn anlo mt qiuda (é), on : ■o'b qaada (é) al
an aiaio — // «e mt reitt pas uii uul ami
Té UnmflMl Kl aaa — tivr^imis éts enngtif Pas
une sente
•Igâ
I4i' —• algA, quelqu'un, c*t invarublc. Il déiigne une
pcraonne quelconque dans un teni indétemiiDé, dtni Ici
phratei affirmatives ou interrogatives.
Eit : AI9Û ha TiagntT ou : Ha viagat algdT — Quelqu'un
tsi-ilveuuf
Algd ka Tlagiit a baMar-lo(r} — QutJqu'ua esi venu
le clmcber
Remarque. On oc doit emplo)*er algû ni devant un nom
ni devant de suivi d'un pluriel : algd d'alli (é) lenit incor-
rect; on doit dire âlgAa d'alla (é), Vun d'eux.
ningû — dingâ.
344. — Bisgi ou dlsgd, personne, est invariable. Cest le
'u^atif dealgû.
Ex. ; Ha Tiagat algdT Niagi (ou : Diagé) — jju'/^n''"'
esl-iî venu f Personne
Hiagt (ou : Dlagd) val fer (é) alzfti — Personne ut
veiil-il faire celaf
Ho ho lum dit a aingi — lit ut TonI Mt à personne '
a4î.
pertonm
- parsonnt signifiant quelqu'un et employa mii*
o^ifiatioo le traduit : l> par nlngi s'il ne l'agit d'aucune ca-
t^rie détcnninte de pereonnes ; 3' par cap ou eap altrt',
Mf «Un, l'il t'agit d'une certaine cai%orie de pcrtonnes.
Ei; : Y a-l-il peruniu plus aimtibU que lui? — Hi ka alngA
■<ianaU«^«aU(é)?
Cmmmae^^vous ptnenue de plus fort f — CvBtfx singA
9w llBffMl aéa forçat
/( iouU que ptrumut ieU aussi graud que cet homme —
OskU fM ilngli ilgni Uni ait wm a^oMl bon*
/( doute qnt penonne pqrmi ses frères scit aussi grande
que lui — DoUaqna cap, ou: DiHo fucapallni
Mi m» (£) B*nB*iu >ivnl Unt ait cou aU (v)
Je ioult qnt perscune parmi ses laurs scit aussi grande
qu'elle — II«Me.qu up, ou : DoUo qva eap altra
d« iM Mna Çé) ganMMa atg*! Unt alU ean
346. — Personne employé uns négation, dans te sens de
f HÏ que ce toit ou de lOut autre, se traduit par ilngi on par
fulasYrt altra, qaalacrol altra.
Ex. ! Cel emploi lui fonvieul mieux qu'à personne — Afoeat
•^■•a U tumri oia an ail (é) ^a» a liagA, ou ;
fM a fulaavol altrt
nul
347. — nul, nulle, dans un scm indétenniné, se tradut-
•Ml par BiDoti, et dans un sens déterminé par eap.
El. : Nul n'est plus aimablt que lui — Nlngi éa mé» anaU* ~
«M*ll(é)
ATmI d^ VMU H'of MfiifJrit — Cap te Ta. lati aatlsfat (é>
■ i>i Google
nOKO» BT ADJBCnn
348. — rittt K traduit par m ou par n.
. Ex. : /< ut veux le rien itnntr — H« nll loHr-U (r) m, '.
ou : ra
7/ n'y a ritii it meilleur, ou : Ken n'ai meilleur pour
la lanli — Ho U ba rai KlUor (6) pan la aalat
Ou h'h îamait vu rien Je stmilaUe — liai a1u Tiat
// M m'a rien ^orli — %t'm m paitar m
349. — Rien à luivi d'un infinitif *e traduit par raa qia.
Ex. : Le pareiteiix n'a jamah rien à faire — Bl fmata no
M mai raa qne far (é)
fe n'ai rien à dire à cela — Ho Uao raa fu dlr an
ftiK6
quKlwvol
3J0. — qualaoTol, invariable, empioyi leul en parlant de* '
personnes dans un sens gënfral (comme algi et ai>gi),
signifie tUmporU qui, tant le monde. cbeiatH,
Ex. ; Aizà, qnalaaTol ho aab — Cela, ebaeun le sait
351, — qualMTOl, pluriel qnalwrola, s'emploie aussi en -
parlant du perionnes et des choses dans un sens restreint
(comme algAa et cap). Employé avec un substantif, il-
sigoifie quelconque, quelecnquei,
• Ex. ; un honta fnalaard — un homme qnekoitqu»
nna lUbraa qnalaarala — dei Hvret quelconque!
qnalaaral peut te placer immédiatement avant un nom;
dans ce cas, on n'exprime pas l'article va, ■u.
Ex. : qnalaaral ooaa — une chose quelconque,
3J1. — qnalaarol <pM signifie fuJRWfua.
. Go.c^cii
tl«
noKote ET AOjEcnn motmiuKts
Ex, : QuiMTid fu bo bgi dit <■ u oaliaBiaiu' (ô) —
Qnieonqae ta iU al un calomtiialtur
tint quiconque peut mut te traduire p«r ilgvi qui ilsii.
Es. : St|«i qnl dgMl qu he lugl dit <■ tm cilunUador (6).
ajj. — qtulwTol q« ilgii, fwdH*vto qia liiBia sigoi-
fient fuW fiw mn7, qiuîk que «ni, qutls que leiail, qmVtS
fiWHWHf ou qiiti qu'il soil, quelle qu'elle Ml, qutlt qu'ihttieiil,
qudles qu'elUt tntnl.
Et. ; fulMTol qu ilgnl •! an (£) ratrit — f ri«/ jiu tml
am mlrilt
qulwTole ^u dgain 1m mtm (£) preUnolau (A)
— quelles que soient ses prilenlions
Mais f itf/ 4«« soit ou f nrl jn'iJ mm/, quelle jue soit on f »;//«
qu'tlU mm'/, etc.. peuvcDt auisi te traduire par iliBi') qM
■igil ou aignll qva'i nlgvi, ilflBi la qM etg*! ou tigii l«
qw'B Tvlgmi, ligsia ali qu algsla ou dgnla sla qqa'a nlgaln, '
■%i1b 1m qu ilgnla ou ligaia Im qu'a nlgnia '.
El. : algal al qaa aigni, ou : aigai ri qu'a valgnl al hu
(^} vèrit — qutl que soil son mérile
■igain Im ^m ilgniii, ou : ilgnia in qu'a Tilgnla
Im aavM (i) protaneiona (6) — quelles que soie»!
ses prilentions.
Il qu Im (A), on : toa (A) al qu bw (6), Im (ô) la
qm Im (6), «a r Im (6) «I qu'a Toignfa, Im (ô) la q '
(A), m: iMalB (A) ala
■ .^A), ce : loaalB (A)
H8 qu naaii
^u toaaia (A), laaalB (A) Im fu
ala qu'a vàïnaaaU (i), leaala (A) .
fwdfiJH, pMtfat fli, fwlr f m /aimli f Mlln fui faanl, «a fwt'f'
/U,«K...
M «lui ià MiM poot k lablMictir publl (|mI fiWl VU) tt le Mbiou
pta».fH-pirCiii (f m/ f"'*" M).
n,„i,,-i>, Google
PSOKOMt n ADJECTIFS tHDÊimUNÉS 117
On pourrait aaui modifier la phrmae ta employant mvir
au lien de iirt et te tervir dea mtmei expreuioni que pour
la traduction de qutiqut... que tuiri d'un lubatantif ($ afS).
■tgnl ^ «igil corrcapond >uui i qui qut u uil.
'Ex, : ■o'« Uard 4i alngû aigvl f«l «Ifai — fentmtftraî
à qui qiit et soit
Ho parlaié d'aixft a Miagi aigii fsi iliil — Jt tftm
parlerai i qui giuatei!
3S4. — qulMTSl altn, vulatrçl altn lignifient tout
autrt, ttult tiulr*, employés dans un ccrtaiu teni (voir % 374)-
quttqtu
155. — qutiquts K traduit, ainii qu'on l'a di|l tu (5 a^o)
par atgona, alguiM. On peut «nui le traduire par m. Mat,
ou par nsa foantf, um qiantM. •
Ex. : // y avait quelques uavira dans It port — H) kiTfa
algniiM (ou: Hua, on: uoa fMBtet) um n
«Ipoit
1^6' — Ui qiulquti lignifiant le peu de t traduit par di
' poea, iMpoquM.
Ex. : Jù quelques jours que noiu passiines avec lui — 'éU
pMi dfea qno na puaar anb tll {i)
les quelques r^Uxieut qut je lui fit— iMto^oMmi»-
sioBi (A) vu 11 Talg far (é)
. 1J7. — quelque précMant un nom de nombre et aignifiant
emnrc». à peu près, peut ae traduire par «u, um.
Ex. : il y a quelque six mois — la vas aia «aaoa (i)
il y a quelque Irais teuls maismit — U ha uam tna
eaataa (é) •••••
Si quelques tull on nom de nombre, on le traduit par
. G("^(HîJ(
Ex. I J'ai emapté quariuttt et quelqua mmieHS — Taif
quelque... que
aj S. ^ quelque, quelques, précédant un lubsUntif qui in-
dique une idée de qualité ou de choii luivi de que, k ira-
duÏMiiide la iDCnie manière que fw/jiwm/ (S 153).
Ex; : quelque rés^ulim qu'il adepte (^quelle que toil la risohi-
lioH qu'il adepte) — fultcnl fM llgii la retolaelA
qne tdopU (A), au : ligvi U fM aigvi I> ruoIueU
fm adopU (6), ou : dgnl la qna'a Tvlgnl la mo-
lw>M qm ûi»pU (ô)
)}9. — quelque, quelques, précédant un «ubtlaatif qui in-
dique urne idée de quantité on de nombre luivi de que, k
traiduiaent patfrméa... que, toit par p«rMelt(ô)... que, par
Mtttâ (à)... que, per molu (A)... fu, per molUi (A)... quo.
Es. ; quelque argeni que lu aies — per nia dfnara (é) que
tiaguli, ou : pw noIU (6) disert (é) ^^t UngnU
quelque mfiuence que nous ayous — per méa Inanenoia
que Unguau, ou ; par aaelU (A) inQuaneia que .
Uagnam
quelqua eforis qi^il fasse — par aaéa aalarçoa qtte^
Ud, ou : pe>' nolU (A) aalorçM qna lael
260. — Mais quand le lubitintif peut rentrer auHi bien
dant l'une qne dan* l'autre de ces deux catégories, on emploie
Indifléiemment l'une des cinq traductions.
El. : quelque méril» que lu aies — qaalaavol q« alfui '1 -
Un (é) Bèrit, pu : algull qaa dflvil Un (é)
■Mt, on : Btmdl qu'a vnlgnil tan (é) mktii.
ou : fr met mèrit qna Ungstor ou : par Malt (A)
aaMtqwtlagnta
:,Got)i^)e
noNous KT ÂDjtcnn ihdétiuiuiCs 119
s£t. — qmlqui, précédant an adjectif, un participe on nn
ad verbe (uivit de 41M, «e traduit loit par far, loit par p«r Méii
•oit par par Bolt (6). Dam cci divcr* caa, f mlftw est adverbe
. Cl é4]uîvaut i fi,
• Ex. i qutlqut génirtux qa'il teU (si giaértux qu'il toil) — -
par flHurtfa q« iigil, ou : par «fa |«Mria fu -
aifii, ou ; par awlt (A) gaurde fu Big«l
quelqut eéUbriaqu'elUtioietil (si céUhrits qu'àltt smtnl)
— par calebradaa, ou : par méa ealabraiaa, ou :
par Bolt (ô) oalakradaa qù algalm
qutlqut Mil qutusoil (si Imnqut et seil") — parlluar. ~
ou : par mil llnaf, ou ; par aiolt(6) Dur qaa algal
atii. — qutlqut, qiulqaa, précédant ud tulistaiitif et un ad-
jectif, ou un adjectif et un inbitaiiiîf suivis de qut, le tradui-
sent par par... que algai, par... qu aigsta et l'article défini.
Ex. : qutlqut l^ilimtsi^irêttcts qu'il ait confuts-^^tt M»-
SfUaaa 9M aigiU IM aqaraïuaa qoa hagi MBcakal
On traduit comme a'il y avait ; qutlqutj Uplimis quismtnt
ia ttpérantts qu'il ail tetifuts.
ati}. — Qtttà qui, quoi qut a scH qut, qutlqut cbost qut K
traduisent par par Mfa qoa.
Ex. : Quoi qut voiu fasiiti, il stra vainqueur — par mi»
fua T. taol, aari Taaeader (A)
Quoi qut a soU qu'il fasu, ou : Quilqut tboft qu'il
fasu, /« /( àirià — Par aéa qna lad, ha dlrtf
■lire
3£4. — l'âllre, Vaulrt; l'albra, V»uln — da allraa, I»
aulra; laa altrat, bi aulrts„
BU altra, un autrt; ■■■ altrai uiu aiitrt — altraa, ffautrts.
£k. .: u altra lUbr* — m eulrt Ihn. •
, GCK^gJ
ISO moNOio tr ADjecnFS iHDËniMixfis
■Bl iitn ngida — uiu eulrefm
altm pabw — Gaufres payi
CrUa un altra astga (é) — jifiptUe iia autrt mUtem
Ho Uni (i) m altra tintar (é)T — îTas-lu pas un
aulre encrier}
l'un oantata, l'altra eridara — L'un chaulail, Faulre
criait
EU nna adn da lairo, ali altraa dt luit — Iji uns
jchI m fer, la anlret en boii
36{. — 7au/ «ùf» ac traduit par qnalaanri altn, qnalMTol
aHra, ou fwr tM (6) altra, tou (A) altra (5 374).
tM. — Expreuiont diversci :
Ftttt à Taiîln na i altra, ou : l'an i l'altra
Tune it ttiutre ana i altra, ou : l'ona i l'altra
les uns el les autres au 1 altraa, ou : ala mu i «li altraa
Us unes tt les autres nnaa I altraa, on : lai nnia i laa altraa
m' f lin Rt Fttulrt ' ni nn ni altra, ou : ni l'un ni l'altra
n! tutti ni Fautre ni nna ni altra, ou : nt l'ona ni l'altra
HÎ tes uns ni tes aittrts ni nni ni altraa, ou,: nlla ana ntli
[altraa
ni Us unes ni tes autres ni nnai ni altrai, ou : ni lia nui ni
[lai altraa
Twii du Fûttlre na a altra, ou : l'an a l'altra
Futte ou Feutre nna e altra, ou : l'nna a l'altn
Us sitts on Us autres ana titrai, ou : ala nna a 'la altraa
Us unes au tes autres nnai a altraa, ou : laa uai a laa titrai
Tua Fai^rt l'an a l'tltr*
Fbnt Fantrt l'ut a l'altra
les MHS les Mires ala nni ala alUai
les nues la antres loa nnaa a M altraa
a<7, — Les autra, dan* le mm de U rate, te traduit loit
par «la df<i, laa daaii, ■oit par «la tltna, lai altraa.
PtONOMl ET ADJICnn IXDtmilINtl tai
Es, : CihI teliatt et et régiment stnl à TMnagtni; Its mulrtt
(c'cit-iiiirc le rote) uni à Barahiie — Gnt (é)
MUata d'aqoMt ragbant (é) lim ■ TkiTaB*u (A).
tU iami» (on: «Il «IUm) wtm « UnOta» (6)
- lo ëMi<t l'emptoic dam le lent neutre de U ndt.
268, — tmlmi M traduit par altri.
Ex. : Ne fait pas et mal i autrui -— Ho taaia wd a alUi
Ni vous milti fias Jts agairtt £aulr»i — Ifa'l fifil
<m •■■ Bagodi d'altrl
Itpain t autrui — ol pa d'altri
travailhr pour ouïrai — tratallar pwa altri
269, — le même, la mémt, U$ mimes le traduiseor par
•I matalz (é), la Mtaixa (é), da BaUlua (é), lia aa-
tataaa (é).
Ex. : Cesl It même — Ba tf natals (i)
Ce sont les mimts ~ Sdn ato nataina (é)
370. — lo natalz (£) employé dans un mbi ncutret tignilîe
la mime chou et autant ou totU autant.
Ex. : Ul»au.Mx(é)— Cesl ht mime eboie
la autais (é) 11 aucalrl a V. — // veut tu arrivera ■
autant, ou totit autanl
Autant, oa tout autant, peut aniri se traduiie per altr*
taat.
Ex. : Naui vaut en iireas autant — JJlra taat U 4i-
ran a T.
noKOMS rr utjtcnn iMDEnEuuKts
171. — tM (6), UU (6), Urta (6), toUi (A) si^ifienl
Imt, iMft, tous, louUi.
Ex. : W (6) d SM (£) i» joMr (i) — leul le niais de janvUr
UU (à) la Bua — toult la tmaisott
toU (ô) aqmaiU Mtranftn (é) — ieus cet ilratigtrt
UUs (6) In mwUm pwanlM — loulet nos farolts
Ut (6) boBM Muat — hut bommt imié
UU (Â) panona (à) — fouit persoime
S73. — ItHl, proaom neutre indétenniné opp<»é i riai
(ni) M tradoit par Ut (6) ^uand il ctt sujet ou complément
inilirect; mai) <)uaad il est complément direct, il (c traduit
par ho... Ut (6).
Ex. : Tout a iU inulile —■ T«t (6) ha «aUt laAtU
n préittti parUr de loul — FraUn parlar de Ut (6)
/«' /owf vu — Ha ho Tiat tôt (6)
// pouvait loul Mltndre — Pedia aaaUr-te (r)
37). — tout h monde se tndoil par tatboia' (proo. lou<
Ex. : Tout le monde uît ttia — Tothom aap alzâ
fmif autre
374. — tout autre, toute attire, employés dans le sens de
n'imferlt juel autre, n'imparti quelle autre (c'est-à-dire lorsque
ioHl Ctt adjectif et modifie le lubsuntif apke «primé ou
ious.«aiendn), M traduisent soit par tnalaarol altra, qoalaa-
m altra, soit par tôt (ô) Utra, toU (A) alln. ■
Ex. t De tout êulT* bmme je ne tolérerais pas eela — Do
ET ADJECnn IMDftnUUHtS la)
«mIm»! alUa koai (on ; Da tôt (6) alln hona)
M toltnurft •1x6
Celle libirlé » ut bonus commt taule autre liberté —
AqiMU UlbarUt Uli MM (é) UulU eott qulMTol
allni lUtarUt (ou : cob toU (ô) altn lUtorUt)
175. -^ tout nuire, cmployi dant le sens de Hffireul, Àiffi
rente (c'esM-dire lorsque tout ttt adverbe et modifie autre),
se Induit soit pir Mrit (6) dUamt (é), loii par une atpres>
sion équivalente.
Ex. : Ceil une tout autre affaire — Es nna ooaa aelt (4y)
difanat (é)
Je vous demande foui autre ebose — U diBino nu
OOH sait (d) dUermt (é), on : «it«n«Mt(«itiic*
li-teu-mtat) dUanat (é)
176. — cada, invariable, signifie chaque et t'emploie dans
le» mêmes cas que ebaque en français. '
377. — eada ■, ou : wdascA, iovariabk, signifie eharun,
et ne s'emploie que pour les personnes, dans un sens indé-
terminé.
El. : Tan donar on pn a eada ■, ou : a eadaset — On don
na un pain à tbacun
' uda nn, eada nna signifient chacun, ebacuue et s'emploient
pour les personne* et les choses.
plusieurs
378. — pluàeurs se traduit par Atranoa, dinriH ou par
dUereau (é), quelquefois aussi par HotU (A), BtltM (A),
ou par basluti, k
raONOMS ET ADJECnFS IMDlrmMINÉS
:. : mpluneurs àrtmtsiaiuts — n itnnm, on : « 41f»-
/"m plttsUurt mMifi pour agir aimi — Tiao di
OD : 41IwmU (é) hMIbi ptni ^nr Bisf
ptutitun pert&tma — soltM (A) psnoBM (ô), ou :
•(*)■
179. •— iw Iti, mu Mit te traduitent «n UI, «1 il'ataft,
rt Sr. tal, la tal, la faixi, la Sra. tal.
UH là et un Ut, ma telle et uut telle m traduiieat «n Ul 1
ta'vul, M 4'alzft 1 m d'allfe, la tal I la «nal, U d'aizft i la
d'al».
180. — rirn ie lel m inidait par tal ooia ou par m d'alzt,
et l'on plice la négation avant le verbe.
Ex. : Je n'ai vu rien de lel — K* ka Tirt tal «wa, ou ; Ra
ka vlrt raa d'aixb
18t. — tal peut précéder immédiatement an inbsUuiif
peur traduire tel on un lel.
Sx. : tal aaaa»pU — Ulle eiffain, une telle affaire
3S2. — (M toll signifie Qu'en pentei-wusf Que iUis-wms
àteswjel?
El. : OhI taltfa al vit — Le vin est^l bon ou mouvait f
Qaè tflll CM tré> fréquemment employé dam le teai de
CMMMni vous porte\-vouif
■ i8j. — Tel qui lignifiant Celui qui te traduit par Qal ou
par n 4u.
Es. t Tel qui rit vendredi dimanche pleurera — Qtl ou U
■ (<)
ibuUnt, buUnU — butanta, bMlutM
nouons rr Acjccnn iKoentiiiKis iij
184. — Ceruint adverbei fnnçaii (de «juintité) >Divii de
Il prepoiition di »at (raduitt par de« ad)ectifi aUlaot qui
.('accordent avec le tubitaatif auquel ils *e rapportcni. Le dt
français ne se traduit pas. Ce sont :
»,.,„,,f t. {-j;^w.-j«|P)— ■"(*).-»-(»)
/xti de poe, poca — posa, p«qBaB
Irof de
itss/i d»
eombitH de, vunt, ^uani
aulml de, Uml dt taat, tanta — tanu, taslea
El. : Nom aroiii beaucoup d'ami! tt peu iemitmil — TailM
melta (ô) auloa i pooa «uàdea
Combien de jours y a-l-il dans une umatue? — QnaBU
dlea U uaa lataaul
Il y avait tant de ptrtomiei que jt suis torti — Bika^
taatas panonaa (à) qna valg sortir
185, — Les nuKulins pluriels de quatre des adjectift pré-
cédemment cités peuvent être employé* pour désigner une
réunion de personnes. Ce sont :
■Bolta (6) — bien dts gens, plusieurs ptrtMtitt
foet -^ peu de gens, peu dt personnel.
qnanU — tembieu y eu a-l-il qui
taits — tant de gens, lanl dt personnes
i8é. — Outre les acceptions indiquées dans les deni pa-
ragraphes précédents, l'adjectif tut s'emploie aussi après un
nom de nombre auquel il est joint par la conjonction I dan*
le sens du français quelques on laal.
tl< raONOMS n- ADJECTIFS IXDCmMIMtl
El. : da^MBtt i Unta njt — cinqumU et ^utl^iwi auiiùi
ou ciiiqiumU tl tant tTantiùi
4m «mU (é) nlUBU 1 UnU tnuwi — deux ttiit
quatre-vingt et quelqua fruna
aS?. — Bltn tant l'eniploîc fonvent pour esprîmcT ane
qiUDtili égale 1 une «juantiti précédemmeai îadîqafe, loit
au MiK propre, toit in mi» figuré.
Ex. : nlg Utra *» IM (é) aak alM Uat t'aixsrep —
un iemi-Utre âe lait ava mitant de tinp
9im «IUm Uata ■•tliu — Ce mit aiilatil de motifs
Sfa altiM taDtM raou (à) — Ce mil Mutmil de
On
388. — Le pronom françaii e» ■ pour équivalent catalan
«I kow, mail cet équivalent ett peu employé; la iiaductiun
de M exige preique toujours une modification de la con-
Mfiictioa de la phrase.
t* On peut faire do verbe français un v^rbe pronominal;
le compléineni direct français devient le sujet de la phrase
catalane. — Sekm que le complément direct français est
an aingnller on an plurid, le verbe catalan se maintient i
la )• personne du singulier ou se met i la )■ personne du
pluriel.
Ex. : On parle ealahm (Mot i mol : Le catalan se parle) —
Sapaila eataU
Oh liste beaucoup de soie dans eetlecmitrie (Mot i mot:
Beaucoup de soie se tisse dans cette contrée) —
U Ubabt Mita (A) seda an «qnaaU ngid
On twK heMutoup de mendituiU dans aile ville (Mot i
moli Beaucoup de mendianù se voient dans cette
noKom n Mjtcnn iHotmiuKis 137
ville) — B« THW HolU (à) m
daut
Oii croil faciUmmt et qiu Von iàin (Mot i mot : Ce
^ul M désire le croît facilement) — le cm bti)-
■nt (é) lo ««•'■ ledtja
Rehaique. La mfiroc manière de traduire peut
£lre employée quand le verbe françaii e$t (iiivi d'une
phrase incidente commençant par qu*.
Ex, : Oa dit qiu Paul ut nutladt — Be dia qaa es Pas
•itinclalt
On voit hien qui vous ilts rkbt — )■'• Tes qa»
ToaU <• ilo
a* Au lien de faire du verbe fnnçait on verbe prono-
minal, on peut en bire un verbe paiiif; ci de même qne
précédemment (i"), le complément direct françait devient
le lujet de la phraïc catabne.
Es. ; On fit une pnpetilimt (Mot i mot; Une proposition
fut faite) ~ Ta MT (é) faU (é) aaa propoaioU
Ou eenvoqita les Chamhres (Mot i mot: Let Chambre*
fnrent convoquées) — Farta (é) «•avactdee laa
CarU(A)
On dml respecter Ut laisQiol i mot: Le* loii doivent
éiré respectées) — Lm UoU (é) haa la wm (é) iw
}•> Toutes les foi* que le pronom français m a un seni
absolument général, il peut être traduit par une des «• .
pressions suivantes:
aa hona, un hemmt — llMwe, fbemmt — da ho-
mii. Us hemma
aaa panaaa (A), «m personnt — faalianl p«r>
tamt (à), tine ptrstnm qutkttHqut
. Go(HjJ.
laS noHDMs ET ADjBcnre
« MkMi, /ouf U mniét
U iml (i). Us gtnis, U monit
t»t» «, eadueft, cbvtun
fulMTsI, n'imporl* ^ui
«■1, f VI, etlui qui — •! 9M, ttlai qui (sunout ti m
est précédé de quaiti)
tl|A, quelqu'un (lurtout (i o» c>t précéda de si)
miagi, persenut (dam let phrases négatK'ei)
La phrase catalane ne doit naturel lemcnt pii être la tra-
dnction mot i mot de la phrase francise, tnais te modifier
■nivant <]ue l'on emploie l'une ou l'autre de ces expressions. .
Es. t On n« peut unnr dtux maîtres à U fois — Un no pet
■arrlT a Aoa (ô) anoa al aatalx (é) tampa (é)
On treil fadlemttit ce que Ton distrt (Mot à mot : Un
homme, ou : L'homme croit facilement ce qu'il -
désire, ou : Les hommes croient facilement ce
qu'ils délirent) — Dd taoRW, ou : L'hama oraa lacil-
■nit (é) lo qoa dtdtja, ou : Ela homaa eranealt-
dînant (é) lo q» Awitgen
// Ta dit et Tm im soumeni (Mot à mot : U l'a dit ei
tout te monde s'en souvient) — Ho ha dit i tot-
hOB la'B raconU
Oh ne peut ïempicber ii U remarquer (Mot i mot : Le
monde ne peut s'empêcher de le remarquer) —
La g«Bt (é) M pot dalxar da >atar-ho (r)
Q/taui oHadu trédil, on tCa pas besoin fargetil (Mot
i mot: Q^i, ou : Celui qui a du crédit n'a pas
besoin d'a^nt) — Qnl, ou : Il fu té srèdlt do
■•oanlU dlMta (é)
Si ton me disait que Jean est iei, je m U croirait pas
, . (Mol à mot: Si qnclqtk'un me disait...) — U
■ al|A'n Ma fna «■ )o«a *a «vof, Ml craorU
-r!,r,i,;Tri>, Google
noiKHo rr Asjwnra DnArmnirts tay
Ott m'a dit... (Mot à mot: Qnelqa'an m*« dit...) —
ilgti ■*&■ 4it...
Oh ntptut tin bturtux mw h travail (Mot à mot:
Peraonnc ne peut ttrc henreiu uns le mnil) —
Mia|« pot MT («} Mie IMM («) 1 U^fctn
4* Qpand le pronom français m n'a pa* un «eni absolu^
meoi ginéral, maii désigne seulement une certaine caté-
gorie de personnes, il peut être rendu en lAettant le verbe
i la }* personne du pluriel et en n'exprimant aucnn injet.
(On sons^ntend comme injet le pronom Us.)
El. t Data a tivrt oti^ qu$ Us ttrfs mvtnl Iris iM^emft
(Mot t mot : Dan* ce livre, ils disent qne...) —
Sa afiMit llllira dlnaa quali came (é) viHf
w>lt (6) tMva (<)
On tut* berna pat à uia; m fit plus: mi FatUa (Mot k
mot: lit ne se bornèrent pas i cela; ils firent plus:
11* l'cxilirent) .— Xo'a liaiUrwii tm aitft; bran (é)
aéêi aléMURaran
j* Quand la personne qui parle fait partie de cellea <U>
signées par le pronom français m, ce pronom peut être .
rendu en mettant le verbe i la i* personne du pluriel et en
n'exprimant aucun sujet. (On soos^niend comme .sujM le
pronom imiu.)
Ex. : Oa a iijà raeetUi fui ptriUt la baille Qiot à mot :
Nous ayons diji raconté.») :7-Ja,TUi,eMiUrtRl
v^ parin 1> hMalta
CHAPITRE IX
LES TEMPS DES VERBES
I. FORMATION
S89. — Le* temps limplet dci vcrbei riguHtn cauhnt le'
forment en ajoutant au radical du verbe Ici désinencct indi-
quées plui loin (§ )>})■
190. — Le* temps composés des Tcrbes catalans actifs,.
neutres et pronominf ux, ré|;uliers et irréguliers, se forment
en ajoutant aui tempi simples du verbe kavar, avoir, le par-
ticipe passé du verbe que l'on conjugue. Ce participe passé est
généralement invariable (pour l'accord, voir chapitre XVI).
L'indicatif prétérit composé »e forme en faitant précéder
l'infinitif présent du verbe que l'on conjugue de certaines
personnes du verbe anar, alUr (^ 294).
Les temps composés d^ verbes catalans passifs, réguliers
et irr^lien, se forment en ajoutant aux temps simples du
verbe tar (é), tire, le participe passé du verbe que l'on con-
JDgue. Ce [ûrticipe passé s'accorde en genre et en nombre
tvec le iDjet.
IL SIGNinCATION ET EMPLOI
iyt. — Les temps catalans équivalent aux temps français
corrcapondanti. Il y a cependant nn ceruin nombre de cas
un min on. mm
où Ici tempt do verbes ^taUni ne Mot pu let iquivalentt
auca de* lempi coireipondann dei vcrbei fnnçaù.
393, — PAin^n pKtsDfT. — Le participe préMM traduit
le plus souvent le participe présent français piicidé on non
de*».
19}. — Indicatif ptfritiUT. — Ce temps catalan ne s'em-
ploie jamais dans h convenation ; dans le style élcTi il
s'emploie quand l'action qu'il «prime a eu lieu à une époque
indiquée et entièrement écoulée an moment où l'on parle.
. En. t La Mintmls eiilrirtnt dam la agitai* à bifin itjuUUl.
— Ela enemlei eutnifa •■ la capital a la H te
jnllol
394. — Indicatif prët£rit composa. — Ce temps se t«g-
me en faisant précéder l'infinitif présent dn verbeqne l'on
conjugue soit de valg, tu, t«. Tan, Tan, Tan, soit de Tareig,
Tares, Ta, Taran, Taran, Tares (du verbe aaarr alltr). On
emploie ce temps quand l'action qu'il exprime a eu lien à
une époque indiquée et entièrement écoulée au moment où
l'on parle.
Ex. : Hier j'ai éijeuni avec mm pirt —^ lUr Talf aanorar
ank al aan (ë) par* (Mot 1 mot ; Hier je. Jéjen-
nai avec mon père)
' llyaitux ma, j'aiiijeuni fva mm pirtU/mrdt
Noit — h dos (6) anya, Talg «ewonar uA al
maa (é) parel dla da Hadal (Mot i inot : I) y a
deux ans, je déjeunai.,.^
■ ' 395. —1 iKDiCATir FARFAir. — Ce temps catalan _doIl être '
employé r . .-.,.,',
iji LES riurs uâ Véaiiâ
1* quand l'àttiao qu'il «xprinie a en lieu i une époque
qui n'ot pai iniliquée.
Es. : J'ai beaucoup voyagé — 8a Tla^at mAK (6)
s* quand l'action qu'il expriine a eu lieu à une époque
qui n'nt pat encore entUrement écoulée an roomeut oii
l'on parle.
Es, : Aujouribui j'ai d^iuni avte mon père — Anl h»
aanonat amb tl nus (é) par*
Cdlt umaiiie j'ai vendu ma maùoH — IqwaU aat-
■ina hi TMint la aara (é) oau
CttU anni* j'ai vu Henri — Aquat àny h* Tiat
l'Bnrlé
}■ quand on veut indiquer que l'action a été répétée
ou qu'elle a'eit prolongée jusqu'au moment où l'on parle.
Ex. : J'ai i^euni avec mm pire presque tous Us jourt de celle .
temaine — Ha aaaamtaHk d■•n(é)f■r•gal^*-
M toU eb dtet d'aqMiU aatnuu
Cttlt année j'ai vu mou frire une/m par semaine' —
Iquaat anj ha vlat al mau (é) gan^ una TagtU
396. — Indicatif rirrua. — Ce temps catalan correspond
A l'indicatif futur franfaii; il remplace anui quelqucfoit
l'indicatif prêtent quand la phraie eat inlerrogative et esprl*
me rétoonemeni on la curiotitë.
Ex. i Qil aari aquaat boBuT — Quel al tel homme? Quel
peut hienUrecet homme f
QuiMdrtT — Queveul'ilf Qùeptul4l hitn vouloir?
197, -^ L'Impératif ne comprend en réalité qii'nne (éiile
penoiuw t la deinlénw. Lca diver* tableaux du prèMtft
n,„i,,-i>, Google
^M rmt DES vous fj)
^tttoÈ Di cuuuRB indiquent donc simplemoU ]$ V per-
- sonac do tingulier et U a* pcnonnc du pluriel de ce temps.
Mail 'i\ est useï fréquent en français de voir la )■ personne
du singulier. U i" et la y du pluriel du subjonctif prisent
employées dans un sens im|>ératif. Ei. : Qft'il r^trdt — Se-
garioHt — Qu'iU ngirâtitl. II en est de mCme en catalan.
J&. : Dm nlri — IHran — Qh nliin. — Le que qui
précède U }■ personne da singulier et U )• personne du
pluriel se supprime quand et» deux personnes sont emplo-
yées par politesse (avec T«^* sous-entoidn). Ex. : (à nne
personne) Virl, JUgardt^ — (à plusieurs personnes) Mbtai
398, — L'impératif caUlan ne peut jamai» être employé
négativement : l'impératif français négatif doit se traduire par
le s^bjonctif présent catalan ; mais qut ne s'exprime {smais.
Ne crains rUn se traduira S* craints rien : Ho .^>>^ (i)
SUIJOKCTIF
799. — SuBjOHcrtF PRÉSENT, — Le aubjonctif présent ca-
t«Un correspond au subjonctif présent fran^is; il sert en
outre :
;i* i traduire l'impératif qégatif ($ 298)
^' à traduire l'indicatif futur français précédé de quand,
.dans .une phrase non interrogatire.
Dans une ptirase non interrogative l'indicatif futur fran-
9iis précédé de qumid se traduit soit par .l'indicatif futur
.catalan) soit par le subjonctif présent caôlan.
,Ex. I Nous aehiotrom a travail demain quand tu vitndras —
i^oatarwaqwattnball.dMsl qnan vlngali (Mot à
root I quand tu viennes) on /qnan viadiia
1)4 1^ TBtn SES TBues
- Ji ferai etla plus Inrd, quand jt serai à Paris — Fai^
aixb Bel tari, qvan dgnl a Parft (Mot i moi t
quand je toit i Paris) ou : qnan taré a Paria.
300. — StJBjONcnF iMMaFAiT, — Ce temps catalan corres-
pond au lubjonctif imparfait françaii. I! sert en outre i tra-
duire l'indicatif imparfait français précédé de n et indiquant
nnc action conditionnelle 00 un désir; maison peut autiiie
lervir de l'indicatif imparfait catalan.
' Ex> : Si j'avais de Targent, j'achèterais ont maison — Si Ub-
goéa (ou : 81 tanla) diaara (é), confraifa uu eaia
. /( mangerais du pain si je U pouvais — Haalaria pa
ai poguéa (ou : ai podia)
Ah 1 si j'avais de f argent} — Ihl al Ungnfa (ou : il
tanla) diBara(é)l
■ )oi. — Subjonctif pARFArr. — Le subjonctif partit cata-
lan correspond au subjonctif parfait français; il sert en outre
à traduire quelquefoit l'indicatif futur antérieur français pré-
cédé de qttani dani une phrase non interrogative.
Dans tine phrase non interrogative l'indicatif futur anté-
rieur français précédé de quand te traduit toit par l'indicatif
futur antérieur catalan toit par le subjonctif parfait catalan,
■ Ex. ! Quand j'aurai achevé ce travail, nous irons nous prâ-
mener — Quas hagi acabat aqnaat traball ou : QoÊn
luMii acabat aqnaat treball, anlren a paasejar
Quand j'aurai fait It tour du monde, nous reparleront
décela — Qnan hagi lat la toIU al nlSn ou : Qnan
kavi M la TOlta al min, tomartm a patlar d'alzb
}02. ^ SoijOHCTiF PLUa-QUE-PAaFAiT. — Ce temps cata-
lan correspond au subjonctif plus-que-parfait français. Il
•ert en outre à traduire l'indicatif plus-qne-parfill français
précédé de W et indiquant une action conditionnelle on un
El. : Si fmaii tu i* l'argml, j'aurni êcMi un* mmtm —
U hagnét Uioat Itatn (i), luu
JUurMÙ mangi du pain àjt l'mmipu — Hiaiia ara-
lât pa il lugmtfi MRt
Ah I si j'avais tu dt l'argiHtt — kkl titmgubVaaIt
CHAPITRE X
AVOIR El ÊTRE
1. AFom
}0}. — Av«ir, Terbc luxilliire, u traduit par htTar
(..►bé).
Le verbe hirer ten d'auxiliaire 1 tout le* vcrbei catalans
(actib, neulrei, pronominaux, etc...) régulicn ou iirigu-
lieri, tanf aux veA>ei paulft dont l'auxiliaire etl, comme oo
r« ™ (S ajo), ur (<).
Le verbe baver a deux condiiîonnelt présents: lunifa et_.
bafwn (i), mais le second ne peut s'employer que suivi
■d'un participe passé; il forme alors tu second conditionnel -
antérieur.
Le participe pnsi d'un verbe «juelconqae, précédé de
ktvw. ne s'accorde que dans les cas indiqué* au chapitre
XVI avec le complément. Le plus souvent il est invariable.
Ex. : lea etrU* «u bt Merit — Us Idtra qtu j'ù éerila.
Les temps composés du verbe havar ne sont employés
que dam la conjupison de bator fa.
J04. ^ Avoir, verbe actif signifiant pesséJer, se traduit
tonjonrs par tratr.
Ex. : J'ai une maisM — TUc sna easa
' )0j. — Baver de, tenir qu (ou tenir do) suivi* d'un infi-
nitif, forment une sorte de conjugaison indiquant nécessité,
ÀFcan sr ÈTXE
IÏ7
obilgilioii, pntjeti M corrcipoDdiiii wit iux verbe* IniiçtU
.noir à oa itooir luivii d'an infinitif, «oit encore au vnbe
frailçili /)/{«> ou i <]uclquei lutrci.
Ex. 1 la <• Mrtlr, ou t Tbu fu Mttlr — J'tà i teriir,
Jt dnt teriir, ïlfaul qm js tortt. Il nuftvt urtir
■• do RUmr ■ IM qutn, ou i Tbu %u mêxtàx ■
Ut fBâtra — // fml qui jt parlt i 4 biura
XtTla i» pulw, ou : Tealt fu perlar — /«wt à
parltr, Jt itvaù pttrUr, Il mt/altdU parler
Bflvla d'abaBiuur-toT — FtlUil-il l'aimimnurf
Kau< d'Mertn», ou TliM d'Morinrt — J'turm à
icrirt, Jt dtorai éerirt. Il fouir» fiu féaivt. Il mt ■
faudra ierirt
Ttm haT«r i« nodmr t la lorga — Ntut dùma
avoir rtcmrt à la fora
Ba ia ploore aqoaaU ait — Il va pbiamr etilt nuit
lu «a aar (é) laa tbU — /J AiiJ iirt S bturu. Il
ptuî itre 8 bturti
)oé. — Quand l'infinitif est accompagné d'un complément
direct qui, en français, »e place tantit aprét l'infifflitif, tanlAt
après le verl» avoir, en catalan, ce complément occupe b
même place' qu'en français quand on emploie tailr qia;
mais il ne peut iamaïs être placé entre havnr et da^
Ex. : Nous avoat à vmirt ieax d)eoaax ~ Taalm fma Taa-
dra dea (ô) cavalla, ou : Haram da Tandn daa
(6) eaTBlla
Ib maifttl htaucoup i fairt — 'Barlaa da far (i)
malt (A), ou : Taaiaa malt (A) faa lar (é)
)07. — Quand l'infinitif qui suit harar da a pour com-
plément (direct ou indirect) un pronom personnel, ce
pronom personnel se place Immédiatement après l'infinitif
ou immédiatement avant le verbe auxilialic* -H •«» «tt da '
i)S jm* HT strs
■nénte *1 l'iafialtîf a deux pronon» penonoeb pour cQDir
"meiit*.
lx,iItdMt m'eavojer un /fin ^ la d'Mvlar-HO m lUkn,
oa : ma 4'niTlar n lUbro
. Neuî dtvtiu U lui ammuniqutr — EaTCM Aa OHn>
tfaw-na, on : L-U k
joS. — GmjngaiKni det verbei harar et Uilr.
INFINITIF, BTC...
.tItriNITIF PKtSENT
«fm'r
karar taalr
• PAITiaFB PASSt
mnitlTIP PARIAIT
mmr tu
haTar tlogal
PAimapB ntsBxn
{tn) »ym$t
t PAIFAIT
(m) aymit tu
,„Gi)
krOIK et ÉTME
INDICATIF
IMIHC4TIF néUKT
i'tU, eu...
Um
U»(é)
U
tau UMB(é)
ramCATIP WpiktFAIT
hartt UBfa
havfM - ■ UbIn
taaTfi tmta
kaTfstt tnfiH
haTf «n tMin
taarfm UalM
■ ixtuuTiF ntrpar «uns
/'au, etc..
bagnl Ungnl
hagasTM (é) Ungntrei (i)
btgnCrm - Uagnfcia .
a (é) Uagunn (é)
t. Ha raM d'oa participa puié m praaoac* (tDfnhBoit L Duu b
4<plMD 11 taftfW ée. h* <• Mt iMnlnwai MidÉCJ pv ktig 4».
■n ...„Gf
dropL ta ÊTKs
INMCATtr ntltUT COHKOt
i'm, etc...
n^feSTM-
TilglMir
nibarcr
niUilr
nhant
ntnlr
nMham
TUMtnlr
vuhmr
TtnUBlr
nakiTK
TUtMir
niDiuTiF rtxiàxt
j'ai tu, «te...
k«hâg>t
hatlngut
kâikigot
. , haïUBipit
bakmit
kiUngut
bmabagnt
hinm Usgat
haTMitagat
liâTnitliigiit
bubagnt
htaUngnt
INDICATir KUC-QUB'PAItFAn- '
j'mmt tu, etc...
lùrlâ htgat fenU Ungilt
iMvfM btgat knfN Ungot
btrfk kagiil hnfi Uiigat
kâTlMi k«g«t hnlai Ungnl
klTlMbvlt hflTfMtlBSBt
^avfMkKtt havlMJlagMt
■ I,, Google
dPtMK Sns
j'êuni, etc...
hàjui
UbM
UtaiM
Uadrit
kUTi
U>M
baorm
tlndrwi
inm
tladTM
kanrin
U>«ri>
INDICATIF PUTUK iMTftUBDK
j'aurai tu
, etc...
iuxiiasM
hittréUsgst
kanrislMgnt
h«aisUiia«t
hivàbtont
kinritliigM
k>iir»]>âgi)t
banrmlliifftt
inmthagut
bum tlBOit
kaniabqM
ktnriuiU^prt
œNDmONNEL
CONDinOHHBL ntSENT
rainb.
«c...
hanrfa
u><rf«
klOrfN
Uadriu
banrU
tiadrta
btDrfm
Undrfw
kawfM
tlBdrfM
COKDlTtOimL AMTÉlIEUt
hinriabagit.
kuufMfeagnt
haarialMgtit
banrlai hagnt
I, eu...
kaiirft Ungnt
kinrlN Ungut
hanrli Uagst
haorlMl UagKl
hMMXùm tapHt hairfM Un
SBCOXD COHTtOHNEL ANTiUEUE
î'âurmt tu, eu...
bagnirmi bagnt
(i)k
a (é) Ungnt
• (é) Uagnt
a (é) Ungnt
hngnéram tlngnt
lugn<nn tiagst
hagn«nn-(é) Ungnt
gDBJpNCTIF
tUlJOHCTIF PRÉSBKT
(fw) /"«M, eu...
n,3i,7=-i>, Google
(*)
iDijONcnr niFAiT
Cji«) ;■*«« «(, etc..
hagl bgnt hagl Ungnl
lugii btgnt . hagli Uagnt
bagi basnt hagl .tlag^t
bagnsDi lugnt hagMa Ungnt
hagnan liagnt hagnaa Ungit
kagiii bagat kagio Uagat
EUBJOHCnr rLUS-aUB-niFAIT
. . . . (jfui) j't^ss€ iu,jac... _
hagnéi bigot hagnéi UagHi
(é) kagnt baguuii (é) Uagst
ignt hagvfa Ungnt
it . hagniialB tingnt
kagnt hagnéiilB tingnt
(é> hagut fcagHida (<) tingM
^.„Ge
)09> — Let TCfbo tcnninèi par tnir, tels que abrtnlr
M, ^abstenir; ooBtralr, eonltnir; ietnir, arrêter, etc.. »
coaJQgaent de la même maiiiire ^ue le verbe tnJr, meir.
IL Y A — IL EST
)I0. — Le Tcibe unipenoaael il y $, il y avait, etc.. «
traduit par la )■ penonae da tlngnlier de diaque tempi di
verbe hanr précédée de U.
Ex. t II y a un bomtiu dam eellt satU — Et ka on bine «
aqMiUaaIa
Il y avah itux tnfanU dans ht nu — Ht luvia diM (6|
dqIb m *\ etnw (é)
Jipmtats li^ily aurait eudtla nt^e — Puiava qni
U kanrfa hagit mm (i)
Remakives. L'indicatif présent français il y a te tradui
quelquefois par l'indicatif fntnr catalan, surtout si la phrasi
est i b fois interrogative et dubitative.
Es. : Y a-t-il quelqu'un qui mt cmlrtiiuf r— 11 baori algH
qm'a oonUadlindt
■I ha «H. U bavfa «M, etc. correspondçnt i il faut,
ilfalUût, etc..
Ex. : Bl ha fM trahaUar — H faut Iravailkr
jit. — Lorsque le verbe nnipersounelï/j'a est suivi d'un
mot indiquant la durée, on le traduit le plus souvent par la )■
personne du singulier de chaque temps du verbe tar(i), faire '.
t. LcmfettK(t)./sirr, tsr irr^Hcrl tait Ut tmp* « appiiticdl
I. VdU m avojBplMa amipenonpclle duu Lbiom it^ily a,
ilya\
Ia.fl7<
Ma, ilr<»fl
Juà, fiyMn
larfi, HfënU
faaal, (rOUyU
n,3i,7=-i>,G00'>^lc
jnWJt KT ÊTIIE XiS
tx.îllja eiHjudule mi — Fa olmqttaBU aajs'
H y tui Ûer quiuxf jours — Tate(é)aUrfilBMdfM
Qfielquefoîi aaui on plice ]■ )• peraonne dn lingnlier
d'un Ump* du verbe feanr après les mots indiquant h
durée.
Es. : TMtpa (£) ka — Il y a jutlqut lempt
Ttm aajra havla — IlyttuiUlrnsmi
)ii. — Une légère invenioD permet fréquemment de tra-
duire i7j> a, il y avait, etc.. parle verbe ter (i),Jtrt. •
Ex. : /( Ht treyms pai qu'il y tûl tant it maibturtux (Mot i
mot : Je ne croyait pas que les malbenreui fas-
sent si nombreux.) — Mo paaaam qae ftnlB (6)
tuta aïs desgraeiata, ou ; Ko p«Bi«T« qaa U
hagufs tanta daignoltu.
. )I3. — Le verbe untpersonnel il «5/, (7 élail, etc.. em* .
ployé dans le teni de i7 y a, il y avait, etc... te traduit corn- '
me ce dernier par la )• personne du singulier de chaque
temps du verbe kavw précédée de U.
Ex. ^ // tsl un pays qut fatmt — Si ha u pals qm astlMO
Il tsl ia gens instruits — Hi ba pananaa inatraidae
Iljul urfitmps où... — Hi m turar na Imv* (è) ai
II. ÊTRE
ÊIrt, verbe auxiliaire
)I4. — Êtrt, verbe auxiliaire, te traduit.par aar (é); avec
le participe passé d'un verbe sciif, il forme un verbe passif:
ce participe passé s'accorde toujours avec le sujet.
Ex. ; AqnaaU mar» is iwpeoUda — Cetlt mire ta rtiptetJt
EU ananloa kan aignt vançuta — Les tnutmis eut iti
vaincus * -
Cnmmirin ttiMmi, le
146
jrorit n étks
Le ptrticipe paué ctt donc coniidéré, dans la con{Dgai-
(on dei verbei puitff, comme un véritable adjectif.
Remuque. Le verbe ur (i) a deux conditionncli piéteatt:
Mrfa et Mn: l'un cit ausii fréquemment employé qae l'autre.
Êlrt, verbe non auxiliaire
ji|. — Longue le verbe français élit ne lert paa d auii>
liaire, on te traduit lanidl par mt (é), lantdt par aitar, d'a-
pré* let régies suivantes.
)i6. — 8w (é) désigne en général les attribnts perma-
neots d'une personne ou d'une chose, sans comparaison
avec un état, antérieur ou futur, différent de l'état actuel;
par conséquent, les qualités, physiques ou morales, essen-
tielles au sujet; ses dimensions, ses propriétés, son état
habituel, son Ige, sa provenance, sa situation, sa destina-
tion; un séjour, une résidence, l'endroit ou quelqu'un on
quelque chose se trouve, temporairement on non; la natio-
nalité; une dignité, un emploi, un métier, etc..
On emploierait donc ser (é) pour traduire le verbe éirt "
daiM les exemples suivants:
élrt bommer mortel, /mm. Anglais, grandi Im, ferl, instruit ,
hloud, mliitin, ptintri, comlt, duc — ht (é) koms, morUI,
tore, Inglii, gran, bo, lort, iiulrvlt, ru, »atgt, pintor (à),
UHto (6), du
étrf tn argtnl, m boh, liquide, bleu, large, bas — (sr (é) d«
plaU, de taiU, IffuM, Uau, tapie, baix
An tur h table — ht (é) Mbn la Uila
être de Fatenet — mt (é) de TalaioU ^
ilre ebei m, à Paris, tu France,' ta Europe — aer (é) t
«an, ■ Parfi, a Fraaça, a Sarepa
Bart^Mt lit MT la bords de As MUUemmit -
da a la Tara dd MadUanaal
.■i>, Google
jrOlM KT ÉTME . I47
Ct ebaml al peur mon fis — Aqiwt emU it fml ■•■
«un
{17. — btar Attifpt en ginfral kl aitribuii accidcntdt
ou traatitoire* du lujet; un état ou une qualité d'acquuition
récente; l'état de la tanlé; une émotion on use tentation
•ubite et patiagére. *
On emploierait donc wUr pour tradnire le mbe Un
dani Ict exemple* tuivaatt :
- Un fatigué, uU'ufeil — mUut ouatt, mUsM
llrt tnttmbU — attar ]anta
itrt maUdt, m bonne sanU — uur Halalt, bo
3 (8. — Let d^finitiooi préccdcntct indiquent que l'en»*
ploi de aar (é) ou de «atar peut modifier complètement le .
tent d'nne cxpretsion. En voici quelquet exemplei i
ta (é) bo, Un bon — aatar be, iirt in tonni tanli
ter (é) oago, iIrt avtugU — attar eaga. Un devenu '
aveugle. Un aveuglé
tar (é) pobra, aar (é) lia. Un pauvre. Un riebt —
aitar pobra, taUr rie, Ure Jevtuu depuis peu pau-
vre, riche
tar (c) bonté, Un toujours on haWutiiement joli —
aitar bonio, Urt joli au memtal où feu parle. Un
■ en beauté
aar (é) alagra. Un jovial — aaUr alaira. Un gai
■ar (é) borratu, Ure ivrogne — aatar bomtxo, étreivre
aar (é) eallal, Un disent — aatar eallat, Urt m/m*
eieux, etc., etc..
J19. — Cenoini ]»rticipci piiièi conji^ét pattlvement
avec tar (é) peinent recevoir un complément indirect; nuit
quand ils indiquent un état accidentel, paitager, et qu'ili ne
font pas accompagné! d'un complément indirect, ib tCHÎt
précédéi de aatar comme de vèritablct adjectif.
ns .,..,„&
. t4i . Aron KT ÊTME
: El. : Jtfos hUssi par un t»ntmi — Ttig mt (é) terlt par
UWiBfO
J'ilais bksti quand Jtan arriva '— Bitm toit qui
•n Joa> Ta arribir
)»>• — EfUr est touyent employé devant k putkîpe'
prisent d'un autre verbe pour indiquer, d'une manière plui
prédM qne ne le ferait le verbe «mple, que l'aaion k fait, '
t'en faite ou *e fera au moment mCmc oli l'on parle ou au
moment m£me dont on parle.
Cette toamure exprime donc :
,i un tempt présent : la continuité d'une action;
i un tempa passé ou futur : soit la continuité d'une
. action, soit la concomitance de deux actions
r <]uand une phrase incidente- indique qu'une ac-
tion s'est faite ou se fera en même temps qu'une
autre action.
L« catalan rend ainsi très exactement l'expression fran-
çaise Un (fl IrtihitÂe suivie d'un infinitif.
- El. : BiUo •fcrivlnt (Moti mot : Je suts'écrivant) — ~
fierii, J'écris m u mommt mime, Je suis en train .
£i(rirt
litiTtm riant quas va arribar — Nout riions, Nous
éHoHS eu Irain dt rire quan il arriva
Fa TBit dlaa, aatan bdlaiit — Il y a huit jours, il
damait, il Hait en train de danser
latarà Maajaat qoaa arribaram — // dînera. Il sera
en Irain de dîner quand nous arriverons
RekaUque. Quelquefois aitar est remplacé devant un par-
ticipe présent par le verbe aur, elltr. Ce verbe est irrégu*
lier (7* groupe).
AVOlIt.rt ÉTKB
)ai. — Onjugaiioa det Tcrbei mt (é) cl Mttr.
mFINITIF, iTC
mmimF nts&HT
MrCé)'
tire
PAKnapB Tjott
INnNITV FAKMIT
avoir ifi
k«TW Mtat ou rignt kavt^ MUt
PARTiara nAsBNT
(m) Oanl
Mit (4) * MUlt
VUmaPB PARFAIT
(«) ayata éi/
hnwt (é) wut ou ilSBt hinat (é) •
INDICATIF
INDICATIF PRÉSENT
•00(4)
MUe
m (fi)
•itii
niDIUTlF IMPARrAIT
i'Htb, etc..
mUvm
WM (i) «Uns
, INDICATIF PKÈrtUT
je fus, tic...
M mtlsBl
Irm (A) MtigMTN (è)
tmt(fi) HtigB<
MrMi MUgoérMi ,
WiM MtlgnfeM
IMM (A) wUgBWM (é)
INMCATIF PttTtUT COMPOSÉ
je fus, etc...
TalfNr(j) YSlfeaUr
vu MT (é), eu... wMUr, etc..
nmCATIF FAKFAIT
/"•u A/, etc..
ku eeut on eifit, eu... Ihh eeut, eu...
4ra* n tTKB
III1MC4T1F PtW*<Dl*fAlP»rT
i'avtii éU, etc...
kcTft «rtrt 00 ilfBt, etc... fc»Tf« mM, «te...
IKMCATir FUTUR
ft uni, etc..
UDiGA-nr ptmit »trrt«iioR
j'aurai M, etc.
kanré Mtrt, CK..^
kaiir< MUt ou Ofat,
, CONDITIONNEL
CUMDrnOKKU FBtSENT
^ . . ft mais, etc...
Mriet «««^
urf. «Urla
JFOIR Vr. ÊTKE
MCOMD COMMTKnmU PttSENT
jt MTMÎf, ÇtC...
»(*)
.(4) ■
ccntDmomiBL AintiiBut
j'éurms m, etc...
rtiMUtouiignt, etc.. feaarfaMUt, etc...
MOOIID COHDrnONKEL AlfTÉMCUl
l'aurais M, tu...
ra(é)MUtouilg«t,etc...bâgwra (é) MUt, eu...
IMPÉRATIF :
■IffM*, sois Mil OU MUgBM, SM
•i|M« ', A>)n Mtm 00 MtigiMK, ttyex
SUBJONCTIF
suijtnicnF n£SENT
(f w) /»««», etc.. .
.gic
Arm* rt tniE
lUBjtwcnv muMkit
{qiu)ftJàat,tK...
lM(«) MUfB<l
toi (A) -
loulB (A) ■ttlgaiiln (i)
■UBJOHCnr PAUAIT '
(fiw) i'ali M, etc..
tagl Ntat on ligBt, etc.;. kigl mUI, etc...
iD>j(»icnp PLUi-Qira-PAWAn
.CfO /"««« "W, etc...
hHi<i eetat ou ilial, etc... hiaifc Mtal, ett..<
^^ :;Guo
^gM> ii i i , \ mim m
CHAPITRE XI
LÈS VERBES RÉGULIERS
jii. -T- U 7 a, en catalan, trou conjugaiioM que l'on
distingue d'^irèa let deus derniérei lettre* de leur infinitif
prisent.
L'infinitif présent de la i" conjugaison eM lerminé par ar;
celui de la 1* par ar '; celui de la }• par (r. Ainsi qu'il a éli
dit au S 15, r finale est muette dam les infinitifs.
Les înfiniti& présents d-: b i" et de la )■ conjugaisons
ont pour syllabe tonique la dernière syllabe; les infinitifs -
présents réguliers de la a* conjugaison ont pour syllabe loni*
que l'avant-demiAre syllabe (tinar).
)!}. — En supprimant 1« deux dernières lettres de l'infi-
nitif présent (ar, ar, tr), on obtient te radical du verbe.
Les temps simples des verbes r^uliers se forment en
ajoutant au radical les désinences suivantes. (Dans la a*
conjugaison, b )• personne du singulier de l'indicatif pré-
UDt et la a* personne du singolter de l'impératif n'ayant pas
de désinence, ces personnes se compolcnt simplement du
radiad.)
1, UadsIliUUrdMwbMiekf coDJtipiMnitksaBniat,
. •iMpilluslMBows]rU«bMMr(t),AM;ftf(t),>A».
ogte
.iMriHiTir pUsext
UdMCATir
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rARTian nAsrar
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•«•(é)
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t
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ànm
tnm
Iran
iTM
tfTM
ITM
SOtiOHCnr ntSBKT
tUBJONCnr DIV&UÀIT
fc . fl
■If (é) muU (é) Ud« .
t» U
B(«)«Mia(é)li
IJ«
s VZKBES KfiCULIEU
314. — ReiiAiaoes sus i^ désinences
Lt i" penonnc du tingulîer est terminée par une TOyclle,
Muf an lubjODCtif imparfait.
La 3* penoane du liogulier cit tcrmiaée par •, Muf i
l'impiratif
I^ )*.penonDe du lingulier est terminée par une voyelle,
Muf à l'indicatif préMnt (1" conjngaiton exceptée) et an
inbjonctif imparfait.
La I" penonne du pluriel eit toujoun terminée par h.
La a* penonne dn pluriel eit terminée par une de* deux
diphloi^ei «■,!■.
La )• perMmae du pluriel eit toujoun terminée par ■■
}35. — Peuohhes seububles
Dan* chaque conjugaison, sont temUaUes :
I* la i" et la ]• du singulier de l'indicatif imparfait ;
1* - ^ . . du conditionnel présent;
}* , . . du subjonctif présent;
4* , . dn subjonctif impartit ;
j* la j* du lingulier de l'indicatif présent et l> a* du
singulier de l'impératif.
î^ k I* du pluriel de l'indicatif présent et celle du sub-
jonctif présent.
7" la s* du pluriel de l'indicatif présent, celle de l'im*
pératif et celle dn subjonctif présent.
)lé. — MODtU OES'VEUBS KfiGUUSU
' !•* CDni.agaisoa. , .1* conjugaîiou.
. Coogk
INFINITIF, ne.:
IKFtKlTlF PKltEKT
■inr, r^éfitr timar, crmndrt païUr, partafw
PAiTian fàstt .
rtgariU crûint P*riagi
nlrat tMuit partit
INRHITIF rUFATT
avoir, rtgarii
tanrnirai
avoir craint atmrparlMgi
kaTtr tnwl bmr partit
(en) rtgari*Ht (tii) craignant (m) parlagiant
■innt tenait (é) parttet
PAKTiapE PAWArr
(m) ayant r^anU (en) ayaul craint (m) ayant partagé
hnm adrat hanat tawU haraat pailU
je rtgêrit, etc.. je cnwit, txc...
joparlago.ete
■ira •/■
:. »««(*)
partaixa.
■ira* *
■ taa»(é)
partaiiaa
■Ira
, t"W
partalx
Diiran
taB«B
parti.
nlran '
■■■■■■ taDwa; ■■■ . ■■,■■
-partta- ■;;
Mina -
• t.«a.(é) ■
partalm. ■
c,, .,:,,„ GoiHJl
ixDtc&nr npAiruT
jt rtgënUb, tic... jt cra^nais, tte... jt parloguùt, tte...
■litTa Unit pûua
■iram UbIm puUM
■Irm tanfa partit
■trivaa Umfm partfam
Mlrim Unin putlmi
■InTN t«>ln partln
iMMcaTtF ntrtaTT mrLz
jt r^»nU,.ttc,. jt craignU, etc.. ji parlagtd, etc.»
Mlrf ttnl pmf
« (é) partiTM
parti
piftiraB
parttTM
1 .'é) partirai
iNMOiTir PHtTËarr compose
jt r^eriti, etc... jt traiguis, etc... jt pariageai, etc...
nl|Hlnr , vaifttaer raig partir
fUBirar, etc... tu Uaer, etc... ne partir, etc..
IMMCATir PARrAIT
i'ttt rtgarii, etc.. j'aitraini, etc.. j'ai partagé, etc..
k» alrat ke tout ba partit
hH ■fret, etc.. kMtaHat,eK... ku partit, etc..
â(l>tCtnF PLUS-QUE-PAIFAIT
i'amartgKfii,tM.,.i'€Vmtcraint,txc,..f'm)â$pariagi,txt.,,
ktfto aim, tte... ktrfi UwA, etc.. hnfi itrtll, etc..
!-,Go()j^le
^ ' DtDlClTlP PUTtlS
jt r^ardtrai, ttc... jt cmiiiirù, txc,.. je parlâgtna, tX£ .
mlnri teaurf putbi
'mlraria Murli partiili
mlrari Umarà pwtiri
mirami Ubkwi putina
■iraran UBfrmi ptrUraii
mlrarin UbmIii putiria
IHDtCATlF PUm AHTfiMEVK
j'aiirairigiirdi,ac...i'attrMcrainl,ttc,.. j'aurai parlagé,etc ,
hmai alral, etc.. kanr< taaat, etc.. kanrd pirtit, eu .
CONDITIONNEL
CONDinOHKeL PRtSBllT
jt regaritraU, etc.. Jt traiudrais, etc.. jtparlagtraa, etc .
Biirarfa teagarfa partirfa
mirattu tenerfu partlrfW
mlnrfa tamaria partiria
■nirarfam teatariem partlrfant
Mirarian UmarfaB partlrfan
ntrarfai t aM a rt an partlrfaa
COKDITIONMËL ANTÉaiBCX
j'aurais rteardi,*K.. j'auraît eraînl, tic. j' aurait pariagi ete
kavrlaBuat,etc.. haorfa tanrt, etc. kanrfa yaïUt, cic .
SBCOKD COXDinOHMEl AKltUBUK
j'tiuraiir^ardé.ttc j'aurais eraint,tu..j'attniiparlagi, tu.
ha|Mn(Oalnt, ktfDaia («) Uni, btgun (<) pnttt,
etc.. etc.. etc..
n,r,i,,"-i>,G(>0'j ;
i6a m Yrain iéouubm
IMPÉRATIF
min, nggrii Um (é), crnns fêiMT, parti^e •
■In*, r^arJei Umm, craignti putiR. parlagei
SUBJONCTIF
iu>joKcnr nÉUMT
(ipu) ji rigâtit, eK. qut jt eraignt, tK...(iitti)ji partage, iXC.
Mlri tul(é) parUixl
■Ml UmU(é) parteldi
■M tMl(0 ptrUlil
BlifB UBin (é) partia
■IfM temitt (i) partU
■Iria tealB (é) putalsia
■UBJOKCnF IKFAUAIT
(f m) ;> ripwiâut, qiu je eraignisu, qm je parhgetue, ■
etc... etc., ^ eic„.
■Ms Une* pattb
MlnMb(é) t«ituU(0 puUuli
«Ms Umfi partfi
■ir<MlM ; tmiMim putfuln
alrteta tuiéHfa parUiclH
tÊtmtiM (é) taauwia (é) ptrtUila
lUijoxcrir PAiFAiT
iUt/'ëUr^r44,tK,,qiiej'aieer^nl,ttc.. que j'aie parli^,tte.
kaglBlnt,etc,.. kat^Uait, etc... kagl partit, etc..
■CBiOKCTIF PLVS-QUl-PAXFAIT
dfiu) j'euae rtprdd, que j'eusu eraitil, qiu j'eutst partagé,
.-etc;.> etc. . etc..
ki«i4a iiUnit« etc... Iuf«<i UbbI, etc.. bafitfa partit, eu.»
■i L .i\-i,, Google
LU vtun ittoDum lét
}37. — Dini 1m veibei régulier* de U i" ou de la a*
omïugaiioD, la lyllibe tonique eti la deroiire tyllabe du
radical du verbe ; i* aui troli perKonei du aiDgiilier « i la
troiiiéme du pluriel de l'indicatif prêtent et do lubjouctif
pr^KUt; 3* 1 la deuiiime pertoaue du lingnlier de l'inpf-
ratif. Partout ailleuri, la lyllabc tonique e*t la lyllabe on
une dei deux lyllabct de la djiiaence.
Qjiand la dernière lyllabc du radical d'un verbe de la i"'
on de la a* conjugalion contient nne dei ToyeUet i, •, a, la
prononciation de cette voyelle varie Datnielleinent anivant
qu'elle eit ou qu'elle n'eit pas voyelle tonique.
Ccat ainii que l'on prononcera proolanar (pron-klm-ma),
procJamtr — proeluun (prou-klw-ma-biu) — pneUurt
(prou-kl«i-n»ii-rè), etc.,,, mail pneltaw (prou-kla-mou) — .
preebaiB (prou-kla<minc), etc.. De mOme ifunt (igve-
nou-ra), igaerer — Ifloeram (igue-nou-r^mc), maia Isneraa
(iguc-no>rMç) — Igvorl (igno-ao>rl) ; de mimt Unib {ttw
m\-tu) — tanieriii (Uu-nuK-rane), malt timtr (i^mm) —
Umo (té'Diou), etc.
))8, — Dana Ica vcrbet régulien de U )■ conjogaiioa, la
tyllabe Ionique eit, i tons lea tempt et i toutct Ici penon-
nci, la tyllabe ou une det deux tyllabei de la détinence; la
prononciation de la dcmiiîre tyllabe du radical eil donc
invariable, puitquc ccttt irlUbc n'en jamoit tonique.
MODIHCATIONS ORTHOGRAPHIQ.UES DES VERBES
}a9. — Le ton indiqué par la .demiirc cootonne ou par
let deux derniiret lettrei dn radical d'un verbe doit, i ton- ,
tel 4ei penonnet de tout let tempt de ce verbe, être le mine
qn'i rinlînitif prêtent, ■ t
pi(k ■
lis Lit VEun Kficounu-
) jo. — Ccrtiiiici conioDDes et cemint groupei de lettres
ne te prononçint pai de la mime manière devant lei vojrel-
ki a^ •, a que devant let voyello •> 1 (SS S' ^ I^)) <■■>
doit remplacer CCi contoanei ou ce* groupe* de lettres par
d'autre* contoanet ou d'aiitrct groupes de lettres. Il en est
de même, dans ccrtaïuf eu, ^nand la consonne o, dernière
lettre du radical d'un verbe, n'est suivie d'aucune désinence
(a* conjugaison, i la }■ personne du singulier de l'indicatif
présent et i la 3* du singulier de l'impératif).
Le* verbes de la i" conjugaison ont des désinences
commentant par une des voyelles a, », a, I; ceux de la
a* coaJDgàison ' ont des désinences commençant par une
des voyelles », «, •, i. Let modifications suivantes sont donc
néceiMires;
t** OONJUGUSOM
3)1. — Devant les désinsnces commençant par a ou t,
les verbes terminés par car changent ç en c;
les verbes terminés par car changent c cii qn;
les verbes terminés par faar changent (pi en ql;
les verbes terminés par gar changent g en fs;
les verbes terminés par gur changent ga en gft.'
Ainsi que l'indique le tableau dei désinences (5 i^j), les
désinences de la i" coniugaison commençant par a on I sont
celles de la i' personne du singulier et des trois personnes
dn ploricl de l'indicatif préMnl, la i« du singulier de l'indi-
t, Ltt TcrWl i* Il )* MB}Dplwa a'mt qnt dct iètiataai commcatinl
pw • M I; lit M MMucnt donc innM modlficitiim onhognphiqnc.
I. <ïmIimi krlnUi Auitai ] en | diat Im vcrbo Ithniné* par
.■i>, Google
calîf prétérit, la a* du pluriel de l'impéntU', et toute* ccUo
du tubjonctif prèMnt et du tabjoBCtif imparfiit
Exemple*:
tommtHttr fkhtr ilmtfftr vinfitr
INtHUTIP n£SEMT
jecommtuci.txc. jepitbt.tt^ j'itniffi,ttc jtvinfit.nt,
conienco pcico , ofego avcriguo
INDICATIF PKËTËKIT
je comttitiifai, Ac. jt péchai, ttc- j'éloufftii,tiç )tvènfiM,tK,
d*giif
coraençaru pescirc* ofegaict avcri^uarei
corne n^ peici ofcgi a^engul
començirem peicircm or^rcm avenguirem
comenfireu pctcireu ofegircu iTenguirea
començaren peicaren ofegann avengoarea
tommtnee, etc>.
coméiiça . -
pitbt,K
pCKS
ileuffi, etc vinfU, etc .
ofega avengua
SUBJOKCTIF PatSEMT
(91W) jt eommtH' (que) j* pitht, (f iw) j'tloufft, (f lu) f vinfit,
«, etc... etc... eic... eK
SUIJOHCTIF IKPAIFAIT
(_qut) jt commtth (_qut) je pichas- (jru) j'ifetiffas- {qut) je vérifiât-
tasse, etc., se, etc.. se, etc.. se, etc..
pMqiiéMia olsgnfuiii BTsrigDJMlM
la (é) pMftMulnCO oftgoaHli {i) anrlgttMtiii (ù)
1* CONJUGAISON
113, — Devant la acule détincnce commençtot, par s
(l" penonne du liagnlier de l'indicatif présent),
devant la Kiile d^ineocc commençant par a (parti-
cipe passé), et aussi quand le radical n'est suivi
d'aucune désinence (a' personne du singulier de
l'indicatif prêtent et !• personne du singulier de
l'impératiQ, le* verbes terminés par e«r changent
en ç. La désinence de la 3* personne dn lingnlier
de l'indicatif présent est m an lieu de a.
Ex, : TteNT, vmnert.
mDtOITIF riËSENT IMrttATir PAmOPE rAMt
jêvaina.txt,.. mines, txc... vaincu ■'
■ i>, Google
vencM
' veacem
vencen
VERBES NEUTRES
>)].— La Tcrbct Dcntrci cttolani u
avec te verbe kam, mair; oa dit donc, moi i mol, j'ai
tomhi, tu tmiu arrivi, et nou /( tmt tombé, tu Hais anwi. Le
participe paué dei verbes neutre* est toujours invariable.
ÎJ4.
VERBES PASSIFS
- Les verbei passifs catalani, comme on l'a d^ dît
$ 390, sont formés du verbe MT (i), suivi du participe
psué d'un verbe actif qui s'accorde toujours avec le sujet.
Le participe pissé est donc considéré, dans la conjugaison
des verbes passifs, comme un vériuUe adjectif.
VERBES PRONOMINAUX
})j. — Les verbes pionominaui catalans se conjuguent
tous avec le verbe havar, «twïr. Le participe passé des verbe*
pronominaux est toujours invariable. On dit donc, mot i
mot, )t m'ai promtni, mas nous atma «mus/, et noti jt mt
]]6. — Le pronom complément se traduit; dans lu temps
simples, sauf A l'infinitif présent, au partidpe présent et i
l'impératif, il se place avuit le verbe, et anbit les modifica-
tions indiquées aux %% t jS ki6o«tiUk iM. — A Tinfi*
l6( LESTE!
nitif préMnl, m participe présent et i rim[>éritif, le pronom
complément se place apré* le verbe et le joint 1 lui par un
trait d'union ; il subit alors, dans certains cas, les roodifica-
4îoni indiquées aux $$ 173 i 175. Il en est de même lorsque
la j* penonne du singulier, les r" et )* personnes du pluriel
do subjonctif présent catalan sont employées dans un sens
impératif sans négation '.
Dans les temps composés, sauf 1 l'infinitif parfait et au
participe par&it, le pronom complément se place avant l'au-
siliaire, et subit les modifications indiquées ans $^iii ii6o
et 166-167. — 'A l'infinitif parfait et an participe parfait, le
pronom complénient se place après l'auxiliaire (htm, Im*
*mt) et se joint i lui par un trait d'union ; il subit alors, dana
certains cas, les modifications indiquées aux JJ 171 A i7{.
))7. — CoHjuoAisox d'itn ver
ImmiTtr PRèscnt ; passeju-se (r), upromaier.
IxpDitnr PAtFArr ; btTar-M (r) pasa«)at, t'étre promtni.
PAmaPB prSseht : msaaJMl-w. (m) u pronunanf.
PAKTiarE PARFAIT : kamt-s* psM^at, (en) l'ilant pnmiui.
INDICATIF PRÉSENT
INIHCATIF PARFAIT
jt m* suis promaié, etc..,
■1M (é) paaitiat
•IttpaMaltl
t Qyi>4li ubfoocUrprtMnl citili;iM«niplaf4 pmttminlit l'Inpé-
ladt Di|Mi( ftaifib, I* pRMÉom compUmml conMrr* u plue tiMtodla,
M M MB** p*[ WOX^BtBt MM It BtgItlOB Cl 1« ttrbt I ||«t gMai
nkfHmrmpti — Ho'li glrtBi, Nt mu rthtrmm ftt,
-s. 0>«cmMMlpMM)M<VrirS||tMM).
ogie
U* VBUB ItCDUElS
•MktnarMMtM
■t, pnmhiê-tei
qu'H s$ prumhu
i-VH, prtmtiuitmu
qu'ib M prtmhmil
CHAPITRE XII
LES VERBES IRRÉGULIERS
j}8. —Le* verbei irrégulien ont tti divifét en quatre
cluMi et en lepi groupes.
Chaque cluse comprciid une série de verbes se conju-
'guant d'après un même modèle; ces vcriwi n'ont que des
irré^liritès presque régulière* et fomMot, en quelque sorte,
de nouTelles conjugaisons.
Chaque groupe comprend deux, quatre ou cinq verbes,
assemblés suivant leur plus ou moins d'analogie dansleun
irrégularités, et ne serrant de modèles i aucun autre verbe,
si ce n'est à leun composés.
Les composés d'un verbe ont toujours les même* irrégu-
larités que ce verbe.
,1)9- ~-' Q)i*ud l'Indicatif présent a une ou plusieurs pcr-
sonnes in^ulièrca, le subjonctif présent et l'impératif sont
irrégulien, en tout ou en partie.
L'irrégularité de l'Indicatif prétérit se retrouve au sub-
jonctif imparfait.
L'irrégularité de l'indicatif futur se retrouve au condition'
nel présent.
' Ce*t- dan* cet ordre que figurent, plu* loin, les temps
Irrégulicts.
Les ligne* pointUlées ... indiquent le* personnes règu-
„,Gt>i:)^le
I^REMIËRE SECTION — CLASSES
j" CLASSE
}40. — Let mbei lermini) par aln, Mn, t^pn, et le*
verbes pwin, ptrirt, nkrt, Ttttvdr, le eonjugoent d'apfé*
. le mod^ luiTant ' :
batn, lnMrt
jt bats, tu...
bato
(f lu) jt hallt, etc.- boit, etc..!
ittMunp
suBjONCnr
PIÉIÉIIIT
INPAHFAIT
. ;. Mit, 1
■ (p,0/.Wi<».MC
taU
kaUi
kaurM(0
b>uuU(i)
' klU
klO
-tel^n.
btttofii
M<m
kuWi
b«ura(i)
: bu«i.(é)
, CctTiibtipMmMétMnppoAfodMVwbwftMtiiiUndBliin^
^.,„Gi
ittmcàTiF coNomomiEL indicativ PAmara
rUTDK niÉSDIT IMFARFAIT rttSIHT
;' jthallrti, eu... j* baUrmi, etc... jt balUâs, tu,., (en) ImUImI
] ... tatrf kaUii batia ]MtMt(i)
babla katrlM baUM
bitci iMlria batU
' bflUMi haUfaa hattoa
birtrM tatriMi kaUM
katria ' batriai batfaM
Le participe paué de* rerbei terminéi par atn oa e^tf
et celui dct verbei périra et rakra le forme eo changeant ra
enat.
Ex. : batra, ballrt — batnt, baitu
raiipra, rompre — nmpat, rompu
pKttra, perdrt — pordat, perdu
rabra, ricoMiir — rabat, reçu
Le participe paué de* verbea termiait par atra te forme
en changeant at» en ia.
El. : rMWtra, rtmtUrt — ramia, remis
* Rehaiqui. parerai perdre, change 4 en l i la 3* et i la
J< penoanct «lu liagulier de l'indicatif prêtent (parta, paît)
et à la S* peraonne dn aingulicr de l'impératif (part).
J4I. — Trente-iix vertiei de U j* eoii|iigatioii m conjo-
gucnt d'apréa le modèle anivant i
tmmtaiitrmir
■ n ,-i,,Gpogk-
iNMctTiP tuajoMcnF impSutip
' rstsEin- pilsmiT
jtiûrs.ac.., {qui) je iermt, tt£... iort
On obMTven donc, pour la prononciation di k dernière
■yllabc du radical. Ici riglet ^oi ont été énoncéa an $ J17.
Ont le* mimei irrégulaihét :
hwUt, ncMunr faglr,/inV
aenlUr, aaïuitlir grwirir, gr^tr
adormlr,, «iKJomuV )\vix,VrilUr
ajnplr, dompter mentir, mtntir
■■MnUr, asseitlir moilr, mourir
airamlr, assumir mmjiT, Irmn
bolllr, bouillir obrir, ouvrir - '
eanuntlr, cotistiUir ompUr, remplir
eontninir, eonsumer prewenUr, presuutir
preininlr, pritumer
pndlr, ^iwr
reooalr, recoudre
\ nonlllr, recueillir . .
tir reaninlr, résumer
Mntir, lenlir
Mttlr, torlir
Muoir, ploHgir ■,. •
iapper toaalr, teusier >
h Go()^le
LU TBIUS lUËGUUnS
RDMIQUES
Midir change 4eatibi*etila)* penonnci du tingu-
lier de l'indicatif prisent (mhU, âoat) et & b 1* dn lingulier
de l'impiraiif (»nt). Ce verbe peut *e conji^erauMi comme
un verbe régulier (ceoMxa, etc.).
(■gir fait aux perionnei du tingulier de l'indicatif prisent
Ivjo, fugM, fsig, et i la j* pertonne du lingulier de ]'impé>
ratifhiig.
llalr peut te conjnguer aussi comme nu verbe rigniier
(Untiu, etc...)-
■•bUt et dtnumUr peuvent te conjuguer anui comme
dei verbe* r^liers (lamteizo, deuuBUlio, etc.).
Obrir et ompUr font obm, oaplM, à la i* personne du
•ingulier de l'indicatif prêtent, et obra, ompl» i la a* pef-
tonne du singulier du l'impiratif ; cet verbei sont en outre
Irréguliert au participe passé ; obot, oaplert.
podir change ë en I aux mêmes pertonnet qu'aendlr
(fiu. p«).
nnlr peut se conjuguer autsi comme un verbe relier '
' (■nwiu, eu...)-
f CLASSE
i4». — Les verbes terminés par in (uuf perin) te con-
juguent d'après le modèle suivant :
Mtaadra, wm^riHin
PtCSBUT nUbSHT
jitMi^Mit, etc. (^qae) 14 eempnHat, ttc.„ ttmprtuds, ttc...
.■i>, Google
i^iii) je comptittt, etc..
NOrnONKBL IKDICATIP PARTian
ntSEKT MPARPAIT PASSA
DmprtnirùSijt eemprtmià, camprU
Me... etc...
«ndrfa mUiiâ «lUt
«ndrfM enUnlM
«ndrfa mtolâ
«ndrfam •bUbImb
«Kditev nitralaH (<«) compmumt
MBdrfm MUnlatt MUamt (i) .
■ Tcrbe* terminé* par oldn fonncnt kar
I changeant oUn en M. Ex. .; àk i éUn,
,. Mail le participe passé «le iaiUn,féin
I), eu dolgat.
doit être ratuché le verbe ttllit,mmr
onjuguç comme ioUn. Il bit donc MlOt
fa, ■•Igut.
!, Google
174 i^ vnBES iMteDuas
Let puticipci pûtes da verbci «aUra, falloir; pMdn,
ptndrt; raUn ', vahnr, «ont ealgnt, port, nlinl (Voir ^
Îî8 et jfo).
)4}. — pMin, prmirt. et lei compote* le conjuguent
comme tait :
IXDlUTtP ntSKHT SUIJOKCnr rKËSEHT UIPÉaATlF
jtprends, etc... (^ui) je prtnm, etc.. prmis, etc..
jtprit, etc.. {que) jt pHtst, etc..
«•agaf prengirfi
(é) prengneuU (£)
prengnft
prengiiéuln
pnB|«ren (é) prengoMain (i)
COHDfnOKNBL
/f prendrai, etc. jeprenirais, etc. ;< prenais, etc.
peniré pradife prêafâ
I. Lw iNiaiiUt it nldre, d'«t«lnMn «i i» preraUn oat iomI
k Inm Talir, ffihalWi prmler.-
■ I,, Google
PTmIm
pnala
PlfiSBirT
(m')prmâMi
tws «rAnr, ereUn -
leur* compote* m coDJi^eni d'aprè* 1
du singulier dt l'indicatif priieiil ett
: la 3* penonnei du pluriel du lul^oncti
'^liires (atralzaB, atrtlxM), toit irré
au sont irréguliert :
(_qaé) )t mérilasst, cic...
manaqnéa
• (')
if imparfait peut aoui m conjuguer i^gn
($, ■■wiaiiili (é), etc...
radical de mUàt m change en t quam
Uetooiqne. .
.■i>, Google
176 LE> VEUn lUËGULIUt
)4 J . ^ Lc> Tcrbu coBtaïc, ceuiHiilrt — puMur, fiaratlrt,
et Iran compote* k coDJt^ent d'iprii le modile laivant 1
■r, tmaaUre
je mintis, etc. (fw) )e cm- je connut, etc. (^qut^je commsu,
naiat, etc. etc..
Hman PAUË : etnugat, conmt
SECONDE SECTIOK — GROUPES
I" GROUPE
)4<.-
keare, dM», nurare, plam,
Imr* ieooir moimrir pkuvoir
INDICATIF PRÉSENT
jtbmi,ac.., jedmi,ttc.,. je mtut, ttc... ilpUul
n,r,„.=-i>, Google
us vnn» iMteuLins
•77
tuajoKcnr ra^EKT
(,«0 ;<»«<»
(,«,)/<««. (»"0 /"«<"«
.ftO ■•'/*" A
etc..
etc..
etc..
:—
Ixiil
KguI
.oui
■■*,'■■' -^
bWiU
ler>l.
m^f
bWil
imtd
•igid
tlH- ,
bqni> _
lei».
wssau
kwiin
«egven
BOsnea
bwl.
<i>g.u
>e|U>
mPËUTIF
.
tew. CIC...
woif, etc..
■.' . ••
bin
nWB
biT»
moTM
je but, cU... /« rfi«, etc.. /« ww, cK... il plut
bagiif '•ffof Bogol
btgnarM (é) dtgnsrw (f ) mogurM <é)
b»aii< itgaé BMtgtrf plogn<
bsgnfram degnirm magnfrui
begnjrm . dagoiran uogtiirtB
bagneriB. (£) lagiiarex (^) nwgnorM (é)
SUBJOXCnF IMPARFAIT
(ifiit) je bnsu, (que) je imst. (jm) ji musse, (j«') fl^/rf/
etc.. etc.. etc..
b«gii4a dagnéi mogoé*
bagoMiii C^) dagiiMaU (é) mognaMU (è)
Iwgvtf* dagaii ' mognét ' ' flogid
bagaiitUB dtgitfMla
Cnrwimrrr nlthm.
17B LES VBUBl nilËGULIBI»
tafntaii dagniHitt vogHtaiD
HrMMia CO '•gtunlB (é) mogunia (é)
nrOICATIF FUTUR
jtMrai,eKt je devrai, ttc. jt monvritt, tK. ît pttuvra
hnit inri mmui
kaarii daarit msiirii
baorà 4niri monri P^**!'^
h — M 4«nT«D monnoi
btoraB dcnrav awiimi
btirla - iltariB Bomia
COXDmOKKEU PHtSEKT
je btinû, etc. ;> devrait, ctc; /^ mouvrais, etc. i7 pitavrail
bMr& drarft BUHiriâ
iMorfM drarfH monrfM
benrfa dtarfa umiria plonrik
iMurba dtnrfMB mmilMa
biarlM ' danrien nonrlra
benrlm taufn nworin
INDICATIF IHPAItFAIT
' jt hivêit, ttc, je devais, etc. je moimtii, ttf~ i! pletnmU
kfria iwrUi morU
bavlM torlM laoTiM
bnli dsrta movla plnfa
bavlMi iavftn MiorlaB
knin 4nfra mnlM
PAtTiaPE PASSft
„, Google
U* TEUES UKtCUUnS
PAmant piÉsiin'
(tu) buuml ((h) dtvmt (tu) mwowf (n) fituvnt
bcnBtfé) 4mM(<) MrMt(«) flmM(<)
j< GROUPE
IHDICATIP PlfSEHT
jt crois, etc.. jtsUds, tu... jtsuuilt»' jt tirt, tK, jtris,tic,
du, etc.
criD HO |M Um rie
oniu MU fsoi tiMU riM
or«a Mn jan . tnv rfn
cnlen HlsB ftsK traitn riia
craira ttim jalan tntav rien
SDBJtMCTlF PUËSEKT
{qui} jt croie, {qut) jt tmt (qui)jttoii{jue)ieltre,(qiie) jt
etc.. , atàs, etc.i ilenda,ttc... etc. rit, etc.
ongnl Mgnl Jogml ' tngni - rifoi
cregoii aagiiia Jesuia tregvU rlgili
oragvl legni Jogml tngni rigal
ortgmen legna» fagnoB InguM riguM
cngmav Mgiiaa J>fl*Mi tragMB rignn
oragnln sesala lagaitt tngalm ti§im
.,.GoCk c .
LES VEliBS IMIÉOUUEIS
UIPËRATIF
<-im, seisélaidii, lire.
rita
ft ru.
INDICATIF PKÈrËRIT
jtcrut, l'tfiuassh, jefiitiltti' jelirai,
etc.. etc.. du, etc. etc.. etc..
cragnf Mgnf |tgiil tragwl rignf
atgurM (é) MgnarM (é) JagiarM (é) tragiwM (é) tignan
ongirf Mga< lagnf tragnj rlgntf
eragsjna Mgnfmi l^galrMi Uagaérin rign^rm
«ragsfrm Ngn^ran Jagn^rta tragnéras rignjren
c»anaraii(<) a*giiartii(j) lagBarHi(é) tragnam(i) rigMraa(t)
(«)
EUBJOSCTIF i
{ilHt)}terHat,{qHi)itfHiu{qiie)jifiuit{qtti) jtO- (<tm)}t ris-
etc.. «nV, etc.. ileitdii.txc. rasse, cK... u, etc.,.
eragnia aaga<a jagnà tragoéa rigirfi
engnaatli(l) BaguaaU(l) tagaaiaii(é) tTagaeatla[t)iigaa«ali(<)
^wgiéa Mgaéa fagaéi traga<i rignii
oragntfaalai Mgviuia jagoétiiiB ingaiMlB rignfaain
eragoiaalB aagniuia fagniufa tngoétain rlgatain
eragMaafai(f) aagnaaaiaW lagaetaiB{4)tngiiaaala(t)Tlga«iali(é)
tHDICATIF FUTUR
// $erai assis, ituraîélea- jt linrai, je rirai,
etc.. etc..
\maxi tninré
janria tranrii
lanrà tnnri
tnwm
lanriii tranriB linriii
}t crmrmi,
etc...
ertnrfâ
cnnriM
cnnrfa
ennriem
omrfm -
je urnis tuât, ftitraitilm- jt lirtrais, jt lirau,
etc. du, etc. etc. etc.
•Mrf* fanrfa tranrla rinrla
MwrfM jaarlM tnnriM rtarfM
■rarfa Jattrfa tnnrfa rinrla
Morfan t*tirfaB
■anrlan fanriam
Hnrin taarfaB
tnurfiv
traarfn
riarfra
itcroyaâ, . j'ilait assit, jt gisais, jtli
etc.
crala
cniai
onla
orèlin
crlian
eralan
oregnt
]aU traia
Jèlam IrèiaB .
jUin trèian
Jalan train
PAinCIPB FASSE
Heiidu
tagal mt(0 ''9"'
rARTiaPE ntSEKT
(eit) croyant (m) sétat (tn) gisant (m) liranl (<n) riêHl
eralant (é) laiait (é) talani (é) tralail (é) riant (^)
REHARatiB. Ain*i qu'oa l'a va, la voyelle • du radical de
fanra et de Vnmn le change en a quand elle o'ett pai voyel le
tonique, . •
iBl
S* GROUPE
Ï4«.-
elOBi», clort
IKDlUTlr «DIJOHCnF
ft ikt, (f w) je cUu,
IHPtKATir
ths, etc...
tKOtCATIF SUBJONCTIF
PRtTttlT IHFARFAIT
fê/ermëi, (^jut^jt/triiuf-
etc... u, etc.,
(<} Ol«gMMds(é)
(0
(*)
oosre, entre
4DICATIF SUBJONCTIF
PifiSEHT PRËSEMT
fe tais, (f u«) // tuîa,
etc.,, etc..
eoffila
IHFËIATIF
fuù, etc..
INDICATIF SUBJONCTIF
FRËTËRIT IKFARFAn-
je eililis, (que) je euiài-
etc. le, etc..
Gogat eogaf*
e«gMrBf(é) ooattMtU(é)
cogufrHi ugiéBilB
MgaifM Mgvtfubi
„,Gi)t)^lc
us vnns
MÉouuns
18}
\j
IMDICA1
ir , CCMOmOHNEL
. IMMCATIP
COHOmOKHCL
PWTU«
rtfiSBHT
PUTW»
pitsnrr
-
ji chrm,
Etc. fe durais, eK.
/< ««>«i, rtC
/.«.■«£,, etc.
cloartf
«Inris
eMr<
coDria
«lonrii
ClOttrfM
cnrU
«OUfM
eloori
elonrfa
COori
eonriâ
«lonrm
coana
COUbB
Glonran
clenrfmi
MUIB*
MWira .
«iMuia
«iMllM
OMuia
wwfra
**
IHUCiTlP PAlTiaPE
IKDICATIF
PAinOPB
IMrARF
■ T PASSÉ
mpAtPAIT
PASSt
ieftrmaU
CM. cla
;« aiisMÙ. ctc
mf
clofa
CIM
Mb
Mit
elofM
UfM
Glola
rABTICIPI
Mil
PARTICIPE
clofim '
FiÉsm
cof«
pKisnrr
eblN
(««)/«r««»/
coira
(,.)„to<
clofn
dotntCé)
eolm
.~iW
rGR
OWE
î«--
eaim
.pUm Trait
Herim
.tan
lombtr
plain voir
IMDiaTIF
écHrt
vivrt
ielemhtietc.jephiU, etc. jt iww.
etc. y'ib-ù, ne. ^ mi. etc.
caio
pue «if
MGliO
Tin
MU
pl«u Ttni
MOTiU
riu
eu
ptra Tra
MOria
p i.Gi
oi;
184 UB VBRKS IimtCULIEIS
<■!»■ pliTMS . TeisB McriTla riwim
Mira plans tsIm McrlTia vlTiu
eaus pUnn vaun aierinM TioM
lUIpNCTlF PRËIEHT
{qut)}ttonh{qiu)}epUil-(iftu)jtveu,{^iu)j'itrivt,(qui)jtvivf,
he, etc... Sf, etc.. uc... etc.. eu...
«aigai plagni . vigf aicrlBni Tiiqal
eaigila plagol* TAgii MCrionia viiipiia
caignl plagai. vegi Mcrigni riiqoi '
calgnem plagum rtgan aterignau vUqtwm.
«•IgMK plagasK Tsgan atcrigaaa viaqneu
calgnlB plagalB ragln aterignid Tiaqnia
lomit, etc. p/flù, etc.. vùis, etc.'. /ir», etc.. vU, etc..
eau plan tn woiiR vin
«tiaM plarra Ttian atcrtvia vivis
INDICATIF PRfcrËRIT
/« iSmbtti, iipttti, je vis, j'/crivls, jt viens,
etc. etc.. etc.. etc.. etc..
aaignf plagnf ragf Mcrignf Tiaqol
ealga««a(4)plagB«m(é)TegérM(é}aiorigaar«t(é)Tii([BarM(4>
calgni plagntf ragtf aaorlgaj •nwfjat
BalgnfcaBi plagntfnai Tagjram aioriguiraiii TiiqnéreB
calfBJraM plagnérat Tat^ran aiorigs<rati Tiagoiriu
caifMrm (Oplagoana ^é) Tagarra(f) aaorioaaru it) viaqnarra \i)
t. L'««d«nM foiBM Tliea t'«it w wrW» Un l«i «tlimitiaiii t TiaCK
CtUlnml nn II Cfidrfw/ tu...
■ I,, Google
i8;
SUIJOXCTIF IHPUFAIT
(qiu)itloni-(qu4)itplia-(qiu)jevis- C^i«) ;"&n'- (f") /< i"'*.
Imiu, etc. », etc. m*, etc. viiu, etc. <»««, etc.
ealgtiéi ylagnfc Ttg4* - Mcrignii. YUqii<s
MigntHb (t) f bgnMili(é}ngaMli(4 MorigfnMaU (é)TltqnMila(l)
uigM* - >lagii4i Ttgéi Morignfa vlMpiii
ealgiéula flagirfuln vtgiwin MOrignéfiiB ftaqirfMla
utgirfwia yltgnfuta Ttg<ul« werionlula TUqn^ula
MigaM- flagoM» TSfM- MOrignat- . TtofOM- .
■lB(é)' ■!>(«) ■la<i) ■!■(£) liaCé)
IHDICATIF FUTUI
/« hmbtrm
;. finir,,
ji verni,
j'écrirai.
;. viwn
etc..
c(c...
«c...
etc...
etc..
uvé
|lnT<
Tnr<
■«ri>T<
Uni
etnria
(Uni.
Tlllll
•Mlinrili
tinii
uorl
pUiiri
T.urJ
MOimi
tlnl
eannm
,b.rni
vnrim
«iur»»
einrtii
pUitH
mma
Merinrta
.inm
unris ylanrin miin Morlurim Tiiria
COHDtTtOMSeL PtASENT
jiteiiihnUtje plairais, jt urraîs, j'itriraïf, ji vivrais,
etc.. «te... etc.. etc.. etc..
Miirft pbarfa Tinrfo Moiiarfo Yitwfa
MnrfM pUarfM • Tsnrfw WGrinrfM .viatfw
eanrla ftanrfi -Tmrtt M<>rittrla vlarfa ~
Marfm pUnrfam rmirfun Ncriaibn vlariéB
MMrim plaurfm ▼«rln MoriDifw Tlnrin
uirta plairf«n nwrfn ««riirin vlarte
.,,&
LU VKUBS lUÉOUUBU
INDICATIF IHPARMIT
j* lûmhàt, j* plaims, je voyét, j'ierivms.
-eU..,
ctct..
etc..
TiTta
Morlrfa
Morivlu TlTiu
MOrirfa tItU
MOriTiam Tivfam
worlvin vivfM
IMlfl fUrfa
qMl> >UTfa .
«■èlMi pUTitm
fMlM fUvJni
FAITICIPB rAUfc
tmtM plu vu écrit vécu
Migat • VUfBt Tilt Morit TiHKt
FAITICIPB PitSEHT
(fii)l«mhattt(in)plamnl {tit) voyant (ta) itrlvant («n) tàvunt
Mlnt(i) pU«Bt(é) TviMitCé) MoriTlBt vifliit
' Toui let Tctbei tenninéi par aoriart te conjuguent comme
niDiCATir
rttUDtT
IVBiONCnP
PIttSINT
^xir, sortir
IMDICATIF SUBJOMCnP
rKËlENT PBËSEHT
(^ue) je torle.
eu...
iaooulM
U
etc..,
uixl
iaqola Izia
lafiii U
D,g,t,7=^-I>, Google
ut VERBES IBlteUUERS
etpt . nps
SUBJONCTIF PRÉSENT
(qat)ltpuit-(quejjevtHii-(^uè)}tintH-(qiit}jtlUn-(que) jt »
st, etc.. le. etc.. m, etc. nt. etc. ebe. cic
pagai Tolgvl Tlngvi cipiga «ipiga
fvgals vnlgBla TlngnU clpigiiw BipiguM
pagai , valgal rlngai cipigi làpiga
pogaaiH Tolgnea Tlngam sapigasB upitrum
pogini TOlgnm vingan etplgara upignsn
pagala valgala Tingaia clpigiua BàplgiMii
wtm, etc. titm, cta. uuhi, etc..
TiM eap aiplgaM
rmia MbM BaplgÛM
■NtHOtTIF PBËTËHIT
it^HS, ji wuliu, jtvins, jtlitts, jtstu,
etc. ' etc. CIC. etc. etc.
pogal Tslgaf Tingaf eaplgvf lapigal
pogaa- TBlgns- TtBgaa- uplgns- upigtu-
tm(t) . rM(é) ru(0 »>(0 m (£}
pôgB< nlgoé Tlagn4 otpltpié upigaj
.■i>, Google
D,g,t,7=^-I>, Google
190 LIS VEUES [ItfiGULIEIS
coNDrnoNNCL ntswn
ft pourrmi, je voudrais, je viendrais, je tiendrais, je saurais,
etc... etc. etc.. etc.. etc..
podria TOldri* viadrfa cabrfa Hl>Tia
pe4rfM ToldriM vindrfM ubrfM ubriM
podria TCldria Tlndria Mbrfa ubriB
p*iriMi TCldrfam Tindrfen eabrlam Mbrfem
ptiilM TOldrfm Tindifen cabriw laliriaii
foéllM Taldrfm Tindrian cabriia ubrfn
PÀlTICIPE PASSA
pu vùuhi viHu leiiu m
pegnt nlgat Tlngnt eaptgM ' npifit *
7» GROUPE
îja.—
uar, aller far (i),/airt dfr, dire dnr, porter
INDICATIF ratSEHT -
jevaa, eict. jefais, etc.. je^, etc.. jtporle, etc.,
nig Iti| dio dtM
On Jh ■■■>! Ottal.
On ti% nta sttat.
n,(, 1,7-1;, Google
•UIJOHCTIF ntSCNT
etc.. eu... cK... etc..
vagi lad
nglt iMl
ngi lad
digvli dngnl*
ragbi bdm AigolB dvgala
IMPtiATIF
M, etc.. f*is, etc.. ^, cK... /wh, ei
IKDlCATir PK^ÉRIT
jtfis,txc.., jtâis,tK... jt porlai, tK..t
m (€) dngneru (i)
• (é) iijai iatué
(0
lOBJOMCnr IHPABPAIT
dlga<> ' dngndi
dignuiii (é) daguMiii (i)
dlgnii dmgudi
,,Coo>;F'
u
dlg«M.ta(é)
d«aiuuta(é)
KMCATIF FUTUR
fimi, etc..
jeftrai
etc...
je portera, ste.
mbi
Ut*
iart
amiiii •
tarit
dKfli
■Biri
tari
dari
ulnm
farm
dnr«m '
aninn
farm
dnrsn
âilràs
tarin
darin
COMDITJOKKEL mÉÏBMT ■
f irais, eic.
jefirah
etc..
jt porltmii, etc.
uirft
tarta
dnrta •
aairfM
tarfM
dorlM
•lUrfa
tarta
duta
UlrfMR
.brtaa
uirfra
tartan
dttrfAB
uMm
tarfu
IK
WCATIF WPAIIFAIT
dorl»
•
jefaiHlii
.ttc.jtâiiais.txe..
je perlait, ttc.
fata
d«U
dnta
biM
lislM
dnlM
tata
«•ta
dota
fitam
Ulsm
ddltio
Htan
dii»
dii*B
■•••'
taiM
astan
ABTiaPB PASSÉ
daian
fait
fcii :
IrtC*)
do»
I,, Google
MITtaPB PRËSfStT
(«1^ disant (tii) parlant
it(é) - Amntif)
On ■ vu an $ 194 que l'indicatif prétérit compoaé de tout
Ici vcrbci catalans ic fomuit eu faisant précéder l'infioiiit
prêtent de certainci pcrtonnei dérivéu de uui; let fonnct
nnlf, WM, Ttm on nnm, nm ou nrta et mtt ne lont
usitée* que dani la formation dn temps en question.
PARTICIPES PASSÉS IRRËGULIERS
)}}• — On a déjl vu que les verbe* htm, Unir, Mr (é),
un certain nombre de verbes appartenant aux clataet et tout
' les verbe* appartenant aux groupes (1 l'exception de atadr,
irtidpe poûé irr^lier. Tous ce* ver-
» dont k participe pa*té ett le seul
cnt être divi*ù* de la manière soivantc. '
terminés par iiur ou Uzar (4* claïae)
passé en ajoutant nt an radical de leur
de* verbes auivanu et de lenrt com-
iKDiCATiF ramare
pRËTËRrr passt
n,r,„.=-i>, Google
Ll» VUHa
IHËGULinS
oaUa, Inir
uplgid
cipigiit
nnra, Imter
ulgid
olgit
a4mr, amrir
onqid
«imgil
OMn, f/Wir
cregd
tnjnl
<«n, Jnmr
liml
dwt
l«r..{4ir
lagal
lUDt
MOin, («WHi-nV
n««l
•Wl
pu»., f tore
pumi
pugit
Hmr«,/./™mr
plogui
plognt
,.to.f.».™>
pojnl
posnt
riur», rire
rigtil
rigit
Hkar, wt-piV
»pig«i
uplgut
Mon, miir
iq.1
MgU
TMiT, iVHir
«iniid
Tliigit
TlW», TOTf
Avil
Tlunt
▼oUr, ivh/wV
..>lg.l
nlr»
})>. — Les verbes tennlncs par oMra ()° classe) fomieiit
leur participe pauû en changeant oUUn en oit. Ex. : abael-
An, abmiére — abitlt
ExceFnoK. Le participe pass^ de teUra, Mre mal, est
Mgit.
)j(. —«Les verbes terminas par «Ura (j* cbsK) et par
atn(l" classe) forment leur participe paisé en changeant
nlra ou «Ira en et.
Ex. ; aptnArt, apprendre — aprèi
raBwtrt, remelire — ranèa
ExcEFTioK. Le participe passé de vandra, vendre, est Tinnl.
)Î7. — Le* verbes terminés par at» ou ampra, Ici verbes
nfera, rR'«wi>etp«rdn,yvrdr«(t'< classe), forment leur par-
ticipe paiié en chanjceant ra en at.
Ex. : rafera, recevoir — rdit
batra, itilirt — katat
i>, "Google
LU vnnt iRticiiUEU
IM
napn, romprt — napat
ptrir*, ptrdrt — ftimt
)jB, — Le participe piué dct wrhn «uîvanti et de Icun
compotes est lenninic par git ;
CâMft,/fl/Wr-Câï|«t
Hiayw. /•/-(•«/« -»U»|rt
MinJairenul — inJft
«irCé),f/r<-rint
taw.ffiwV-hant
Ml«, «wV «n/KflM— Mlgat
pwtàajm, apparltuir — fta-
tMfr, tnvir ~ ItefHt
Uagat
Tildre ', tvhir — nlgtt
parUnrer et rlàRrn ODt auii
1 un participe pauO régulier t
pwUBjBt, pUnrBt.
)S9. — Le participe pa»»i
es vérins suivants et de leori
conipo»iï wi terminù pjr art
eebrir, timvrir — eobert
•torir.r/nV-otirt
ciinpllr, ofWM/'Kr — c»-
napllr, ra„plir - onpint
plart
idrir, miffrir — aetort
MUblir, //«Mir — MUbltrt
npllr, siipt^ttr — nplnt
obrir, ouvrir — obwt
jfai.— le participe pasié
ei vvtbe* suivants et de leurs
compoifi ne rentre dans aucu
«pweikir, pripartr - »fr-
«pinrar, [wisier — «apta
Uknt
Mcrinre, Arire — MOiit
donre, ehre — elM
MUjByar, urrer — ntnt
coDcebir, coiieewir — eonce-
ht(é),fairf-Ut
bDt
baOn. foudre ~ in
(■prinar, im^mtr — ii^cèi
COMUtt
■Orir, mourir — man
cenn, cuire — enit .
fntn./vstr — vost
dtir, Iwler — dut
Umin, tmdrt — tM
. L-infiniiirdc nldr*, d'eqniraldr* «i
»TCler, «(toiTalar, preTaler.
r.(,t,7=-i>,Got)gl
•iMUenn }47 b«nr« 146
Mfen ifï
eaUre ]4i
196 LES VERHS IMfiGULin*
Itrea:, fitnfr-; — tort 1 vran, iwir — tUI
tmn, firtr — trrt |
Le participe passé des vcrbci lerminis par scrtire csi »
mini par mtU. Ex. : ÉMorivn, iicrirt — dMcrIt.
'E DES VEXBLS IRIIËGULIBU '.
M placés cil regiTi] de chaque verbe sont ceux
M du ptL-sent ABRtoÊ ns cmmuaire indiquant
•Ttiirjji ooBCirrtr )fo
batr» }40 cofflèixar )4}
eonfondra ]4l
uniantir )4i
conatrèiirar ]6o
consamir 141
Mntwiir }o8
coatradir jja
eoDtralar ) J2
coatraara 347
coBvaniT }5i
tAmt 3 jo
comapoBdra ^42
eomBpra 340
coiir 34 1
cours 348
erAzor 344
cranro 347
cnizir 341
enlUr 341 *
cupUr ÏÎ9
circuBieritira 349
clonra 348
eombatro 340
340
■ Î46
oomparèUsr 34;
conptodra 343
oonplaura 349
H»
___ )4o
OMCoblr 360
«348
I, Cdw llttp ■( «oiBfttni qnc la nrbci Irrigattan lu pin* BMd*.
ogie
LB VHRIO UlÉeUUKM
dflbatra }40
dMian 149
dtcrélsar H4
_., rt )4)
dMapariijur )4f
dsMpmidr* }4)
il*MUii4n 341
4eMvenir jji
dtKlonn ]48
dMCobrir 359
dMcoMpendra 342
dueonèixer ^4;
dMcotlr 341
. dMcrinn 349
4Milir 3 s 1
dAMixIr 330
■ dnsnUnd» 341
dtifar 3;i
daiBonUr 341
dMmsrèlMT 344
dMpandra 343
dupUnrs 349
dMtdrcer 360
deUalr 30S
dinr» 34^
dir 3 sa
diicdnvr 330
diMldn 341 .
dUtreora 347
doidra 34 a
domlr 341
' «iilr 330
•mpandra 343
•npisTar 360
• )4a .
«348
_■• 341
•ntraUnir 308
•qnlnldrt 341
•qniTaltr 34a
wcann 349
Morlnn 349
•WHillir 341
Monpir 341
•raranrir-H 341
3Î2
•ttrisyar 360
•wloiira 348 :.
« 342 .
•Ï47
IW3S1
fondra 34a
Ingir 341
gnajrir 341
havar 308
Udanra 348
_ ^ Î40
Inlarraair 331
janra 347
■ 340
r 30S
■aBilr34i
woldra 34)
morir 341
■aura 346
vBBjlr 341
BJixar 344
abrlr 341
«bUnir 308
ocimr 330
afawlra 34a
ofarii 339
' amatra 340
OBpllr )4i
P«*M' 34Ï
pandra 343
pndra 340
• pannatra 340
p^rUnrar 338
fIiB7»3J»
pUnn 349
ploora 346
podar3Si
l.tS VKRBES IRRecUUERS
rrfonAr« y\i
nmttn }40
rtaoldn )4a
1 346
nolovri }48
Ï44
npendre 34]
ratoldr* 343
rMp«Bdra 342
' ruamir 341
raunir 308
nt^nvc 3to
retrvan 347
nmdra 341
rennlr-H jfi
rertori 349
nrfsn 349
rinr» 347
ronpr» 340
UlMT 3SI
HtUfar 3J3
Mntlr 341
MF fii
■obrtbdr 330
Mbmtwdra 34)
■olrir 3 J9
■olar 342
lamtXn 340
■ODiolir. 346
•oariora 347
■i>rp«ndr« 34)
■ortir 341
loiUnfr 308
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' Î49
'34J
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Unir 30S
tondra 342
ttocar 360
touir 34I
trauerinrt 349
tnnunetr* 340
tnnra 347'
▼aMr» 342
■nUt 343
Tsndn 343
Tuirjji
■• H»
Mknvinrt 349 Tolar 331
-i>, Google
CHAPITRE XIII
LES ADVERBES
I. ADVERBES DÉRIVÉS D'ADJECTIFS .
jéi. — On peut former de* advcrbd en ajoutant ■Ht(i)
au fihnînin de la plupart de* adjectifs.
. Ex. : aUarutln, âUenialht — alUTBaUnwMit (0), «/-
Urnaliwmeut
(é), txâcltmtnl
(i), faeileiutHl
(^), beurtuumiul
(i), îiuasam-
.atO.faeiU-
ftliç, beiireiiu -
incMianl, wasuiih -
HItllI
noble, iicble —
plma, pltiiH -
regaUr, rigalière —
ÎMTia, umnle — uvlaMat (é), mwmwwm/
nUctoat (i), sttffisaaU — nUeluibMat (1% sufi-
sammtttt
TiolnU, vuUhU — TiolmUmaat (éj, viahmmttit-
jé). — Quand deux ou plutienn adverbe* terminé* par
Hut (i") le auivent, on peut retrancher cette termiuaiion
;! ne la conicTver qu'au dernier.
(£), HobUmtiit
(i), pUintmenl
(^)t r^Iiirtmtnt
(i)o
LES ADVnBBS
— Vmi avti parti franthtmtttt tl savam-
PItUt
TnbalU tant lipMa a«H BMrUdBsnt (û) — Il
travailU avtc aiilaitt de rapîdiU que de siiecii
]é4. — De mËmc qu'en français, certains adjectifs peu-
vent £trc emplo}-és adrcrbialement au masculin singulier.
Tell sont :
■U, batil, hatiîtmtiit tni, froid, froidniiriil
baix, bat nUlcr (à), meiUtiir, mieux
elor, clair, claireuienl pitjor (A), pire, pis
un, fort, forlemeHl etc.. etc..
La plupart de ces adjectifs peuvent recevoir U désinence
Mat (6) : alUKMt (é), claranrat (i), etc.. MUlor (à) et
fl^or (fi) ne reçoivent jamais cette désinence.
j^j. — D'autres adjectifs sont employés adt-erbialement
an OMiculin singulier, mais ne reçoivent jamais la désinence
KMit (ë). Tell sont banU, bmi martbf; car (r), tber, etc.
]66, — Tous les adjectifs 'ne forment pas des adverbes
terminé! par ment (é); on évite ]i;énùTalement de former des
mots dissonant* ou trop longs.
COMPARATIF DlîS ADVERBES
. iéj, — Les comparatifs des adverbes (égalité, supério-
rité, infifrlorité) te forment de la même manière que ceux
des adjectifi, (^ laj i tij.)
SUPERLATir DES ADVERBES
Sl'PERLATIF tP.LATIF
)(i8. — Les luperlatifs relatifs dei adverbes (supériorité.
■ i>,Gooylc ■
ioRriorité) m fonncnl de b mtmt nuaUfC que ceui d«
adjectif*. (^ ia6 et l)?.)
SUmUTlf ABSOLU
169. — Le luperbtif abtola do adveibct peut m rendre
de deus nuniérct :
I" En faÏMiit prêcher l'adveri» de boU (6), Ms,
Meu, fui. C'en le luperiatîr que l'on emploie le plus tti-
qucmnwnt.
Ex. : Ilpm-141 Irb ihqummtiil — Ta parlar Bolt (A) •!•-
qUBtant (é)
3* Eo ijoutint aMt (£) au second inperhiif de l'ad-
ieciif:
u, Irh hêul4 — aUfMUaaanl (é), Iris bêu-
170. ~r- Les adverbes français de quantité beaucoup it, ptu
Ht, Inp it, eiset it. tomUea de. aiilmil it se traduisent par
des adjectifs catalans qoi s'accordent avec le substantif auquel
ils se rapportent. Le ib ne se traduitpas. (Voir J 184.)
171. — Les mtmes adverbes français, non suivis de it,
se traduisent en catalan par le masculin, toujours invariable.
Ex. : Th as htauentf dormi — Haa dwil mcSt (A)
J'ai Ir^ Mengi — Ho Msi^at Baua
II. REMARQUES SUR QUELQUES ADVERBES
Plus et Moins
J73. — ...it pjus, ...de mcim se traduisent soit par ...■!•,
I, soit par ..
r.Gtfec; c
Ek. : Jimi a UN eîmal i* plus — Kb Jmb té «■ earall méi,
ou ; da mil.
"Tm as vingt eus Ht moins que moi — Tau viat «071
Mniu ^» jo
)7). — plus dt..., moins lU... inivia it'un lubtuotif ou
d'un adjectif le traduiient par ■<■..., ■•aôi...
Ex. : Jt son maiultiiaiit avec plus de plaisir — Ara nrla
Il peu! parler avre moins de difficulté — toK fxUv »m
MBU diilcallat.
J74. —plus de..., moins de... suivis d'un nom de oombre
M tradnitent par mit de..., menoi de...
, Es. : Je eoiiaals dans celle ville plus de dix personnes, mais
moins de vingt — Conee es «qneiU dnUt kndt de
4è« fvnovM, perb manoi de Tint
)7}. —plus de...qnt de...,moiHtde...!juede...sui\\i d'un
tnlutantif ou d'un adjectif se traduisent par née... qoa...,
Ex. : Jlya plus de Francis que d'Anglais à Barcelone —
■i ka met traBceioi qu lagleaoa a Borcaloiu
, Il y a dans telle fabrique moius d'ouvriers que d'ou-
milres — Ba aqueeta fikriea U ka mauM obrer*
(é) fu ebreraa (é) '
)7é. — le plus de... que, le moins de... que, suivis d'un tubs-
taniîf OU d'un adjectif, se traduisent par qsentméa..., quant
■i«ei..., et l'adjectif qnant s'accorde avec le substantif.
Ex. : Aie le plus de patience que lu pourras — TiB|[ua quanta
Méa paeiancia pngâla
Ayei le moitis d'ennemis que vous pourrez — Tanin
qnuita Banea eneaica yngnan
)77. ~ Upliii Cet un adverbe) que, le moins (et un adver-
be) qm, ae tndaiscnl par la ■4a... qna, M naBoa... qna.
IJiS ADVKIIBES 30}
Et. ; TravallUi h ptiii iuUHigemmenl qtu vous pcnrrt^ —
TribalU lo nrfi iBtaUlgoBtmrai (é) fM pngnl
Il a marché h mains vile qu'il apu — Ba eudaat l«
mnM dopTMu qu ha pognt
}78. — U plus que, le wiuni que, auivis d'un verbe, m tra-
duisent par lo mé» qn>, lo manH qni. Si le verbe français cit
au lubjonctif, il se met en catalan au temps correspondant
de l'indicatif.
Ex. : C'est le plus qu'il ail /ù/f — Sa lo ■<■ qu ka Itt
C'est le mûins qu'il fasse — Êa lo MOMa fna la
K le verbe français est à l'indicatif fiiiur, il te met en
catalan au subjonciif présent.
Ex. : Travaille le plus que lu pourras — TrabalU U «éa
qupngol*
)79. — Lorsque U plus tie, le uuius de tout suivis en fran- .
fais d'un substantif et de l'adjectif /«unM*, on les traduit paroi
Béa, ol maUM, et l'article di-lini s'accorde avec le substantif;
l'adjectif ^iiMi^/^ invariable en français, s'accorde en catalan.
Ex . : Crf ilive a fait- le moins de fautes possibU — Aquot
loixaUo ba lat !•• aonoa taltoa poaiaiaa
jRo. — // plus, le moitti, suivis d'un advcrlM et de l'ad-
jectif ^uiib se traduisent soit par la mé» (et l'adverbe) poa-
aiUo, lo Bonoo (et l'adverbe) poaiiUo, soit par lo aéa on te
■oaoo... qaa algni poMfUa.
Ex. : Vetiei le plus vile passible ~ Vlagnl lo mé» dopraoïa
poaalUo.'ou : ViBflni lo Mis doproiat qu U 8i|Hl
poaxiUa
}Si, — Plus... plus... se traduit par oi
Mmiis... moins... se traduit patcammm
lit paroi
Mniii... plus... se traduit par corn UMoa... nua...
Ëi. I Plus je travaille, plus je gague — Corn mh tralMlto
M4 LES ADVeiBKS
Dam le* ciprcuioi» citfn cî-desius, lorsque plut ou luciiis
•ont luivis d'un verbe (gvnéralcmcni le verbe élri) et d'un
■djectif, l'adjectif doit, en auhn, sui\Tc immédiatcmciu
mé» ou B^we; puit viennent le verbe et le lujct.
Ex. : Plat il esl riche, moiiisjl eti bturetix — Coa nU rio
<•, Hanoi fiUç et
Plut j'iluâie la imliirr, plus l'bainmt mt lemblt pflîl
— Cou até» eituAfe la natura, afa petit me ara-
blallwae
Plut une niaisen itl ptlilt, mwit file mt pMl — CoB
M<a petiu éê ua eaaa, nuaoa v'agraila
Taiil et Aulanl
)8a. — Twat est parfois adjectif et s'accorde, ainsi qu'on
l'a vu (5$ 184 à aSt), parfois advcrb:, et est invariable.
)8}. — Tant que te traduit par tint Mm.
Ex. :Jt me pnmine'ItuH jur je peux — £■ paaaets tant
e«pM
184. — Tant... que K traduit par tant (in^'a^iable)... o«h.
Ee. : Lit toUah, lanl ealalam qii'aragmiaii, furent courageux
• — lia artdata, tant eatala» «na arafOMiM, Taa
•ar (£) Talnta (é)
■ ]8}. — 7*aH/ j/... fnc se traduit partant(qui l'accorde)...
fM.
Ex. ! /f A reçu laiit de bitsinret qu'il esl nurl — Ha raknt
tantaa larUaa qna ha nort
]8<. — TiiHl mieux te trad uit par millor (A) qne millar (A);
lëHl ^s ae traduit par pt^r (6) qne plMor (A).
187. — AiibiHl qui ac traduit toit par tait qu, toit par
'n,.,-i,7-i>,Gougle
LEt AUVE>»!S 30J
Ex. : /( travailU autant qut j* peux — Tnkallo tut qs*
fis, ou trat BOB yoe
)8S. — Ànlaiit it... (et un lubuaalif) qtu %và"\ d'un lub-
lumif, il'un pronom ou d'un verbe le traduit par taM (qui
t'accorde)... et».
Hx. : Ils mit autant de maîuiis qut mut — Tmm taatM
cauf eon noaaltna
Paul n'a pas autant dt cbtvaux qut lu le dis — En Ia>
no té tanta eavalla ooh In dln*
189. — Autant... autant... tuiv» tout deux d'un veibe
(généralement le \'erbc Hit') et d'un adjectif, attribut de ce
verbe, K traduitcnt par tant... coaa..., et l'adjectif doit suivre
immédiatement tant et oaa.
Ex. : Autant Pîtrrt est travailltiir, autant Paul est paretttux
' — Tant traballador (6) 4i en Fan coA paraaéa la
an ttm
i$o, — ij'a»/ait/^lu;(ct unadjeciiQfuc... //iu(et unid-
jcctiO M traduit par tant Mtfa... «■ liée.
d'autant uicm(tl un adjcctiQ ;»«... moins Çtt unadfCctiO
M traduit par tant aMoca... con masM.
d'autant plus (et un adjeaif) juir... moins (et ua adjectif)
se traduit par tant vit... con mansa.
d'aillant moins (et un adjectif) qat... plus (et un adjectiO
se traduit par tant manoa... e«m mi».
Dans ces diycraes locutions adverbiales, tant est toujours
invariable, et le sccbnd verbe qui, en ''rançai*, est placé
entre que et pins ou entre qne et moins se trouve, en caùlan,
rejeté i la fin de la phrase, après l'adjectif qui suit le dernier
nia ou MMioa.
Ex. ! Jtau est d'antant pins beurenx qu'il tsi plus riche —
Kb loaa éa tant mfa faliç eeni mia rie éa
' Ctltt marcbanéist est d'autant plus mauvaise qu'tUettt
- AftwtU narcadwfa t» Unt méi i
pliii vuille -
lanta con nrti TiUa H
.J91. — d'avlitiil pliii ée (et un substantif) 91W... plus 1
un adjectif) se traduit par tant met... um met. et tant s'
corde avec te substantif. Les locutions adverbiales timilaii
M tradniseat J'une manière analog^uc.
El. : Mou pire a d'aillant plus H'amI'ilim qu'il al me
riche — El mm (£} para U tanU néa anbli
OMB Banei rio <■
193. — faiilaiil plut ic (ut un substantif)..', qut... plus
(et un «ubstantif), >e traduit soit par tant mb... qnaiit m
loit par tant mi»... mm mit; lis mots tant et quant s'acci
dent avec leurs substantifs réciproques. ï^a locutions adv<
bialci limibircs se traduisent d'une maniùre analogue.
Ex. : Ce ilieiisienr a i'milaiil moiiii d'emitmis qu'il a plus
forluiit — AquMt Hnyor (o) ti lanta mmot m
mis» qoanU ni<« (ou : cam méa) fortnaa ta
Aussi et Si
)9). — Aussi... jHt se traduit par tant... cm (voir § 12'
Es . f Ce vieillard al aussi aimé q iir respeelé — Aqneat wM (
tt Uit astlMit e»v raipMlat
// est aussi heureux qu'il le iil — Ëa tant feti; um i
Il est aussi jeune qu'il tsi ferl — £■ tant jere con l(
)94. — il (et un adjectiO f' *c trad'uit par tant... qna.
Eï. : U est si brave qu'il n'a pas smi pareil — tt tant »
tant (é) qna no U ifnal
Mieux
)9f . — Mieux oppoai i pis se traduit généralement f
.■i>,Gobgk-
, LU AOVEEin 307
Ex. ; Jt vtux un treymi mieux taUU — Tai ■■ Uifiç met
bwtaUai
/mm ftf mieux élevi que Patii — Sa Joas <• vfa ha
oriat foa m Fan, ou : ^u ao pu an Paa
jjé. — Mieux sigaifiant plut, imanlage, K traduit pir met
lix. ; fitime mieux la bière que te viu — iraaUBe mia la
oarraaa qaa'l Ti, ou : qna m faa al vt
}97. — Falair inieux dam le «cm de avoir pins ilt valeur te
Jraduît par raUra mia.
Ex. : Ma monlre vaut mieux que la lieuut — El awa (é) rallat-
.|aTala<aqBaltoa(é), ou : qna no paa al taa (<.)
rn/nV mitnx dans le lens de Ure prifirablc ta iraduil uniôt
far aar (é) BlUar (6), taatôi par valdra mU.
Ex., s II vaul mieux st laire — Tal mit oallar ou ta ■!-
llor (ô) oallar
)9S. — Mieux iQdi<)uant l'^t de tutti te traduit toit par
Billar (ô), wit par aiéa ké.
V,t.i.Le malade va inieux aujmr^ bui qu'hier — D Halalt
Ta adllw (A), ou Ta via W tTai faa aUr, ou qaa
ao paa akir
Oà ■
}99, — ^ «A se traduit par m devant une contonnc ou 1 la
nn d'nnc phrase, par ont devant une Tojrelle. «a et eat peu-
vent Cire prùccd£s des prépositions a, 4', par, para On iatt
en un seul mot aoa, aoat.
Ex. : Ou va T.? ou Aoa Ta T,l — Où allei-vouif
Ont M — Où fil-ilf
B'on TftuT — Z)*cà meus^u?
Par on puuuwt — Par oit paofrout'ueutt
L'orthographe ' la plus asuclle 6crit boa, koat, ahoa,
aheat, etc.
t o . k
4O0. — SmtVtHl K traduit soit par Mviat, soit par Ut
«tlat, Mit par Msitu ngadM.
Trit fcuvtHl K traduit par aolt avrint, loil par molUialsM
Ltpbu smvtHl K traduit par lo ■<■ Mriit.
Taillai
40t. — Taul^ ou /dm/ a t'biHrt indiquant un tempa païav
(c traduiacnt soit par fa poe, soit par ns ta gain.
Es. : Nous l'avons vu tanlil — L'haran viat la poe, ou :
L'hann Ti*t m ta galra
TmlM ou Imit à l'heure indi<iuant un temps futur se traduit
•oit par ara, soit par an mMx; ces expressions se placent
ordinairement avant le verbe.
El. : Il rtvUiidra loul à. l'heure — Ara vindri, ou : lia
BataixTtndri
403. — Taillai... laiilâl se traduit soit par an... ara, soit
par ja... \à, soit encore par fMi... qnan, ou par tant avUt...
laataviaL
Ex. : faiilôtUécnl,taiilitHparU~àn.WÊmiw,vnfÊiU,
ou : Ja taetta, ta paria
Qiu
40). — Que. comme, combien employé* exclamaiivcmcnl
te traduisent par qaa, qui doit Cire immédiatement suivi d'un
adjectif ou d'un' adverbe.
tx.:Qfuh mer etl Miel — Qm balla (é) da la Mari
Comme OMS ummet loig Je la ville I — Qw Uor aoM
Iakatatatt
n,„i,7-i>, Google
ut ADTiun 109
404. — Qut it, duu le »eni de amUtn ii, te tradait per
faut, qui t'accorde avec le tubttantif. (Voir % aS4.)
Ex. ; Qut di maùmii — Qmaatea Mawl
Qut it eoNfianetl — QwmU ooaBaaçal
Quelque
40J ^ Quelque pi^cidant un nom de nombre et lîgni-
Itaat tttvirm, à ptu pris, te rend friqaenmeni an moyen d'an
changemeot de tempt dn verbe qui procédé.
L'indicatif prêtent françiit te traduit par l'indicatif futur
catalan; l'indicatif impar&it (rancait te tradait par le condi-
tionnel prêtent catalan.
Ex. : Uya qutlqut ctnt tint — Farl ont (é) anya
// y avait quiJqu* Irtnlt hommes — Hl kaorfn Imta
On peut autti tradaîrc qutlque toit par ma», uoa, toit par
eoia iê, prop 4».
Ex. : m ma eant (é) aija, ou : Fa eoaa de cent (é) anfa,
ou : T» prop es eant (é) anja
406. — ' Lei exprctuont française* il peu! y avoir, il pouvait
y avoir, etc., |7 dmt y aveir, il devait y avoir, etc.. te ren-
dent toit d'une det quatre maniêrei indiquêet an paragraphe
précédent, toit mot i mot par pot far (é), po^ far (é),
etc.. dwi fer (é), iarfa l«r (é), etc..
407. — Si quelques rail un nom de nombre, on le tradait
par tut», ttJitat (5 3)7).
Même
408. — Mimi te traduit toit par adbo», aoii par Ou (mot
à mot fusque, jusqu'à'),
Ex. t 11 eraiul mime un tlneu — Tmi idkM ■■ fot. ou :
Taaifiuiafa(
I
..Goii c
SIO l» ADTEIBB)
409. — ' Mimt placé en françaii aprit le deniier tulntaoïit
d'une innmération, doit le précéder en catalan.
Ex. : lu oiseaux, la planta mimt... — oU aocoUi i atUino
iM plaatM...
On peut >u»i, dans ces sortes de phrases, employer
miMt adjectivement et le traduite par mtcU, qui l'accorde
et le place avant le substantif : oU ■■calli, Im mataliM
ptaatM...
410. — Pas mimt se traduit par ni UBt mU; il peut aussi
le traduire simplement par ni, lonquc ce mot catalan est
saivi de ■■, uu, uti, une.
Ex. : ft nt ptux pas mimt tt priltr cinquanlt eintimes — Ne
pae presUr^to ni tait aoli dnguanta clntima
Jt IM lui detmtrai pas miiiu un verre d'tau — No 11
éemard ni tait lola on vaa d'algaa, ou : Ne U io-
■ar< al BB Taa d'algua
LOCVTtOHS ADVEKBIALBS HËOATtVES
411. --W(...fiM lignifiant «u/mMut se traduit d'une des
maniéret suivantes, dont ta première est la plat usitée :
Bo... altra eoea qne
: /{ ne vient f ua rartmenl — No va alaé nrta Togadei,
ou : No mes va qsa ram Togadea
/mh ut ait gue ies sottises — En Joa» ne din iistf
koatioMa, ou ; En Joan ao méa dla qaa beatiasai
Il nt ptnst qu'à lui — No paaia àa.i oa ell (é)
ft n'ai mangi que du pain — No ha ivenjat liad pa,
ou : No méa ho aoaJatfM pa, ou : No ho Hanjat
titra Mta qao pa
■G<.>('HjIl'
RnfutQCE. On pent luui traduire tu... qiu ligni&inl seu-
hmtnt par mU ou Milaarat (é), qui le placent loit immé-
diatement avant le verbe, wît immidiatemeat après.
Ex. : Cri enfant ntfûU qut et qu'il vntt — AfiutU utatait
•oli fa, ou aeUnnt (€) fa lo qne vol, ou : AfOMU
orlâtora fa mU, ou fa aoUmst (é) la qu vol
Paul ne peint qu'à sa mèrt — £■ Pas lola p«ua, ou
•olamant (£) peua «a aa aura, ou : En Pas paua
iob, ou panaa ioUaMsl (é) on aa man
411. — Ne... qiu... et que te traduit par bo... aiao... i ou
par ao ■<•... faa... I. Comme on le Toit, le Kcond qta fran-
çais ne te traduit pai en catalan.
Et. i Tii n'aurai que deux chaises el qm deux tables — H»
tiadria tiai dagaat eadirM 1 dngoM taolat, ou :
Ho nUa tiadria ifn dagoM eadiraa t dagme taalM
413. — Ne... plus $e rapportant k la quantité >e traduit
par no... met.
Ex. : J'ai mengiasstidepcmiiies:jeu'tuveux^ui-!-H1ui
Heafat proa pomat : ■w'a val méa
- Ne... plus *e rapportant au tcmpi te traduit par |a as.
Ex. : Hitr mon frire avaif te livre : aujourd'hui il ne l'aplus
— ihlr fll maa (é) oami taala aquatt lUkra : and
]a ool té
/( n'eu puis plus — Ja ne pao
// tit savait plus qutfmre — Ja aa aaUa qai far
414. — HPit ^/ui et ^ ifava»/<i;( le traduisent par tuapoo.
Ex. : Je nt sort pas; lui aou plus — Ho tarta; oll (é) tampoe .
ni... UM^/i» te traduit par ni... tampoe.
Ex. : Il m veut pas, m'xm mm^Iw— EU(é)BOTd, nijo
'tiS> — pas encore te traduit p
avant le verbe, on par m... oaeai
a aa, qui t^ place
" n„.=:,>,Gf
lia in ADTBMBS
Ex. : Il n'a pas eneonfimiM travail—taoïnao^uiàhàt
•lwm(i}tnbaU,ou : MokaaealwtniMn1im(é)
tntaU
416. — Pai It mmi iu mmii te traduit par i» cay ho-
a«rt.
El. : Vtux4u y albrf fat h moins du moude — Bl toIi
■■■rt D««r ■■xn
417. — Le* adTcrbo suivints deviennent det locutioni
prépotirivn lonqo'Us (ont luivis de do :
abau, avant, anparmMut abuu i*..., avant...
lianrfa, en autrt advnét de..., 0»/»...
dunut,<binu damniitdo..., ;Hr
iàittn, ierriirë, en arriirt darma ta..., dtnièrt.,.
danat, Atmut, $n ték davant da..., devanl...
iatftéa, depuis ittftii i»..., après...
daaaota, destoui daaula da.... sous...
Omin, dedans Uatn tt.,., dattt...
III. PLACE DE L'ADVERBE
418. — L'adverbe se place presque toajonn devant les
adjectiCi, les participes employas adjectivement et les
Ex. : fûri lammt — molt aavi
assti tard — p»n tard
mal fait — mal ht
Iris/Mtmtnf — BOlt tortaiMBt (é)
415. — L'adverbe se place tantôt avant, lantàt apria le
verbe, nuis généralement après ; dans les temps camposèi, il
se place après le participe, jamais entre l'anailtaire kavar et
le participe.
D,3t,7=-i>-, Google
LU ADVUBES 91)
El. : tt ne f amuse pas tuux, — Ns'a dlTtrUix pnn
Mm fiU a Irep IravaUU — U an (<) HU ht tn-
MUtBUU
Mii> si l'aiulliaire cit le verbe nt (é), l'adveibe (si c'est
un adverbe .de quantité ou de nunièrc) se place presque
toujonrs entre l'auxiliaire s«r (é) et le participe
Ex. ; Ct Uort at leujwn lu avec pUisir — A^Mit llik* <i
MBfro Uvglt •■ gwt
Si tu IravmIUi, tu utms hitM rkmHptttti — 8C tnta-
. llM, Mràs kM nooMpsuat
CHAPITRE XIV
LES PRÉPOSITIONS
I. PRÉPOSITIONS CATALANES
410. — La préposition a (u devant une voyelle) indique, '
■prêt on verbe de mouvement, l'endroit vers lequel on va. .
Ex. : atltr eu Calnlegiit — aKsr a CaUlnn^a
Ttleunttr à Bareelont — tarnar a Barcalcaa
// alla m jimirique — Ta anar a Amèrioa
Nt âactndspas dans la rm — No baizU al carnr (£)
^ais devant le nom d'un endroit fermé dans lequel on
entre, on emploie de préférence ta.
Ex, : Il mira à ViteU — Ta ratrar n l'MCOla
431 . — a te place devant les infinitifs régis par an verbe
indiquant mouvement vers un endroit, infinitifs qui, en
français, ne Mnt précédés d'aucune préposition.
Ha. : AlUnt nous prementr — Anav ■ pHMJar
Nt Mi pas iitur avanl 7 beuret — Ho vagla a dinar
abau da iM ut
431. — a se place presque toujours devant le complément
direct des verbes actifs, quand ce complément direct est un
nom de personne.
■G<.>(Hjle
El. t Albtrl axm§ ton frirt — L'ilbart MUna al im gwai
// (M at hcmnu — Ta Batar aa aq«A koaa
aimir U frtebai» — aaar al irtaiM
43J. — aa^ mte (aMk dfrairt une voyelle), ett toujoun
«primé en caUbn, même dans Ici «prCMÎoni dani lea-
qaeltet tvte est iou»«irteiida en innçùt. (L'orthographe la
plui nmellc écrit ak.)
El, : Il dûrmait Us pux euvtris — Dorala unb aU alla
obarU
434. — tm répond aux préposîtiont fraaçaitei par, it, sur,
lonlcalct foi*. que ce$ prépositioni équivalent 1 «tw.
Ex, : // ebarma loul U mondt par sa maniirt it parler —
Eneantà a tot-hem par la aara (é) maaart do
parUr
apaiser par its priirts — aplacar «m praca
Je vous le prouverai par des faits — Lld p
Celle fialwn s'appauvrit par ses guerres — 1
naoU a'anpobraii aat laa «avaa (é) goarraa
JU le iivoraienl du yeux — El danraraa amk ab alla
Il aime sa mers d'un amour sindrt — XaUma a aa
■ara aad) anor alnaar (é)
- li nom d'initrument est précédé, en catalan, de am.
: pegar anb aa baaU — frayer tuu hélan
agalar anb al braç — saisir avec le bras ■
416. •— da (*' devSDl une Toyelie) tradait la prépotitioD
franfaiw à daot let cas •Divanti :
1* pour indiquer h propriété. (Voir $ 4)i.)
LBS PRÉrosmoNi
: La maism al à mm onelt — La
• w
3* pour indi^aer la dntiiution d'une choK.
^.i plat à barbt — kaelu 4» karka
macbint i ceuire — vlquina ût eoair
)* entre un verbe et un infinitif.
Ex. : Il est à erart... — ta da etenra...
fe Jonm à manger à mon cbim — D6na i» mantar al
■ai(é)ge9
Ctia eoâtt beaucoup à acquérir — Alzft owU malt,
d'adqntrir
4* entre un adjectif et un infinitif.
El. -./Kilt à dire — fidl «a dlr
4S7. — 4a précède toujoun le noip indiquant la matière.
Ex, : eotra ia tnaU — coffri en boa
Taatit de llana — vilement de laine
rtUetga d'or — montre en or
418. — da t'emploie devant un verbe dans lei «prcs-
■lon> analogue* aux tuivintea : tenpa (é) da aambrar, dfa 4a
aaaibnr — temps faverabU pour temer, jour où Fou peut semer.
4)9. — 4a doit précéder, dans lei dates, le nom du moi>
et cdai de l'année. (Voir $ 14s.)
El. : Fieb, IJ février 1900 — Tleb, 19 4* fekrar do IHO
4)o. — Aprèi Ict préposition! et locutions prépositives
a la vora 4a, pris de 4aTaBl 4a, devant
al Toltant 4a, autour de 4oaaoU 4a, sous
afNp 4a, pris de diatn da, dîtiu
daBoat 4a, sur fera da, bors
durais 4a, derriirt Unaj 4o, loin dt
on remplace les pronoms personnels français de la i^* ou de
la 1* personne par le* adjectiCi pronomioanx possessif* cata-
lans, et on tupprine le 4a.
;i>,Googlc^
D,g,t,7=^-I>, Google
3l8 LES rKtPOSITIONf
A Fanuét protbalnt — A'aqol a Vttj ^m y»
à ItnlSt — d'iqil t «nyrii
4)4. — cb<\ indiquant il maiioa d'une pcnonnc, ic tridait
ptr t oâM i», Rvcc ou lani mouTcmcnt; rf« rlwt «c traduit
par 4a eaaa da.
Es, t J'ilaà chtx, mou ptrt — Ira a «aaa 4al wn (i) pan
Il va chei h laiHtiir — Ta a oaia lai aaatn
/( vaU (bij. Cbariet — Taig a oaia d'an Carlaa
// tort it tbtx. Louis — Sort 4« oait <!'•> Llnli
Oa peut Atiui contracter a oaia M ta a eal et a oaaa é'an
enâ aaa:
Téi a eal aaatra
Taig a can Carlaa
Snrt da caa Unfa
4JJ. — Ofiind, en françait, tbti est luivl d'un pronom
pcnonncl (m«, tiout; im, vont; lui, eux, tUt, elUs) on réfléchi
(wî), ce pronom ne te traduit pu en catalan ai la phraie ne -
prête i aucune équivoque.
El, : Ji suis clûi moi — 800 (A) a oaaa
* Nottt n'altoni pat cht\ nout — Ho anam paa a caaâ
Strat-la chu loi Atmainf — Sarla a oau danit
Ton ami eti ebti lui — El tai (é) amio <a a oaaa
Ut ut terltnl pat it tbti eux — Ko anrtaa da aaaa
Avoir UH ebex toi tt dit Taalr Hia poaada.
Mala li ia phnie prOle i une équlvoqnc, le pronom
fnii](aii qui mit thti ic traduit en catalan par l'adjectif pro^
nominal poaacialf correipondant, qui t'accorde avec le mot
Es, t Vtnti chti, moi — TIagvl a eaaa ■
AlUiu tbei, vout -^ Amb • Mm ai
LU pRfipotrnom 319
4i6, — tbei luWi d'nn nom it pcaple oa d'an lubiuntif
pluriel peut le traduire par nitn.
Ex. ! CelU tottiumê txùit cht^ iti Calalaul — Ifuttt oet*
Mm nltUbt mtra'b ctttiuu
4J7- — ''"t lignifiint tu on dam te traduit ptr en,
Bk, : Cbei Tbomittt VbaKltiit a uni granit puusana ^ Sa
rhitiBfl !■ eofltaa U gna yodar
iaiu
4)8. — AiHi K traduit ordinairenientpir m, laufdani les
eu luivantt ;
dam indiquant au Iwut de combien de leropi une choM
aura lieu k traduit par d'âfol a.
Ex. : Jt sortirai dans Irais heurts — SwUrd fâqal t tiM
bom
datit pUc6 tptèi un verbe de mouvement et indiquant le
lieu où l'on est m traduit par par.
Ex. : Je nie pramlne dam 1$ jardin — ■• paaaa]» palfarfi '
Il courait dam la rues — Corria pela eairer* (é)
dam ayant le lens de parmi te traduit par tntranig da.
Ex. : // u perdit dam la foule — 80 ra pardre autramig da
te gant (i)
àt
419. — <ff tuivi.d'nit Infinitif et employé expUtlTement ne
le traduit pas.
Ex. : Mieux vaal ilrt Ulire que Xitrt aelavt — lUa Tal
aer (é) Ulora faa rio paa aaolaa
4:40. — <b ne »e traduit pai dantlo phnuei analoguei ans
inlvintei :
Quel est le plus travailleur, de Pierre au de Paulf — Qola tfa
al ■<■ Ir^allador, aa Para a an Pas T
<,;le
MO Les PRtrasrnom
, LaqiulU dt en deux etuUurs prifinx-v&us, et uUe-ti ou dt
etUi-làf— Qniit 4'MiiwU ia» (A) eelon f nftraiz, iqurt
• tfWllt
441. — Tout» les bii qae Je a le seni de «wc, on le tra-
duit par «■■
Ex. : Ctttt maison est faiU dt boit tl dt pitrre — IfMaU
eaia <a fêta aa faita I padra
// U frappa iuH bâton — U Ta pagar anb u buU
Vous Ht tavti pas vu de vos ytux — Ho ho ha Tial
aab «U ••» (é) alla
Il U paya dt mauvaias raisons — El va pagar aa
441. — nt pbcè devant un nom de pays te traduit par a.
Ex. : aller en France — a>ar a FMaga
ilrt en Espagne — aar (é) a Eapanja
vivre eu Catalogne — vlara a Câtalnafa
44]. — eu devant un nom de vilement ac traduit par le.
Ex. : en reiingeit — do larlu
Un en îtuil — anar de dol
fhabilkr m matelot — TaaUr-ia do marinar (é)
déguisi en paysan — dlilraçat de pagèt
444. — M le traduit par de dans les expressions analogues
i la suivante : itudiaut m droit — eatndiût de llaia.
III. LES PRÉPOSITIONS CATALANES por ET pan ET
LES PRÉPOSITIONS FRANÇAISES pour ET par.
44J. — pm- te traduit giniralement par por; cependant,
quand far signifie mite, on le traduit par an (J 414).
LBi ntirostnoNS asr
446. — par, dcTaDIuadetiabitantiftun, )iwû,/Mir, etc...
■c traduit par ta préposition »,ttit nibtuatif cit précédé de
l'article.
Ex. : // vital à Parti cinq fois pMr mmû — To ■ Farfi vioe
TegBdMSlBM
Charla gngHt trou milk francs par an — En CârlM
guMvjt Uu mil biaot a l'uv
Mais on pourrait austi traduire oida mai, ehaqiu môs —
oadâ BBr) cbaqut année, ou eucore p«r aaa, par mnt — par
•xj, par ait.
447. — pour le traduit généralement par pan, sauf dani
les cas suivants où on le traduit par par :
I* valeur, échange.
Ex. : intiril i / pour zoo ~ latarta al S par «ail
// vendit son cheval pour cinq cents franet — T« «■• -
dra'l um (é) caraU par olM eanU trama
Ji donne hhmi manteau pour U litn — Drao (6) b '
■tara (é) cap* par U tan (é)
1* aa lieu de, à Ut plate de.
Ex. : Il s'est fait soldat pour son frère — 8« n far (é) aoMat
pal aan (é) garni
Je l'ai prit pour son cottsiit — Vh» praa pal aaa (é)
î* CH faveur ée.
Ex. ; intercéder pour quelqu'un — daManar par algi
Faites-le pour lui — fael-ko par ail (é)
4* durée.
Ex. : ft sors de Tarragont pour deux mois — Ma'n vaif da
TarraBena (o) par doa (ô) Maaoa
j* opinion que l'on ■ de quelqu'un,
^. t Cet homme passa peur trit riche — Aqual koaa paaaa .
par Bilt rfo
n,r,„.=-i>, Google
LP;
333 u» ntrosmoH
6* i eaust de.
El. : CegèniraitslaioriiUTarmitpourtmiMiaa — AfOHt
gtutral <• tterat 4» l'nircll tn It nti (i) n-
«acta
7* tommt, ttt tant qiu.
Es.*: Monfrèrt a un AngUùspour iomtstiqtu— El ■•■ (é)
B«rmi té na faiglèi par criai
/'ai adopté Jmi pour fils — Bt alopUt an Jo«a par
fUl
}t t'ai cbotn pour ami — T'ha alagit par amlo
Datu le sent de comme, m Uinl qui, par l'emploie
dans des cas où le français n'emploie aucune préposition.
£x. : dar-aa par Tançât — s'avouer vaincu
8* k Tigari Je, envers.
, txi : l'amour de la mire pour sou fils — la paialâ 4a la
■are pal (é) aan UU
IM amow ^ur J< Jrnuif — al aai (£)■■» pal trabaU
Cependant, dans le sens de à f égard de, envers, la pro-
position pour pent se tridaire aussi par part on par aa.
tM.. : Cil bomme ailé bon pour moi — Aqnaat koaa ha aatat .
ko para ml, ou aa ai
9* dans l'expression pour le compie de,
Eiî ! pour mon compte — pal man (é) Donpta
448. — par traduit aussi les prépositions françaises 4, liiiKi,
M, i Irmers.
El. I paaaajar-aa pal oaap — le promener i la campagne, A
travers la campagne
paaaafar-H pala earrara (i) — se promener dans Ut
ruesi par Us rues
Tlatfar par CatalBBjra — voyager en Calaîogne
449. — eatar par a divers sens :
Ex. I «tar par lir (é) tlfliia eoaa — Ùre di^ui à faire
-i^,Goi:)^le
31}
ftwiftw cbou. Mais duu ce wni oa peut luui
employer mu para.
artar par lar (é) (en pariut d'une chose) — if Or*
pas fait». Un àfmn
4fo. — Du» lei locniKH» £rt homau à, Hrt ftmmt à, te
prépoiition à te tntduît par pan.
Ex. : Cbarla at bewmu i 'urt ala — la Cariaa <• kaaa
para lar (é) aixft
funiu ta Jtmmt A 4ir4 ul» — la Jaaaa éa Mm para
diraU
CHAPITRE XV
LES CONJONCTIONS
4J t . — NI te Induit par tJ.
4ja. — Lortque m... m te tronveot cd français dans une
phnie commeoÇMt par une n^^ion, on peut, en ciulan,
m pas exprimer le premier al.
Ex. ; Il nt se rtpKt ni jour »i nuit — Hl dueania ni 4* ait ,
ni i» dia, ou : Ko 4racuu de ait ai d«-dfa
Mais si une inversion fait commencer ta phrase cauUne
par le membre de ptirase contenant mi... m, ctiacun d'eux le
traduit par al, et le verbe citabn n'est pai précédé de no,
eonformément & la régie értoncée an $ ajS.
£x. : m «• dfa al de ail daman
4J). — IM... HJ tw le traduit soit par ae... al, loit par
■l...al.
Bx.'.Ilnt Ml ni nt mangt — Ha ban al Bailla, ou ; RI
414. — mA te traduit généraletnent par part, sonvent
autii par ■tfa.
4j j . — mait solfiant mait uakmtnl et mais stuhmtat *e
tradoiictti loit par l a l aB aat (é) soit par a» met.
„,Gt>o'^le
us amjoKcnoKt 3ij
Ex, : /( ne tiùs pas h prepritiairt it ait* mMseH, maà uul^
m*nt UgirtaU — M« MO pnpriêUil 4'afiMta «Mt,
wU—it (i), ou u Mil ftr«A (<)
4Si. — ^ MMÛ Km M traduit par ûmi,
El. : Ct n'ist pas For, mail Km U Irmail jui/ëît la rideoi
tant HaliM — Lo qi* tt U r^M» A**** iMlf
M <■ l'or, tbUl trabiU
4}7. — non uukmtni... nuit txcert et nm ituUmtMl.,. mau
austi se tradaîient par bo ioUmmI (é) ...ti»A qu.
Ex. : Nm $aiitmtHl citU humm n/ grande, mats mctn àU
al Mk — Ho ulaBBBt (é) aqucU eaaa <■ gna
■tai qM 4i kenlca
fttf
4j8. — f iK »( lignifiant pourquoi m traduit par parqni m
' Ex. 1 Qut lit U iiiieiiMusf — Peifiè bo bo Mat
que ne apréi un verbe marquant le donu, la crainte, 1 em-
ptchement, le traduit par ^aa tant négation, si le verbe n est
pat suivi d'un mot négatif.
Êx. ! /( craint qu'il ne vitunt — lias por (é) qaa vlagal
Tu amis peur qu'il ne /eu alW — TMfaa for (A) fao
aaa'aaii
Mail ai le verbe est suivi d'un mot négatif {pas, plus
jaiaùt, atuuii, personne, rien, etc...), qut ne se traduit par qua
bo; le lubjondif présent français peut se traduire par l'indi
catif futur catalan, et le subjonctif impar&it français par le
conditionnel présent catalan.
Ex. : Jt trains qi^ii ne vienne pas — Tiao por (A) qa« aa
viadrà (mot à mot : J'ai peur qu'il ne viendra pas)
Tu avait peur qu'il nej'tu gllAt fat — Taaka p«r (6)
qne «U (é) ao sa a'aalifa (mot i mot : qu'il ne
l'en irait pas)
tK
U) CCWJOMCTK»»
Aiiui ^'on le Voit, U négation ciUlane ne s'expdme que
qauid il ('agit i'ant chose «jae l'on toahaitc.
4Ï9- '~ 9*"— >"> précédé de flta, moini ou aulrt, te Ira- '
dait Mit par <• 1» q:aa, dal qM, etc.. mu* négation, îoit par
«M... M.
El. : Ji suis plus vitux qut lu ne croit — 8m Ktfa vall (é)
de lo vne pi ai ii, on : l«e mât t«U (é) fM no
4fo. — ummt, indiquant la comparaison a
ment d'nne ptiraie, ic traduit par tîif cm; an ci
tneat da Mcond membre de phrase on place abf.
El. t Cammt U mallrt cemmandt à Tilève, Pierre communie
. . è Paul — Alzf ««■ tl mMn Bua tm ai daix^Ha,
•M an Pan aana a* m Pai
ivpoti^le ■
CHAPITRE XVI
SYNTAXE
46t. — < Lei rigici d'accord lont lei mémei en catiJtn
^u'en fnnçait.
L'article, le lubitantif, l'adjectif, le participe, le pionom
s'accordent entre eux en genre et en nombre.
462. — Qjiind un verbe catalan conjugué avec l'auiiluire
kavir a pour complément direct un des pronomi U, 1m, Iw,
M, k panicipe poué s'accorde ivec le \r/Bom complément
Es. : Mtt min. jt Ta vue aujcurflmi— L» aan (i) sun,
"■-- . Vht tUU iTii
Cil livres, nous Itt mms perdus — AqMtti lUbm,
•Il bem perdait
Les pluma, U ne les m pas trouvées — Lm ploaM, M
)M ht tnbadM
Ces pemmu seul très bennes : en as-tu mangif — AfUM-
- tw pomai (Al malt h»«: aliai mtnjadMl
Parfois cependant l'accord n'a pot lieu, surtout il le com-
plément est kw : IqnetU lUtava, «la hem perdit.
. Qjiand le participe passé d'un dea verbes br (i), faire —
poder, pouvoir — Telar, vouloir, est suivi d'un infinitif, et
que le complément direct en db des pronoms U, 1m, In,
M, ce participe passé s'accorde avec le pronom comfdément,
et le pronom complément se place avaal ratniliain htrcr
t Tt Uttn, mia Tavont faU lirt à »« amts — La Ura
(é) sarU l'han faU llagir a> ali Boitraa amloa
Lts thtvaux, il n'a pu ks vmr — E|i caTalla aa la lu
pofBtaTaara
Cts ehosts, ils n'ont pas voulu Us ebercber — Aqnaataa
Comme il nime la oranges, je lui en ai faU tnvoytr —
CoKllagrsdaa laa tamgai, nid lia totai enTter
COMPLÉMENT DES VERBES
46}. — Si le cwnplémani direct d'un verbe actif eit un
■om de personne, on peut le laite précéder, en catalan, de
la préposition a.
El. : ft sttours u« de mes amis — Sococro a un anlo nen (é)
^WM aimons nos amis plus que umu-mimts — EatlnuBi
as A Boatraa anUea aiéa qoa a naialtrai mataizaa-
464. — On ne peut employer la prépotition t dam aucun
4cs cat (uWanlt ;
i*.devint dei nomt de peraoniiei pris dans un uns
indéterminé. Ex. : iinrer i*s amis — daalMar anfca
1* devant un nom de peraonne complément direct,
^nand le verbe a auui un complément indirect précédé
de cette même prépotition. Ei. ; eompartr Pitrrt â Jean
— eaaparar en Fart an an Joan
)• al le nom de penonne complément direct cit luivi
i'tm pronom relatif complément direct d'un autre verbe
et précédé luMuéme de •. Ex. : J'admirt let hommes que
.M'imtmml pas Us rtvtrt — Adaln aU himeiia ala qoala
, Bt ^nliB ali nrnaaa
n,3i,7=-i>,G00t^lc
ITKTAXÎ 139
4*>prétle verbe ttalr, aimr. Ex. •.fâiittixama — lino
dM (ô) bbIm. Mais ti le verbe Unir e«t prit dam le iea>
de Muidirir, rtgaritr wmnr*, on emploie la préposition
Ex. : eçniiJértr f u/f h'uk tommâ un bemmi Jt.gMi — tMlr
•a elg< pw kom *» Ulrat (é).
SUBORDINATION
46}. — LoiMjue le verbe français est auivi de la préposi-
tion â* et d'un in&nitif, et que le sujet des denx verbes est
le même, le verbe subordonné catsian se met, comme en
français, i l'infinitif, mais la préposition ii« ne se traduit pas
Ex. : /( làebtrai dt lui écrire — Procvaié eseriai»- It
Jt pr»mels it l'écrire — Froaito Merlnra-V
h crains it parler — Temo paiiar
466. — Lorsque le verbe subordonné français, pl»é après
un pronom relatif précédé lai-méffle sOit d'un supedatit
absolu, soit d'un des mots seul, premier, Jtrnîer, est an sub*
jonctif, il se met & l'indicatif en catalan.
Ex. : Ceil le premier ebevel qui mt plaise — Éa •! yrlKtr
(é) cavall qu m'agrada
Ce ebien est le plus beau fat fn vu — AfSMi goç et
U ffl4a benle qn* ka vist -
4(7. — "Après les verbes indiquant le désir, la tendance,
la volonté, l'empêchement, la défense, la demande, la recom-
mandation, le verbe subordonné qui, en français, est soit i
l'infinitif précédé de it, soit au subjonctif précédé de qut,
est presque toujours au subîonctif en catalan, quand les deux
verbes n'ont pas le même sujet.
Si le premier verbe est i l'indiutif présent on i l'indicatif
- 3J0 tTtmtXB
fiitur, le Terbeiuborjonnj catalan uraan subjonctif prisent' ■
(action préientc).
£i: : Je éétire qut la toù content — Dwi^a qno Mtlgiils
/< te prie de m' enseigner cela — Ta prago qm K'ania-
nylialxlt
ft lui dirai de paritUre content — li dlri qna. faot
Taon 4M Mti MitMl (é)
Si le premier verbe est à l'indicatif imparfait, i l'indicaiit
prétérit on i l'indicatif pluMjue-parfait, le verbe tnbordonné
catalan icra au lubjonciif imparfait (action paisée).
Ex> : // lui demandait de ïni envoyer ia livra — U dama-
MTC qM II anvléa Uibrea
Il m* recommanda de garder m mami — Ha vi reco-
■aaar (pia 11 guardéi la cua
// lui demandai de retourner à Rome — U valg d«M- '
Mrqna tonéa a Rama
Il aura demandé qu'on U laisse en Uberli — TUmik
iMÊUUt qu'l dalzaaaia an UibartJkt
468. ^ Le verbe subordonné se met, en catalan, au sut>
iODCtif :
!• Après les verbes unipertoonels.'Ex. : // est nécessaire
que je sorte de la mUe — ta BMMaarl qita jo sorti it Is
«total
. On peut paiement, pris les verbes unïpenonnels,
mettre le verbe subordonné i l'infinitif sans préposi-
tion, si ee verbe subordonné est, en français, i l'infini- •
llf. Es. ; Il est nkmairt de sortir — Éi naoeaurl sortir.
1" Après les conjonctions terminées par qna ou suivies
de fM («Mtni fat, quMque; pera fia, pour que, afin que,
etc..) En. t Je lui parle peur qu'il u laiu — Li parlo par* '
!^Go()j^le,
Cependant iprèi ncan fM, queîqut, et alif fM. iii
qiu, ti 1> phrue «prime un &it tffinnatif, le Terbe
inbordonnj le met i l'indicatif. Ex. : Qfmfiu uous tojoHs
pauvres, hoiu vivons beurtux — laetn fM iOM polne.
TMmftUcM.
y Apréi le# Yerbes indiquant un doute, une suppoti-
tion, une nation ou une înterrt^tion, %\ le verbe fnn-
çait «t, lui aussi, au subjonctif. Ex. : Ji tu ptnu pas qu^U
soil soidat. No «no que ligul Midat. — Nt çroy*\-vma pas
qut ctia smtfauxf T. no eron ipia âlici oigBt Uil Cepen-
dant, dans le> phrases analogues i cette dernière, «i em-
ploie de préférence l'indicatif ; T. >o ena ^ii» aljcft <■ U«T
4' Dan* le* phrase* négative*, interrogative* on daU- .
tatives, *i le verbe «ubordonQé eM précédé d'an relatif.
El. : CoHHois-itt un homme qui soil riebif — CoBOlwo a ■>
homo qno ilgni riet
469. — On a défi vu (J joo) qut le sut^onctif impar-
fait catalan était souvent employé pour traduire l'indicatif
imparfait français précédé de n et indiquant une action Gon- :
ditionnelle ou un désir; on doit l'employer dan* les cas ana-
logues, avec les autre* conjonctions conditionnelle*, telle* .
<iat num^Mi quoique, bUn qut, ttc...
El. ; Mimt fiiy avait la guerre, le commercé ne cesserai pas .
— Ssean qu U hagiéi fB«m, no atm^cfal
eontrg.
- De même, l'indicatif plus-que-par< françaia le tradai>
rait par le subjonctif {ffus-que-parfiiit catalan ($ joi).
■ i>,Goo>^k
; .1,
n,r,„.;-|>, Google
TABLE DES MATIÈRES
CHAPITRE I — PRONONCIATION.
n. LES DEUX ACCBKTS. — US TOTULU.
III. tes CONSOHNES
IV. LIAISOM
V. STIUBB TONIQUB
Vil. TMPHTONSDE .
VIII. MODIFICATI
tX. TRËMA
X. SICMES DE PONCTUATIOH . .
CHAPITRE II— LES ARTICLES a8
t. ARTICLES DÉFINIS. '...... l8
II. ARTICLES IHDÉnKIS 33 '
III. ASTICLES rARTITlFS )a
CHAPITRE lU— LE GENRE J4
' FOHIUTIOK DU FÉMININ 59
CHAPITRE IV— LE NOMBRE 5a
fcImutioh m plumel ja
CHAPITRE V— LES ADJECTIF Î9
l. cmiPARATiFS .■ J9
H. SUPEKLATIFI (O
CHAPITRE VI — AUGMENTATIFS, DIMINUTIFS
ET PÉJORATIFS 64
■ b, -Google
m nlLB DBS HATIÈIIBS
Pis»
CHAPITRE VII— LES NOMS DE NOMBRE ... 67
I. CAMHNAUX 67
n. OBDtNAUX 70
m. COLLECTIFS 7I
' 1*. rÀtmiPS 7a
CHAPITRE VIII— LES PRONOMS 74
I. PRONOMS PERSONNELS 74
Adjectift pronomin»» poucMifs ..... 96
Le pluriel de niaieité ^
Les formules de 'politnte. . 90
E-^y 97
II. PRONOMS OtHONITRATIFS 100
III. PRONOMS RELATIFS Io6
IV. PKONOUS BT ADJECTIFS IKDÉTBUflHÉI lit -
CHAPITRE IX-LES TEMPS DBS VERBES ... i}0
I. FORMATION IJO
n. SIGMIFICATION IT EMPLOI t)0
CHAPITRE X— AVOIR ET ETRE. . . .' ij6
I. AVOIK I]£
II. ÉTKB 145
CHAPITRE XI—LES VERBES RÉGULIERS ... is4
MODIFICATIONS ORTHOORAPHiaVB) DES VBkSBl. tîl
VERRES NEUTRES l6j
VERBES PASSIFS ]£j
VERBES PRONOMINAUX 'lâj
CHAPITRE XII— LES VERBES IRRÉGULIËRS. ., i68
nEHIËRE SBCnOH.— CLAMES I69
jnclMW. Verbes tenninéi par «tn, «tn,
0»!»; veri>es pirtra etnkrt. ..... 1(9
2*cUiu. Modèle dandr ". . . 170
j*dêsti. Verbes tenninés par drt. ... . 17a
• lS'-
TAILB DES lUTtbUS
■ i>, Google
»<
I. PRtPOtmOHl CATAUNES .
II. nirOHTIOKS FUNÇAISB I17
■ à ai7
cbei stS
iam 219
Jt . . .' '. 119
m ' 3IO
m. LES ntirounoNs catalanes p«r et pan et les
raÉrosmoNintANÇAiiBs^MiriT^, , , , aïo
CHAPITRE XV— LES CONJONCTIONS 314
ni 324 .
mûis * 324
'^ fue .. i ..'... 235
eemmt , 226
CHAPITRE XVI— SYNTAXE '•,•••• "7
OCMPLtlIBHT DBSTBIWIS 328
- ttTKniHKATIOH • . . , , 239
.■b, Google.
A CORRIGER:
Page 14, ligoe 6, m lieo d« Mtl,ahèlf, Akitt, lin rakèii.
Page 14, tlgoe 9, an lien de Akit(, lire mkètç.
Page 57) ligne 17, dernier mot, au lien de laa, Un 1m
Page £7, Mconde colonne, an lieu de 101 cwt «, lire loi
««(4)1.
Page 67, dernier mot du $ i )8, au lien de ■!, lire ail
P^ 150, Indicatif impaibit, première colonne, en lieu
de an, ar«a, art, lire ara (é), araa (é), ara (é).
Page iSo, Sut^onctif pr£fcnt, deuxième colonne, au lieu
de Uaua (i). Use* (è), lire tasam, taaan. - -
La nation m aurait dA être toujoura tuivie de 1 indica-
tion(«).
a i/rninanMib te— ai»«ai<«*
D,g,t,7=^-I>, Google
D,g,t,7=^-I>, Google
D,g,t,7=^-I>, Google
.■i>, Google
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ogie
D,g,t,7=^-I>, Google